Archives de catégorie : La vie à New York

Les ordures à New York

http://www.voaafrique.com/content/net-effort-de-new-york-pour-recycler-les-ordures/2909930.html

Net effort de New York pour recycler les ordures
Les New Yorkais sont encouragés à trier les bouteilles et les canettes.

Selon les Nations Unies, la planète compte plus de 7 milliards d’habitants et pourrait en recenser environ 11,2 milliards d’ici à 2100. Tout ce bon monde créé des déchets, notamment dans les mégapoles telles que New York.

Le bureau du recensement des Etats-Unis chiffre à environ 8,5 millions le nombre d’habitants de New York, sans inclure sa banlieue. Ils produisent quotidiennement des montagnes de déchets qui dans le passé, étaient expédiées dans des décharges. Notamment celles de Staten Island.

Aujourd’hui, la municipalité de New York se charge d’évacuer les ordures et de les recycler au besoin. En ce qui concerne le recyclage, les détritus sont expédiés au Centre de recyclage municipal Sims du quartier de Brooklyn, un centre hypermoderne. Chaque mois, il transforme 20 mille tonnes de métaux, plastiques et verres.

Les New Yorkais sont encouragés à trier les bouteilles et les canettes, mais seulement 20 pour cent d’entre eux se fatiguent à le faire. Pourquoi ce manque d’enthousiasme? C’est entre autre parce que la métropole reste un point de transit, plutôt que de résidence, pour des dizaines de milliers de personnes aux traditions les plus variées, qui n’incluent pas nécessairement le recyclage des ordures, explique Tom Outerbridge, manager du Centre Sims.

« Pour nos programmes de recyclage, cela représente des défis qu’on éviterait au sein d’une société plus homogène. Mais compte-tenu de ces défis, la ville se débrouille assez bien », déclare Tom Outerbridge.

Une machine surnommée «Le Libérateur » déchire les sacs en plastique et libère les détritus pour le triage. Un aimant gigantesque capte tous les objets contenant du fer et les expédie vers un autre convoyeur. Une autre machine brise les objets en verre qui partent dans une autre direction.

Des scanners optiques, qui coûtent environ 100 mille dollars pièce, sont programmés pour identifier certains types d’objets, comme les bouteilles en plastique d’eau
et de lait. Lorsque le scanner détecte un de ces objets, il déclenche des jets d’air sur le convoyeur, pour les expédier dans la bonne direction. « Les gens dissent qu’on travaille avec des ordures, mais ce sont des objets recyclables », explique Marcus, un employé du centre de recyclage SIMS.

Une fois triées, les ordures arrivent à la presse, qui fabrique des balles de plastique ou de métaux, pesant jusqu’à une demie-tonne. Le centre SIMS les revend à des usines ou elles servent à fabriquer des produits neuf.

« On fait en sorte que la planète aille mieux. On s’aide mutuellement à survivre. C’est ce qu’il y a de mieux », affirme Monica, une employée du centre de recyclage SIMS.

Le centre SIMS donne l’exemple d’autres façons. Il s’est doté de panneaux solaires sur son toit, et utilise même une éolienne. Des énergies renouvelables qui lui fournissent vingt pour cent de son électricité

Le Crime remonte à New York

http://www.lesechos.fr/monde/etats-unis/021246147815-la-criminalite-remonte-a-new-york-1142331.php

Les meurtres ont augmenté de 10,9% à New York sur les sept premiers mois de l’année, passant de 174 à 193, mais le maire rejette l’idée que la ville est devenue plus dangereuse.

« Regardez les faits et arrêtez l’hystérie », a lancé mardi Bill de Blasio, lors d’une conférence de presse à New York. Le maire a souligné que la criminalité dans son ensemble était en baisse en 2015, par rapport à la même période de l’an dernier, et rappelé que le nombre des meurtres avait connu l’an dernier une baisse historique.

Selon les statistiques de la police, les meurtres ont augmenté de 10,9 % sur les sept premiers mois de l’année à New York, passant de 174 à 193, ce qui représente près d’un crime par jour. Les viols ont eux augmenté de 6 % passant de 731 à 775. Les vols, vols qualifiés, cambriolages, et autres agressions sont à l’inverse en baisse, d’où la baisse globale de la criminalité, évoquée par le maire, à -5,58%.

« Nous avons eu une légère hausse des meurtres, il n’y a pas de doute. Mais je pense que nous allons reprendre ça en main », a ajouté le maire.

Augmentation des fusillades

Les mêmes statistiques au 26 juillet montrent aussi une augmentation du nombre des fusillades, passées de 634 à 651 (+2,7%) et des victimes de ces fusillades, passées de 740 à 761 (+2,7%), avec cependant une baisse sensible depuis un mois.

« Nous avons un problème lié aux gangs », a reconnu le maire, tout en ajoutant que ces derniers jours avaient permis de retourner la tendance par rapport à la même période de l’an dernier, et que le total des fusillades et de leurs victimes était désormais inférieur à celui de 2014.

L’été est souvent plus propice à ce genre d’incidents et en juin la police de New York avait ordonné à quelque 330 policiers de quitter leur bureau pour patrouiller dans des quartiers sensibles, pour essayer de faire diminuer la criminalité.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/etats-unis/021246147815-la-criminalite-remonte-a-new-york-1142331.php?u3yqhvtDP6uY0d58.99

une naissance à New York. Oui mais pas n’importe où….

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1ère naissance au World Trade Center depuis le 11/09

Pour la première fois depuis les attentats, une femme a donné naissance à une petite fille dans le hall de la station de métro du World Trade Center à New York

Une new-yorkaise a donné naissance mardi 3 août à une petite fille dans le hall de la station de métro du World Trade Center à New York, une première sur le site depuis les attentats du 11-Septembre.

La petite Asenat, qui pèse 3,1 kg, est née à 2h30 du matin (6h30 GMT). Sa mère, enceinte de neuf mois, avait appelé la police peu avant, affirmant qu’elle était sur le point d’accoucher. Des policiers de l’Autorité portuaire (Port Authority), responsable de la station du PATH – un métro rapide reliant Manhattan au New Jersey – ont alors préparé la mezzanine du hall de la gare pour la naissance, et assisté la jeune mère.

Les services d’urgence sont arrivés deux minutes avant la naissance de la petite fille en pleine santé, a précisé un porte-parole de l’Autorité portuaire de New York et du New Jersey, Joe Pentangelo.

La petite fille, son frère de 2 ans et ses parents ont ensuite été transportés à l’hôpital Beekman, dans le sud de Manhattan.

Selon Joe Pentangelo, Asenat est le premier bébé né sur le site du World Trade Center depuis les attentats du 11 septembre 2001. Le gouverneur Andrew Cuomo s’est empressé de féliciter les parents sur Twitter, ainsi que les agents ayant aidé à la naissance.

Congratulations! @PANYNJ police delivered a baby on the WTC PATH platform early this morning—the first baby born at the WTC site since 9/11.
— Andrew Cuomo (@NYGovCuomo) August 4, 2015

New York : un immense gruyère ?

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/04/97001-20150804FILWWW00304-un-trou-beant-dans-le-sol-de-new-york.php

Un trou béant dans le sol de New York

Les habitants d’une rue de New York se sont réveillés ce mardi avec un spectacle inhabituel : un trou béant qui avait avalé une partie de la chaussée.

Cette doline -énorme trou causé par l’effondrement du sol- est apparue un peu après 7 heures du matin, à une intersection dans le quartier de Sunset Park à Brooklyn, selon les pompiers. Elle a avalé plus de la moitié de la rue sur quelques mètres, selon les photos des pompiers qui montrent un trou plus profond qu’un homme au carrefour de la 5e avenue et de la 64e rue à Brooklyn, et des canalisations arrachées. Personne n’a été blessé.

Les dolines sont des phénomènes naturels, variables en taille et profondeur. Parmi les plus spectaculaires, l’une d’elle avait avalé en mai 2010 un immeuble de trois étages au Guatemala à la suite de pluies torrentielles.

Huge sinkhole appears in #SunsetPark #Brooklyn Traffic remains closed from 63 to 65 street on 5 Ave! No injury! pic.twitter.com/pne6nm3JA

un ovni à New York

http://www.journaldemontreal.com/2015/08/03/un-ovni-depassant-un-avion-capte-en-video

Un passionné des avions a capté un OVNI dépassant un avion lors de son décollage de l’aéroport JFK à New York, rapporte le DailyMail.

Les images filmées le 7 juillet semblent montrer un objet dépassant l’avion Virgin Atlantic à haute vitesse.

Rick, de la chaîne YouTube LookNowTV dédiée à la présentation de vidéos d’OVNIS, a dit, «La personne qui a vu cet OVNI à l’aéroport JFK filme souvent des avions et essaie de capter des OVNIS en vidéo.

Je ne crois pas que celui-ci ressemble à un insecte ou à un autre avion. Je crois que c’est réellement un objet non identifié.»

Mais l’expert britannique en OVNIS Russ Kellett n’est pas convaincu, affirmant : «Il semble rapetisser et s’agrandir pendant qu’il bouge, c’est difficile de dire.

J’envoie toujours ce genre images à un expert de l’amélioration de l’image comme elles sont bonnes, mais malheureusement, ça pourrait être n’importe quoi.»

La Croix parle du pont de Brooklyn

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Le pont de Brooklyn résume l’esprit new-yorkais

LES PONTS (1/5) – Traverser à pied le pont de Brooklyn est un incontournable lors de la visite de la ville américaine

« Quand des amis ou des proches viennent de France pour la première fois à New York, je les amène toujours ici. Le pont de Brooklyn est pour moi, avec Central Park et la statue de la Liberté, l’un des trois lieux qui symbolisent le mieux la ville », explique Sophie, une Française fonctionnaire de l’ONU.

Installée de longue date à New York, elle-même ne se lasse pas de ces visites. Pour la vue, pour la balade… et aussi, il faut bien l’avouer, pour la petite bicoque qui vend d’excellents « lobster roll » – les petits pains au homard qui font fureur à Big Apple.

Un pont sur plusieurs niveaux

Avant chaque visite, Sophie prend soin de mettre en garde ses compagnons d’échappée : même au-dessus de l’East River, des règles s’imposent. Interdit, par exemple, de se ruer d’un bord à l’autre de la partie piétonne pour prendre la photo du siècle.

« Le pont est construit sur plusieurs niveaux, donc on échappe aux voitures, précise-t-elle. Mais la partie centrale et surélevée, plutôt étroite d’ailleurs, n’est pas réservée aux seuls piétons. Elle est également ouverte aux vélos. Et les cyclistes vont vite ! »

Des éléphants pour la solidité

Selon les données de la municipalité, plus de 120 000 véhicules, 4 000 piétons et 3 100 cyclistes traversent chaque jour le pont de Brooklyn. Et il en va ainsi, ou presque, depuis 130 ans.

Le 24 mai 1883, jour de son inauguration, 250 000 personnes ont marché sur l’eau, disent les historiens. Un an plus tard, très précisément le 17 mai 1884, la vigilance était encore plus de mise : Phineas Taylor Barnum, fondateur du cirque du même nom, faisait parader 21 éléphants pour démontrer la solidité de l’ouvrage…

Esprit pionnier et audace

Le pont résiste aujourd’hui aux pachydermes de la route. S’il a vieilli, il s’est bonifié, à l’image des grands crus : datés, ses deux piliers néogothiques et ses câbles, qui quadrillent le ciel souvent bleu de Manhattan, sont un rappel quotidien de l’esprit de pionnier et de l’audace de Gotham City. De l’audace, il en fallait pour entamer, en 1869, sur près de deux kilomètres la construction du premier pont suspendu en acier – et, alors, du plus long pont suspendu au monde.

Il était une fois en Amérique… un émigré, John Roebling, né en Allemagne en 1806. Après avoir bouclé des études d’ingénieur à Berlin, il part, à 25 ans, pour le Nouveau Monde. Pionnier, il y conçoit un système qui permettait aux ponts suspendus, structures plus légères, de résister aux lourdes charges et aux vents.

Une histoire familiale

Après avoir fait ses preuves au-dessus des chutes du Niagara, il reçoit le feu vert des élus de New York pour unir Manhattan à Brooklyn. Mais l’East River ne se laisse pas dompter : avant même le début des travaux, John Robeling se blesse au pied lors de mesures préalables et décède du tétanos.

Son fils, alors âgé de 32 ans, prend la relève. Ayant travaillé avec son père, Washington Roebling n’est pas un novice. Toutefois, la construction, qui vise à poser deux énormes pylônes de granit sur des caissons placés au fond de l’eau, est très complexe et se déroule dans des conditions terriblement difficiles. Il faut manipuler la dynamite, affronter la chaleur, et, surtout, la pression. Ingénieurs et travailleurs se muent en effet en plongeurs, travaillant jusqu’à plus de 30 mètres de profondeur.

Les dangers des profondeurs

Mais on ne maîtrisait pas alors le monde du silence. Faute de paliers lors de la remontée à la surface, les travaux firent de nombreuses victimes. Dont Washington, paralysé pour le reste de ses jours après un accident de décompression dès 1870. C’est depuis sa maison de Brooklyn, armé d’une longue-vue, qu’il surveillera les travaux, désormais pris en main par sa femme Emily.

Quand le pont fut inauguré en 1883, Washington, l’œil toujours rivé sur sa lunette, aura la satisfaction d’avoir accompli le rêve de son père, tel qu’il le formulait aux élus de New York : « L’ouvrage envisagé, s’il est construit selon mes plans, sera non seulement le plus grand pont existant, mais le plus grand ouvrage d’art de l’époque sur ce continent. Ses traits les plus marquants, les grandes tours, serviront de point de repère aux cités avoisinantes et pourront être considérés comme des monuments nationaux » (1).

Le paradis des coureurs

Depuis, le pont est une tour de Babel horizontale. On y parle à toute heure toutes les langues, comme à l’ONU voisine. Il y a des Européens, reconnaissables à leurs maillots de foot, des Français, qui déambulent guide à la main, des visiteurs venus de plus loin, dont on identifie mal la langue, et des Américains, bien sûr.

Lindsay passe, elle, le plus souvent en courant. Il faut un bout de temps à cette mère de famille anglaise pour arriver de son quartier de Brooklyn, mais elle fait toujours le chemin avec le plaisir. « Quand je parviens au milieu du pont, au sommet, et que je vois la vue sur Manhattan, j’ai toujours la même émotion, confie-t-elle. Quand j’ai des moments difficiles, car New York est parfois une ville dure, je viens ici, je recharge la batterie ! »

L’entrée majestueuse de Manhattan

Puis vient l’entrée sur Manhattan. Les deux pylônes de granit de style néogothique, surmontés chacun du drapeau américain, forment comme des portes d’entrée majestueuses souhaitant la bienvenue des deux côtés du pont.

Côté Manhattan, près de la mairie, un groupe de rappeurs attend souvent la foule sur un terre-plein central. « Est-ce que nous faisons ça pour l’argent ? », crie l’un d’entre eux. « Oui ! », clament ses compagnons. « Combien faut-il donner ? », reprend le premier. « Un dollar… pour les Noirs ! Cinq dollars… pour les Blancs ! Carte Bleue… pour les Chinois ! », répondent ses compères. La foule rigole, un sac circule, le son monte. Bienvenue à Manhattan. Le show peut commencer.

GILLES BIASSETTE, envoyé spécial à New York

(1) Cité par Hélène Trocmé dans la revue L’Histoire (n° 68, juin 1984)

Les couleurs de l’Empire State Building

L’Empire State Building s’illumine pour les animaux en danger

Le réalisateur et fondateur de l’Oceanic Preservation Society, Louie Psihoyos, dont le film The Cove (La Baie de la honte), sur le massacre annuel de milliers de dauphins au Japon, avait reçu l’Oscar du meilleur documentaire en 2010, est à l’origine d’un projet visant à sensibiliser l’opinion publique aux risques de la disparition d’animaux en danger.

Samedi 1er août, des images animées d’espèces en danger ont été projetées toute la soirée sur l’Empire State Building à New York.

http://www.lemonde.fr/planete/portfolio/2015/08/02/l-empire-state-building-s-illumine-pour-les-animaux-en-danger_4708368_3244.html

UN PROJET DE PARC SOUTERRAIN À MANHATTAN

Deux New-Yorkais veulent aménager le « premier parc souterrain au monde » dans une gare désaffectée du Lower East Side. Le projet, qui a fait un carton sur Kickstarter, est en bonne

Manhattan avait déjà sa High Line, un parc urbain aménagé sur d’anciennes voies de chemin de fer suspendues au-dessus du Lower West Side. En 2018, son équivalent souterrain, la Low Line, pourrait être inaugurée de l’autre côté de l’île, dans le Lower East Side. Bien que situé 4,5 mètres sous terre, dans un terminus de tramway abandonné depuis 1948, le jardin d’un demi hectare capterait la lumière du soleil via un système de miroirs et de câbles de fibre optique

Pour réunir les fonds nécessaires à la construction d’une installation grandeur nature à destination du public, de la ville et d’éventuels financeurs, les deux concepteurs du projet, l’ancien ingénieur à la Nasa James Ramsey et l’entrepreneur social Dan Barasch, ont lancé une campagne de financement participatif sur Kickstarter. L’objectif de 200 000 dollars (181 000 €) a été atteint début juillet grâce, notamment, à la vidéo promotionnelle tournée par l’actrice Lena Dunham (Girls). Le « Lowline Lab » devrait ouvrir ses portes cet automne au sein du marché couvert d’Essex Street.

En savoir plus sur http://www.gqmagazine.fr/pop-culture/news/articles/un-projet-de-parc-souterrain-a-manhattan/27172#meUqgKkEH6WRzJsi.99

On trouve tout dans les rues de New York

Un alligator sème la panique dans les rues de New-York

Un alligator d’un mètre de long dans les rues de Manhattan à l’intersection de la 9ème avenue et de la 205e Ouest. Les passants, à la fois surpris et effrayés par la présence de l’animal, ont rapidement alerté la police.

Il meurt au vivarium

L’alligator s’est probablement échappé de chez un particulier. Malheureusement, il est mort le lendemain de sa capture. D’après Le Parisien, le personnel soignant ne comprend pas les causes de son décès brutal : « Nous ignorons les conditions dans lesquelles CockadoodleQ [le nom qui lui a été attribué] a vécu avant son arrivée et ce qui a pu causer sa mort ». D’après Sean Casey, un vétérinaire spécialiste des reptiles, cela n’a pourtant rien d’étonnant : « Les reptiles sont des experts pour dissimuler leurs blessures et leurs maladies parce que dans leur monde, une preuve de faiblesse équivaut à devenir une proie