Archives de catégorie : La vie à New York

New-York : bientôt des îles pour traiter les déchets ?

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14 millions de tonnes : c’est le nombre de déchets produits chaque année par l’ensemble de la population new-yorkaise. Ces détritus remplissent les décharges publiques, situées aux extérieurs de la métropole américaine, alors que certains pourraient être transformés en compost. Un cabinet d’architecte, Present Architecture, s’est penché sur cette problématique. Zoom sur leur idée novatrice : créer des îles flottantes pour le traitement des déchets.

Projet « Green Loop » : un réseau d’îles flottantes artificielles aux abords de la ville de New-York
Des architectes du cabinet Present Architecture se sont penchés sur une problématique soulevée par NYC.gov (site officiel de la ville de New-York) : la nécessité de traiter une partie des déchets acheminés jusqu’aux décharges publiques pour le compostage.

La solution envisagée ? Des îles flottantes qui seraient installées dans 5 districts de l’agglomération.

Double avantage : ceci pourrait permettre de réduire la pollution et créerait de nouveaux espaces publics.

Pour cela, le cabinet d’architectes a présenté une idée révolutionnaire : profiter de la situation de la ville, face à l’océan et à l’embouchure d’un fleuve, pour créer des îles de traitement des déchets organiques qui répondraient au nom de « Projet Green Loop ». Au total, une dizaine d’îles seraient disséminées dans toute la ville.

Projet « Green Loop » : il a plus d’un avantage
Les architectes Evan Erlebacher et André Guimond détaillent « le projet Green Loop combine une station de basculement de déchets organiques, une installation de compostage industriel et un parc. Nos parcs de compost sont situés le long du front de mer pour profiter de l’infrastructure de transport existante. Il existe déjà à New York une collecte sélective pour les déchets organiques ».Le projet permettrait également de créer des emplois. En effet, un tel projet de construction permettrait d’occuper les gens pendant un certain temps et une fois les installations en place, du personnel sera nécessaire pour faire fonctionner et gérer les exploitations.

Chaque île sera multicouche. Une route reliée à la terre permettra aux camions de décharger les déchets organiques. Ce processus de compostage intérieur produira un sol riche en nutriments, qui sera quant à lui transporté (pour être réutilisé) via la mer pour décongestionner la circulation.

Sur les 10 îles de compostage, les espaces publics représenteraient 125 hectares d’espaces verts en plus pour la ville.

Pour l’aspect général des îles, il faut savoir que leurs toits seront recouverts d’étendues d’herbes, mêlant chemins, pistes cyclables et jardins citoyens, où chacun pourrait s’adonner au jardinage et réutiliser une partie du compost produit quelques mètres sous terre.

Et pour l’hiver ? Les concepteurs ont pensé à tout puisqu’il est prévu que la neige transforme ces ouvrages en pistes de ski de fond !

Tri des déchets pour les îles : comment cela fonctionnerait-il ?
Pour commencer, le processus de tri impliquerait que les New-Yorkais séparent les déchets organiques du reste de leurs poubelles. Ensuite, ces ordures seraient collectées par camions et transportées vers l’île de traitement la plus proche.

Sur cette île, un centre industriel de compostage. Evidemment, pour éviter tout désagrément pour les riverains, des filtres à odeurs seront installés pour masquer les émanations de méthane.

Une fois le processus de compostage arrivé à son terme, des bateaux viendront embarquer les tonnes de compost pour les livrer à leurs acheteurs par voie maritime, permettant au passage de décongestionner les rues de la ville.

Iles flottantes réceptrices de déchets : et l’odeur dans tout ça ?
Les architectes qui s’occupent du projet soulignent « il s’agit d’une installation de traitement industriel donc il existe plusieurs options pour éliminer les odeurs : la température, le taux d’oxygène et la composition du compost.

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Ces choses peuvent être contrôlées grâce à l’installation industrielle. Le compostage peut se faire dans un système fermé qui réduit les odeurs et les bio- filtres sont également un moyen efficace pour les réduire dans l’air ».

Un jeune rappeur risque 25 ans de prison

Bobby Shmurda, qui a atteint le top 10 aux Etats-Unis grâce à sa «Shmoney Dance», a été inculpé jeudi par un tribunal américain pour actes de violence et infractions liées à la drogue. Il risque 25 ans de prison.
Agé de 20 ans, le rappeur et sept personnes ont été arrêtés mercredi matin près d’un studio d’enregistrement à proximité de Times Square, au coeur de New York. Selon les procureurs, sept autres personnes ont été arrêtées ailleurs.

Ackquille Pollard, alias Bobby Shmurda, a officiellement été inculpé jeudi lors d’une audience au cours de laquelle il a plaidé non coupable. Son avocat a qualifié les accusations de «ridicules».

Il est accusé d’appartenir à un gang impliqué dans des fusillades contre des gangs rivaux dans le quartier new-yorkais de Brooklyn. Les procureurs ont précisé que la police avait saisi 21 armes à feu, dont deux dans la voiture de M. Pollard.

«Ces individus violents vont désormais faire face à leurs responsabilités pour leur décision d’appartenir à un gang qui a apporté un niveau de violence inquiétant dans les rues de Brooklyn et au-delà des limites de notre ville», a commenté le chef de la police de New York Bill Bratton, dans un communiqué.

Vidéo virale

La carrière d’Ackquille Pollard a décollé cette année avec la chanson «Hot Nigga» qui fait beaucoup référence aux armes à feu et à la vie dans la rue. Elle s’est hissée au sixième rang du classement américain des singles.

Elle est devenue virale sur Internet grâce à la vidéo «Shmoney dance» qui l’accompagnait où les coudes virevoltent dans tous les sens. Cette chorégraphie a rapidement fait des émules chez d’autres rappeurs ainsi qu’auprès de chanteurs populaires, dont Justin Bieber.
Trafic de drogues

L’acte d’accusation avance que Shmurda était présent lorsqu’un de ses camarades de gang avait tué un rival en février 2013 dans une boutique de Brooklyn. Il est également accusé de conspiration pour commettre un meurtre et de possession de crack. Les procureurs soupçonnent le gang de faire du trafic de drogues.

Selon l’acte d’accusation, la police a secrètement enregistré des conversations téléphoniques. Le rappeur aurait dit en avril cette année «I am two socks Bobby right now» (Je suis Bobby aux deux chaussettes en ce moment»), les chaussettes étant un euphémisme pour «pistolet».

New York, la ville lumière

http://www.guide-joailliers.com/art,258,new-york-la-ville-lumiere.html

New York, la ville lumière

L’arrivée des fêtes de fin d’année est toujours très riche en événements, soirées, lancements de produits… Mais à New York cela se double d’une féérie où toute la ville se pare de vitrines somptueuses et merveilleuses. Un enchantement visuel participant à la joie de Thanksgiving et de Noël.

Les magasins dévoilent aussi leurs plus beaux joyaux dans ces écrins fastueux. La célèbre maison Tiffany & Co en a profité pour lancer sa nouvelle collection « T », créée par Francesca Amfitheatrof. Cette ligne revisite la première lettre de la maison, tout en la surnommant la « Train » collection. Une invitation au voyage, avec une déclinaison de bracelet jonc, bague, mais aussi collier et bracelet à maille en forme d’accroche de wagon comme une ombre de T ! Tous les modèles sont disponibles en or jaune, rose ou blanc mais aussi en argent. Le lancement à New York c’est fait dans un vrai wagon aux allures de traversé de l’ouest américain et en première classe ! Pour les fêtes le magasin historique de la cinquième avenue est décoré d’aigrettes géantes de diamants blancs et orné de son célèbre diamant jaune Tiffany !

Juste à côté, se trouve un des grands magasins les plus luxueux au monde : Bergdorf Goodman. Une institution de l’ultra luxe avec une sélection de marques parfois introuvables ailleurs dans le monde. La sélection de bijoux est absolument fabuleuse. Des maisons de haute joaillerie incroyables, des bijoux hors du commun parmi lesquelles la dernière arrivée est une petite maison parisienne : Blanchin Joaillerie ! Blanchin s’est fait remarquer pour ses collections tout en douceur et subtilité avec des saphirs Padparadscha rose orangé, mais aussi des saphirs tilleul, jaune pâle, bleu pastel, ou encore des pierres de lune ou spinelles roses, gris ou parme… Une légèreté de trait se jouant de la rigidité des matériaux pour des pièces qui sauront séduire les clientes fortunées en visite dans ce temple du luxe ! Mais cela n’est pas tout, Bergdorf Goodman émerveille par ses vitrines totalement grandioses, telles des images sorties de conte de fées et d’imaginaire interdit. Vous pouvez rester des heures à les admirer tellement elles sont captivantes !

Cette fin d’année marque aussi la fin des festivités des 175 ans dePatek Philippe. La maison de Haute Horlogerie genevoise a organisé sa dernière soirée d’anniversaire dans la célèbre Rainbow Room, au dernier étage du Rockefeller Center. Une salle mythique qui vient juste d’être réouverte après plusieurs années de restauration. Une vision panoramique de New York avec une vue imprenable sur le Chrysler et l’ Empire State building ! Pour l’occasion, la maison Patek Philippe a dévoilé son dernier bijou : La Grandmaster Chime 5175 , la montre anniversaire des 175 ans. Cette grande complication comporte le plus grand nombre de complications au monde : 20 exactement dont une Grande et une Petite Sonnerie et 2 premières complications mondiales dont une alarme programmable tous les quarts d’heure. Cette montre en or est aussi réversible avec 2 cadrans totalement différents. Le cadran pivote sur un axe permettant une lecture facile des 2 côtés. Un petit bijou qui a nécessité 7 ans de mise au point réaffirmant le savoir-faire de cette maison incomparable. Editée à 7 exemplaires, une montre sera réservée pour le musée Patek à Genève et les autres pour quelques clients pouvant s’offrir une montre à 2,6 millions de dollars !

Enfin si vous venez à New York en fin d’année, vous ne manquerez pas de venir découvrir le fameux sapin de Noël juste au dessus de la patinoire du Rockefeller Center, un sapin géant de 26 mètres de haut, entièrement décoré de lumières telles des diamants, rubis, saphirs et émeraudes brillants de mille feux !

Cyril Magne

Suppressions de paroisses catholiques à New York

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17 décembre 2014 | Par Michel Granger

Dans un pays où la religion a toujours été identitaire, liée à la période héroïque de la colonisation au xviie siècle (celle des « Pères pèlerins »), où la séparation des églises et de l’État n’a jamais coupé la vie politique de la religion, au point que les hommes politiques arborent leurs appartenances et croyances religieuses à la boutonnière, la suppression programmée de nombreuses paroisses ne peut passer inaperçue. Depuis cet automne, l’archidiocèse de New York – qui s’étend des montagnes Catskills à Staten Island – est en pleine effervescence : le cardinal Richard Nolan a lancé un vaste plan de fusion de paroisses pour réduire les coûts de fonctionnement. Sur 368, 112 on fait l’objet d’une étude pour donner naissance à 55 nouvelles paroisses. Récemment, un projet d’économies supplémentaires est venu en discussion, concernant 38 paroisses qui devraient se fondre en 16. La fermeture des églises inutilisées aura lieu en août prochain. Ces fusions se produisent dans la région de New York qui a pourtant une histoire de forte immigration catholique (irlandaise, italienne, portoricaine), mais d’autres diocèses des États-Unis sont aussi concernés et doivent procéder à des regroupements similaires.

Divers épisodes médiatiques concernant des questions de société portant sur l’avortement ou le mariage gay, par exemple au moment de la campagne électorale de 2012, avec la candidature du catholique traditionnaliste Rick Santorum, ont fourni une visibilité aux extrémistes et pu donner l’impression d’un puissant renouveau religieux. Toutefois, les plans d’économies réalisés par diocèses révèlent une crise de l’Église catholique américaine. Elle doit faire face par endroits à une désaffection sérieuse : il n’y aurait plus en moyenne que 12% de fidèles pour assister aux messes, selon les données de l’archidiocèse de New York. Les bâtiments coûtent cher à l’Église à qui revient de les entretenir : d’où la nécessité de réduire le nombre de paroisses, afin de conserver ce qui peut être sauvé. On gardera notamment celles dont les budgets sont équilibrés, parce qu’elles sont plus fréquentées et situées dans des quartiers où les riches donateurs sont généreux. Les églises inutilisées seront vendues dans les années à venir. À cela s’ajoute le manque de prêtres qui incite fortement à conduire une politique d’austérité.

Plusieurs explications de ce déclin peuvent être avancées. Certains des quartiers peuplés, où les églises avaient été construites il y a un siècle ou un siècle et demi, se sont remplis d’immeubles de bureaux, si bien que la population s’est éloignée vers les banlieues vertes. Le mode de vie a changé, les fidèles se sont transformés en « Chreasters », des pratiquants qui n’assistent plus qu’aux messes de Noël et de Pâques (Christmas + Easter), moments privilégiés pour témoigner leur attachement minimal à la religion, ou tout au moins à la tradition. Sans doute aussi certains se sont-ils éloignés de la religion institutionnalisée, celle qui fait la jonction entre les principes séculiers et les préceptes religieux, pour se contenter de croyances individuelles bricolées qui ne nécessitent plus d’aller à la messe.

L’Église catholique américaine souffre enfin très vraisemblablement des effets négatifs cumulés des milliers de scandales d’abus sexuels sur mineurs qui ont éclaté depuis une douzaine d’années : ils ont donné lieu à des procès comportant d’énormes indemnités financières qui ont touché les diocèses au portemonnaie et singulièrement réduit l’attractivité des églises. La diminution d’autorité morale qui en a résulté contribue à rendre silencieux le clergé sur les questions essentielles, l’injustice économique et sociale, la crise écologique, le fonctionnement du système judiciaire et le comportement de la police, comme lors des événements de Ferguson…

New York sauve la peau des chiens

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Monde.fr | 17.12.2014 à 10h11 • Mis à jour le 17.12.2014 à 10h17 | Par Stéphane Lauer (New York, correspondant)

Les tatouages et les piercings sur les animaux de compagnie sont désormais interdits dans l’Etat de New York. Les contrevenants s’exposent à une amende ou à une peine de prison.

On ne badine pas avec la condition animale à New York. Alors que la mairie tente de faire interdire les calèches de Central Park pour protéger les chevaux qui les tirent, le gouverneur de l’Etat, Andrew Cuomo, a signé, lundi 15 décembre, le décret d’application d’une loi interdisant de tatouer ou de pratiquer un piercing sur un animal de compagnie. « Il s’agit d’un abus pur et simple, a déclaré le gouverneur. Je suis fier de signer cette loi de bon sens et de proscrire une fois pour toutes à New York ces pratiques cruelles et inacceptables. »

L’origine de la décision remonte à 2011, lorsqu’une élue locale, la démocrate Linda Rosenthal tombe par hasard sur Internet sur la vente de « chatons gothiques », des animaux auxquels on avait infligé des piercings dans les oreilles ou sur le dos. Quelques mois après, un artiste de Brooklyn avait ravivé la polémique en postant sur Instagram une photo de son chien sur lequel il avait tatoué un cœur percé d’une flèche, le tout entouré d’un ruban avec deux prénoms inscrits « Alex » et « Mel ». « L’une des nombreuses raisons pour lesquelles mon chien est plus cool que le vôtre », indiquait la légende de la photo, qui entre-temps a été supprimée.

CONSENSUS POLITIQUE POUR PROTÉGER LES ANIMAUX

Même si la cruauté envers les animaux était déjà réprimée, la législation locale était jusqu’à présent muette sur les tatouages et les piercings. Une fois n’est pas coutume, la loi a fait l’objet d’un consensus entre Démocrates et Républicains.

« Les animaux ne peuvent pas protester contre le fait qu’on leur inflige des pratiques douloureuses », a souligné le Sénateur républicain Tom Libous, qui s’est félicité d’avoir « interdit cette pratique sans cœur ».

« Les gens peuvent choisir de se faire tatouer ou percer leur propre corps, mais leurs animaux de compagnie ne jouissent pas du même luxe », a déclaré pour sa part Mme Rosenthal. « Quiconque soumettrait un animal à une douleur inutile et le ferait souffrir pour en faire un accessoire de mode se rendrait coupable d’un crime et avec ma loi, il s’exposera désormais à de sévères sanctions ». Tatouer ou pratiquer un piercing sur son animal de compagnie dans l’Etat de New York est désormais passible de quinze jours de prison et/ou une amende de 250 dollars. Les tatouages qui servent à identifier les animaux seront toutefois toujours tolérés.

Stéphane Lauer (New York, correspondant)
Correspondant à New York

La ville de New York s’attaque aux DEEE

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par zegreenweb, Mercredi 17 décembre 2014

En 2012, les Etats-Unis détenaient le record mondial de production de DEEE (Déchets d’Equipements Électriques et Électroniques) par habitant. La ville de New York a décidé de s’attaquer sérieusement à ce fléau qui touche particulièrement les pays développés.

La grosse pomme a décidé de donner l’exemple. A partir du 1er janvier 2015, l’une des bonnes résolutions de la ville consistera en l’interdiction de jeter dans les poubelles classiques les déchets d’équipements électriques et électroniques, parmi lesquels les téléviseurs, ordinateurs, jeux vidéos, consoles, tablettes ou encore smartphones, dont les habitants sont particulièrement friands et qu’ils renouvellent à un rythme effréné sans pour autant toujours se soucier de ce qu’il va advenir de leurs anciens équipements. Ces derniers représentent en effet un véritable danger pour l’environnement et nécessitent un traitement particulier, et donc d’être triés en amont.

Plusieurs solutions de recyclage sont mises à la disposition des New-yorkais, à l’image de ce qui peut exister en France, avec des organismes dédiés tels que EcologicLa filière mise en place permettra, au delà de combattre le fléau de ces déchets, de réutiliser une partie des matériaux extrait lors de leur recyclage. Dans le cas où les anciens équipements sont toujours en état de marche, une autre solution est également de les revendre. De nombreuses bourses d’échange existent. New York a désormais la sienne : NYC Stuff Exchange. A suivre.

Vidéo : un OVNI survole la Statue de la Liberté à New York

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C’est une vidéo particulièrement étrange qui a été récemment mise en ligne sur Youtube. On peut y observer un phénomène mystérieux se dérouler dans les airs, juste au-dessus de la Statue de la Liberté. L’hypothèse d’un OVNI n’a pas tardé à être émise.
La séquence a été mise en ligne le 10 décembre par Scott Kensington, un utilisateur de Youtube où il partage régulièrement des vidéos anodines.
A priori, il ne s’agit pas là d’un individu farfelu. Aussi la courte scène qu’il a récemment partagée sur le réseau est-elle d’autant plus frappante.

Au-dessus de la Statue de la Liberté
Selon le vidéaste amateur, elle aurait été tournée à l’occasion d’une visite de New York (Etats-Unis) en compagnie de sa femme. Et on peut en effet y observer un très étrange phénomène.
Survolant la Statue de la Liberté, une « sphère » de couleur sombre évolue doucement, sans que sa forme réelle ne soit jamais vraiment identifiable.

Ballon, drône… ou autre chose
La piste d’un ballon à l’hélium a été évoquée, mais la trajectoire suivie par cette « OVNI » est trop linéaire pour qu’elle ne soit plausible. Quant à l’hypothèse d’un drone, elle demeure possible. Mais le cas échéant, la « sphère » de New York ne ressemble guère aux modèles connus.

L’usage des armes à feu par la police de New York au plus bas en 2013

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L’usage des armes à feu par la police new-yorkaise a chuté à des taux historiquement bas en 2013, bien que les agents des forces de l’ordre aient blessé davantage de personnes qu’en 2012, selon un rapport paru mercredi.

Ces statistiques sont publiées alors que des milliers d’Américains manifestent depuis plusieurs semaines contre une série de bavures policières ayant conduit à la mort d’hommes noirs non armés par des officiers de police blancs.

Ce rapport annuel de la police indique qu’en 2013 les policiers new-yorkais ont fait 23% en moins usage de leur arme à feu que l’année précédente.

Ils ont ainsi tiré 248 fois lors de 81 incidents impliquant des coups de feu — le chiffre le plus bas depuis que la police de New York a commencé à faire ce genre de relevés en 1971, selon le rapport.

La police a abattu huit personnes en 2013 — un taux historiquement bas également atteint en 2010 — soit deux fois moins qu’en 2012 où 16 personnes avaient été tuées par les agents des forces de l’ordre.

NEW YORK INVENTE LE BUILDING À HIPSTERS

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Un grand complexe aux 31 appartements luxueux, appelé 15 Renwick, est actuellement en construction à Hudson Square, dans Manhattan.

Un quartier résidentiel pour les riches hipsters », c’est ainsi que Dan Oelsner, vice président de l’entreprise IGI-USA, désigne son nouveau projet appelé 15 Renwick. Celui-ci consiste à bâtir un immeuble au décor néo-victorien, en référence au mouvement littéraire steampunk – qui peut être traduit par rétrofuturisme en français. Situé dans le quartier d’Hudson Square à Manhattan – entre Tribeca, SoHo et West Village -, ce complexe a pour but d’augmenter l’activité économique de cette zone, laissée à l’abandon depuis 2009 et résistante à la gentrification. L’architecte Ismael Leyva et Harry Jeremias, professionnel de l’immobilier new-yorkais, sont aux commandes de ce projet principalement résidentiel. Un parking, un accès au rooftop, des buanderies, un jardin zen et une salle de boxe seront à disposition des futurs résidents du building aux 31 appartements luxueux. Pour s’approprier un de ces logements, il faudra compter entre 2 et 7,5 millions de dollars, soit entre 1,6 et 6 millions d’euros. « La mise en vente n’a commencé qu’il y a un mois et les retours sont déjà impressionnants », affirme Oelsner. Toujours en construction, le lieu devrait ouvrir ses portes au cours de l’année 2015.

10 heures dans New York au volant d’une Lamborghini : l’expérience sociale

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Admiration ? Dégoût ? Surprise ? Indifférence ? Quelle serait votre réaction, si vous aperceviez subitement une Lamborghini tournant au coin de la rue et passant doucement devant vous ? C’est ce qu’a voulu découvrir l’internaute Allen Wong, en postant une GoPro sur la carrosserie de sa voiture pour enregistrer toutes les réactions des passants 10 heures durant dans les rues de New York.