Archives de catégorie : La vie à New York

À New York, ces panneaux de pub favorisent la croissance des plantes

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À New York, ces panneaux de pub favorisent la croissance des plantes (creapills.com)

À New York, le moindre espace de verdure et de plantation est choyé et entretenu au milieu de ces centaines de buildings. Alors pour sa dernière opération marketing, HSBC Bank a choisi d’opter pour un projet en faveur d’une ville plus verte avec la mise en place des panneaux d’affichage numériques favorisant la croissance des plantes dans la ville qui ne dort jamais.

Durant tout le mois de novembre, la société bancaire a équipé certains abribus et écrans LinkNYC de Manhattan, du Queens et du Bronx d’une lumière bleutée qui aide les plantes à pousser avec la chlorophylle et la photosynthèse, deux éléments indispensables à la croissance des plantes.

Les différents emplacements ont été sélectionnés au préalable en fonction de leur proximité avec un espace vert ou de la végétation. Les panneaux, qui auraient déjà été vus plus de 22 millions de fois s’accompagnent du slogan “Et si la lumière bleue d’une publicité pouvait aider NYC à rester verte ?” afin d’apporter plus d’intérêt à l’affichage.

Cette campagne baptisée The Lifegiving Light (comprenez “la lumière vivifiante”) a été réalisée en collaboration avec l’agence de publicité Wunderman Thompson North America et tombe à point nommé suite à la COP26 qui s’est déroulée à Glasgow (Écosse) au début du mois.

Une activation marketing de la part d’HSBC Bank qui s’inscrit dans la politique de développement durable de l’entreprise qui a à cœur de mener des projets en faveur d’infrastructures locales durables et de développer des technologies pour lutter contre le réchauffement climatique. Greenwashing ou non, on vous laisse évidemment décider !

Le nouveau maire de New York prend ses fonctions en pleine vague d’Omicron

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Le nouveau maire de New York prend ses fonctions en pleine vague d’Omicron (europe1.fr)

Alexis Guilleux, édité par Sonia Chemaa 15h07, le 03 janvier 2022, modifié à 15h23, le 03 janvier 2022

Il a prêté serment à Times Square quelques minutes après le passage en 2022. Eric Adams est devenu, ce week-end, le nouveau maire de New-York. Des débuts doublés d’un timing regrettable, puisqu’il hérite de la délicate gestion de la nouvelle vague de la pandémie, avec une explosion du nombre de contaminations dues au variant Omicron.

Freiner la propagation du virus sera le défi du nouveau maire de New York. Eric Adams a prêté serment à Times Square samedi, quelques minutes seulement après la nouvelle année, dans une ville sonnée par la pandémie. Car New York vit au ralenti depuis deux semaines et des dizaines de milliers de nouveaux cas y sont recensés chaque jour. Alors que des lignes de métro sont arrêtées et les spectacles de Broadway annulés, il n’est pas question pour Eric Adams de mettre en place de nouvelles restrictions.

« 2022 n’est pas 2020 »

« Malgré la persistance du Covid-19, New York n’est pas fermée. La ville reste ouverte et vivante. 2022 n’est pas 2020. Avec les vaccins, les tests et les traitements , nous avons les outils pour vivre avec ce virus et rester en bonne santé si nous faisons tous notre part pour assurer la sécurité de chacun. » La pandémie n’est pas la seule priorité d’Eric Adams. Il sera également très attendu sur la lutte contre la criminalité et sur la reprise économique. A New York, le taux de chômage est deux fois plus important que dans le reste du pays.

Faire de New York le « centre de l’univers »

« Il faut remettre les New-Yorkais au travail en arrêtant notre relation conflictuelle avec le monde des affaires. C’est une ville qui est difficile pour les entreprises. » Proche des milieux d’affaires, Eric Adams a déjà promis de faire de New York la capitale des crypto monnaies et souhaite que la ville soit à nouveau, selon ses mots, le « centre de l’univers ».

New York, première ville américaine à ouvrir des salles de shoot

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New York, première ville américaine à ouvrir des salles de shoot – Rolling Stone

Publié 01/12/2021

ParLa Rédactio

Ces salles de shoot fourniront des aiguilles propres, des médicaments contre les surdoses et de l’aide contre l’addiction.

La ville de New York va devenir la première ville américaine à ouvrir officiellement des salles de shoot, dans le but de réduire le nombre de décès par surdose de drogue.

Deux lieux doivent ouvrir dans deux quartiers de Manhattan, East Harlem et Washington Heights, le 30 novembre, selon le New York Times. Ces centres (qui ne sont pas gérés par la ville, mais par deux organisations à but non lucratif qui reçoivent des fonds municipaux) ne distribueront pas de drogues, mais fourniront des aiguilles propres, administreront du naloxone pour soigner les overdoses et fourniront des conseils et informations sur les services de traitement des dépendances.

« Après des études exhaustives, nous savons quelle est la voie à suivre pour protéger les personnes les plus vulnérables de notre ville, a déclaré le maire de New York, Bill de Blasio, dans un communiqué. Et nous n’hésiterons pas à l’emprunter. Les centres de prévention des overdoses sont un moyen sûr et efficace de lutter contre la crise des opioïdes. Je suis fier de montrer aux villes de ce pays qu’après des décennies d’échec, une approche plus intelligente est possible. »

La validation du projet de ces deux salles de shoot intervient dans un contexte où plus de 2 000 personnes sont mortes de surdoses en 2020 à New York, et où le taux global de décès par overdose de la ville est passé de 21,9 pour 100 000 résidents en 2019 à 30,5 en 2020. Les données pour 2021 ne sont pas encore disponibles, mais les premiers chiffres suggèrent que près de 600 personnes sont mortes d’overdoses à New York au cours des trois premiers mois de cette année.

Les salles de shoot ont été présentées comme une alternative efficace à la criminalisation, permettant de garder les personnes en sécurité si elles consomment et de les orienter vers une aide contre l’addiction. Si ce genre de salle a déjà vu le jour au Canada et en Europe, les tentatives pour en ouvrir aux États-Unis ont été lentes, suscitant débats houleux et contestations judiciaires (le département de la Justice de Donald Trump a par exemple intenté un procès pour empêcher l’ouverture d’un tel site à Philadelphie en 2019).

Mais avec la hausse des décès par overdose à l’échelle nationale (plus de 100 000 Américains en sont morts entre avril 2019 et avril 2020), le soutien aux salles de shoot semble gagner du terrain, en particulier auprès de l’administration de Joe Biden, qui embrasse les stratégies de réduction des risques (cela dit, ces salles ne sont toujours pas officiellement soutenues par l’État fédéral). Rhode Island prépare également un programme pilote pour des salles de shoot après les avoir légalisées en juillet, tandis que le corps législatif californien travaille actuellement à un projet de loi visant à les autoriser dans les grandes villes comme San Francisco, Oakland et Los Angeles.

Jon Blistein

Traduit par la rédaction

Times Square fêtera le Nouvel An, mais avec foule réduite… et vaccinée

Michael R. Sisak, The Associated Press23 décembre 2021

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Times Square fêtera le Nouvel An, mais avec foule réduite… et vaccinée | L’actualité (lactualite.com)

NEW YORK — Les fêtards célébreront toujours la nouvelle année sur Times Square à New York, la semaine prochaine, mais il y aura tout simplement moins de monde que d’habitude en raison de nouvelles restrictions sanitaires annoncées jeudi, alors que la métropole américaine fracasse elle aussi des records d’infections de coronavirus. 

Les zones «écrans géants» de la grande place, qui accueillent normalement environ 58 000 personnes, seront limitées à environ 15 000 cette année, pour permettre une plus grande distanciation. Par ailleurs, tous les participants devront présenter une preuve de vaccination et porter le masque, a précisé le maire Bill de Blasio dans un communiqué, jeudi.

Le maire, qui s’est félicité du succès de la campagne de vaccination à New York, tout en maintenant les commerces ouverts, estime que ces mesures de sécurité supplémentaires «garderont la foule entièrement vaccinée en sécurité et en bonne santé» pour célébrer le Nouvel An.

Ces précautions supplémentaires pour le réveillon du Nouvel An à Times Square font suite à la propagation rapide du variant Omicron dans la «Grosse Pomme», où des files d’attente pour les tests de dépistage ont serpenté dans les rues ces derniers jours.

New York a établi un nouveau record de dépistage, avec 22 808 nouveaux cas, bien qu’une véritable comparaison avec le nombre de cas lors de la flambée initiale du printemps 2020 soit impossible, car le dépistage était très limité à l’époque.

En raison des vaccinations, les hospitalisations et les décès dus à la flambée actuelle sont toutefois beaucoup moins nombreux qu’au plus fort de la pandémie à New York en 2020.

Cette nouvelle vague de cas a déjà conduit à l’annulation de concerts, d’événements sportifs et de spectacles à Broadway, mais le maire de Blasio a montré une forte préférence pour que le grand bal annuel sur Times Square se déroule comme prévu – il s’agira du dernier événement majeur de son mandat de huit ans, qui se termine le 1er janvier.

L’an dernier, la célèbre fête annuelle avait été limitée à de petits groupes de travailleurs essentiels. Mais il y a un peu plus d’un mois, le maire avait joyeusement annoncé qu’une foule entièrement vaccinée de centaines de milliers de personnes serait de retour cette année pour voir descendre la grosse boule de cristal. 

L’année dernière, Times Square était presque vide, avec Jennifer Lopez et d’autres artistes se produisant derrière les barricades de la police. Une fois que les vaccins sont devenus largement disponibles aux États-Unis, New York a permis aux foules de revenir, pour les feux d’artifice de Macy’s lors de la fête nationale du 4-juillet, pour le célèbre défilé de la Thanksgiving et pour d’autres événements populaires.

«New York est le meilleur endroit au monde pour célébrer le Nouvel An et maintenant, ce sera également l’un des plus sûrs contre la COVID-19», a déclaré le maire élu, Eric Adams, dans une déclaration écrite approuvant les nouvelles mesures du maire sortant. 

New York : ce qu’il faut savoir sur ses gratte-ciels, ses ponts iconiques et Central Park le podcast de Lionel Gendron

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New York : ce qu’il faut savoir sur ses gratte-ciels, ses ponts iconiques et Central Park (rtl.fr)

PODCAST – Promenade dans New York, une ville célèbre dans le monde notamment pour ses tours emblématiques, ses ponts iconiques ou encore son parc mythique.

Lionel Gendronpublié le 21/12/2021 à 06:30

Si New York est aussi iconique, c’est en partie grâce à eux. Le monde entier connait Manhattan grâce à ses ponts, ses immenses gratte-ciels, ses ponts surplombant East River ou l’Hudson, ou encore son mythique parc central. 

Lionel Gendron, correspondant de RTL à New York, arpente le bitume de la « Grosse Pomme » depuis plus d’un an déjà. Dans cet épisode best-of, il nous fait découvrir les tours et les monuments les plus emblématiques de la ville, et nous offre une ballade dans Central Park, gigantesque poumon vert de New-yorkais.

Une promenade, nous menant du Brooklyn Bridge au One World Center, et qui se termine au Reservoir, l’immense plan d’eau de Central Park, depuis lequel une incroyable vue sur les buildings de Manhattan s’offre aux visiteurs. Abonnez-vous à ce podcast

LA VILLE DE NEW-YORK SIGNE LA FIN DU GAZ NATUREL DANS LES BÂTIMENTS NEUFS

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La ville de New-York signe la fin du gaz naturel dans les bâtiments neufs – L’EnerGeek (lenergeek.com)

Ce 15 décembre 2021, le Conseil Municipal de New-York a voté une loi interdisant le raccordement au gaz naturel pour la majorité des nouvelles constructions, qui entrera en vigueur en 2023 pour les petits immeubles, et 2027 pour les grands. C’est une première aux Etats-Unis.

New-York interdit le gaz naturel dans le neuf à partir de 2023 et 2027

Les bâtiments représentent aujourd’hui 70 % des émissions de gaz à effet de serre de la ville de New-York, aux Etats-Unis. La cité, lancée dans un verdissement de son électricité (objectifs : 70 % d’EnR dans le mix en 2030, neutralité carbone en 2040), a décidé de cibler le secteur résidentiel pour accélérer sa transition énergétique.

Ce 15 décembre 2021, le Conseil Municipal de New-York a donc adopté une nouvelle loi, qui interdira l’usage du gaz naturel ou du mazout dans les nouveaux immeubles construits dans la ville. La mesure rentrera en vigueur dès 2023 pour les immeubles de moins de 7 étages ; il faudra attendre 2027 pour les immeubles plus grand.

La loi doit encore être signée par le maire Bill de Blasio, une simple formalité puisqu’il la défend. Les bâtiments anciens ne sont en revanche pas concernés par la mesure, qui fait également une exception pour les hôpitaux, les cuisines commerciales et les laveries automatiques, qui pourront continuer à utiliser le gaz naturel.

Cette loi permettra aussi de réduire la pollution de l’air intérieur dans les quartiers les plus pauvres, ainsi que le risque d’explosion, même si, pour ces risques, les bâtiments anciens insalubres sont davantage concernés que les immeubles neufs.

Plusieurs autres villes américaines ont décidé d’interdire le raccordement au gaz naturel de certains types de bâtiments neufs pour des raisons climatiques, comme San Francisco, Berkeley et San Jose (Californie), Cambridge (Massachusetts) ou Seattle (Washington). A l’inverse, le Texas ou l’Arizona ont adopté des lois interdisant aux villes ce genre de mesures. Les défenseurs de l’environnement espèrent étendre cette mesure à l’ensemble de l’Etat de New-York puis, à terme, au niveau fédéral.

La ville de New York aura sa première femme commissaire de police

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La ville de New York aura sa première femme commissaire de police – News 24 (news-24.fr)

Le département de police de New York (NYPD) est sur le point d’avoir sa première femme chef de police après le départ à la retraite du commissaire sortant à la fin de l’année. Le maire élu de la ville, Eric Adams, a choisi l’actuel chef des détectives du comté de Nassau, Keechant Sewell, comme choix pour diriger la plus grande force de police des États-Unis qui compte environ 35 000 agents, a rapporté NBC. La sélection de Sewell a été confirmée mardi et une annonce officielle de la décision devrait être faite aujourd’hui dans un développement de logements publics dans le Queens. Sewell prendra ses fonctions en janvier de l’année prochaine. Adam dans un communiqué a soutenu la nomination de Sewell et a déclaré qu’elle avait fait ses preuves en tant que « combattante du crime avec l’expérience et l’intelligence émotionnelle pour offrir à la fois la sécurité dont les New-Yorkais ont besoin et la justice qu’ils méritent ».

Sewell a servi dans les départements des stupéfiants et des affaires importantes du département de police de Nassau, ainsi qu’en tant que négociateur d’otages, pendant 23 ans. Elle a pris la tête du département en tant que chef des détectives en septembre 2020.

Sewell, originaire du Queens, a battu plusieurs candidats, dont Carmen Best de Seattle et la commissaire de Philadelphie Danielle Outlaw, pour se frayer un chemin jusqu’au poste principal du NYPD.

Adam, qui est lui-même un ancien capitaine du NYPD, avait promis de nommer une femme au poste le plus élevé de la police de New York lors de sa campagne électorale.

Sewell ne sera que la troisième personne noire à diriger le NYD après Benjamin Ward et Lee Brown, qui étaient respectivement le meilleur poste dans les années 80 et 90. Sa nomination a été saluée par la Police Benevolent Association (PBA) de New York, le syndicat représentant les officiers de la ville, et la Legal Aid Society. Saluant cette décision, le président de la PBA, Patrick Lynch, a déclaré que les officiers du NYPS cherchaient à travailler avec Sewell en tant que nouveau chef et espéraient qu’elle arrangerait la pause pour remettre le service de police et la ville sur la bonne voie.

Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur

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Menacée par la montée des eaux, New York se protège derrière un mur – L’Express (lexpress.fr)

New York – New York, géant urbain entouré par les eaux et menacé par le dérèglement climatique, se protège derrière un gigantesque mur anti-inondations, espérant éviter les catastrophes des dix dernières années.

New York – New York, géant urbain entouré par les eaux et menacé par le dérèglement climatique, se protège derrière un gigantesque mur anti-inondations, espérant éviter les catastrophes des dix dernières années.

 Chantier de 1,45 milliard de dollars – 

Dans le sud-est de Manhattan, des travaux pour un budget de 1,45 milliard de dollars ont ainsi débuté pour ériger un mur et des digues contre les inondations.  

Sur le chantier, coincé entre l’East River et la voie rapide qui la longe, Tom Foley, directeur du département de la conception et de la construction de la ville de New York, explique à l’AFP avoir également projeté de « surélever le parc dans cette zone » au bord de l’eau, où vivent quelque 110.000 New-Yorkais. 

Sur quatre kilomètres, l’espace vert va être complètement surélevé de trois mètres et l’érection d’un mur anti-inondations doit permettre d’éviter les dégâts catastrophiques provoqués par les derniers ouragans et tempêtes qui se forment au-dessus de l’Atlantique. 

Ahmed Ibrahim, superviseur des travaux, montre sur place l’installation de « pylônes qui servent de fondations profondes » et des « parois de métal qui formeront un mur de séparation souterrain pour nous protéger des inondations« . 

– L’électrochoc Sandy – 

La prise de conscience des autorités new-yorkaises date d’octobre 2012 après l’électrochoc de l’ouragan Sandy qui avait provoqué la mort d’au moins 44 personnes, des dégâts de 19 milliards de dollars et l’absence d’électricité pendant des semaines, rappelle Sara Nielsen, directrice de la planification des parcs de New York. 

Dans ce quartier hyper dense du sud-est de Manhattan, l’eau était montée à un niveau record de 2,7 mètres au-dessus du niveau de la mer. 

Pour Sara Nielsen, après l’ouragan Katrina qui avait frappé la Nouvelle-Orléans en 2005, « Sandy a été la première catastrophe qui a accéléré notre approche du changement climatique« . L’experte se félicite qu’aujourd’hui la ville, aux infrastructures parfois délabrées, se dote de « projets très importants pour protéger les New-Yorkais« . 

La ville « investit plus de 20 milliards de dollars (dans un plan pluriannuel de) +résilience climatique+ avec une stratégie à plusieurs niveaux pour la protection de notre littoral« , explique à l’AFP Jainey Bavishi, directrice du bureau du maire de New York pour la « résilience climatique« . 

– Poumon vert – 

Pas vraiment une ville arborée – à l’exception du poumon vert géant de Central Park – Manhattan va également replanter des milliers d’arbres de différentes espèces autour du chantier et améliorer les réseaux souterrains d’égouts, d’évacuation des eaux usées et d’électricité. 

Les urbanistes cherchent aussi à améliorer l’habitat, l’un des talons d’Achille de New York, notamment en raison du nombre de logements en sous-sol exposés aux inondations et de la piètre qualité des constructions et des isolations thermique et phonique des logements. 

« Il y a un million de bâtiments à New York. Nous les modernisons partout où c’est possible« , assure Jainey Bavishi, vantant « l’un des codes de construction les plus résilients au monde« . 

Reste que le projet de mur anti-inondations ne plaît pas à tout le monde. Des associations de riverains le contestent devant la justice et le chantier ne devrait pas être achevé avant 2026. 

Terry, résident du quartier qui refuse de donner son patronyme, reconnaît que c’est « une bonne idée » mais regrette que « les choses avancent lentement« . 

Pour Jainey Bavishi, New York et son programme de « résilience climatique » peut s’inscrire dans le volet environnemental du plan de 1.200 milliards du président Joe Biden, voté au Congrès, pour investir massivement dans les infrastructures aux Etats-Unis.