Archives de catégorie : Sport

Le futur des Knicks

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Les Philadelphie Sixers et les New York Knicks sont mal en point. Mais laquelle des deux franchises a le plus de chances de se relever rapidement et de retrouver les sommets à l’Est ?

Fans, médias… on aime imaginer la NBA de demain. On aime se projeter et deviner quelles seront les prochaines superstars à nous faire rêver, les prochaines armadas censées tout raser sur leur passage, etc. Au sein d’une ligue fermée sans relégation, l’espoir d’imaginer un avenir radieux est tout ce qu’il reste aux supporteurs des franchises en perdition. La saison régulière est un long cauchemar au cours duquel les équipes en question perdent une cinquantaine de matches. Cette simple pensée d’imaginer de meilleurs lendemains aide les fans à évacuer la frustration liée à la situation. Il en va de même pour les dirigeants, les joueurs, les coaches, etc.

« Si Embiid se rapproche plus d’Olajuwon que de Greg Oden, Philly a un avenir plus brillant. » Un dirigeant NBA
Les New York Knicks et les Philadelphie Sixers n’ont pas fixé les mêmes objectifs avant le coup d’envoi de la saison. La franchise de la grosse pomme espère retrouver les sommets de la Conférence Est sous la houlette de Phil Jackson. Les Sixers sont eux lancé dans un vaste plan de reconstruction. Mais après plus d’un mois de compétition, les deux formations sont (presque) dans le même panier. Philly occupe la dernière place de la Conférence Est avec 2 victoires et 19 défaites. New York fait à peine mieux avec 4 succès et 20 revers dont 10 consécutifs. En Pennsylvanie comme à Manhattan, les regards sont déjà tournés vers l’avenir.

Les situations sont finalement assez similaires. Les deux équipes sont dans une période de transition, seule la stratégie diffère. Et encore, elles sont déjà toutes les deux à la lutte pour mettre le grappin sur le premier choix de la prochaine draft. Mais laquelle des deux a le plus de chances de briller dans les années à venir ?

« Si Joel Embiid se rapproche plus d’Hakeem Olajuwon que de Greg Oden, la réponse est Philadelphie », affirme sereinement un dirigeant NBA sous couvert d’anonymat. « Les Knicks dispose d’un seul choix au premier tour lors des deux prochaines draft et ils n’ont aucun choix au second ni même de droits sur un joueur européen. Les Sixers ont deux choix au premier tour de la prochaine draft et quatre choix au second des deux autres drafts à venir. Ils disposent des droits de Dario Saric et Vasilije Micic. ‘Melo’ est plus fort que n’importe quel joueur des Sixers mais Philadelphie a un meilleur coach et des jeunes plus talentueux. »

« Going bad to get good », la mentalité des Philadelphie Sixers

joel embiid
Joel Embiid, la récompense du « tanking » des Sixers.

A leur arrive à la tête de la franchise, Sam Hinkie et ses sbires n’ont pas caché leur ambition de faire des Sixers l’une des têtes d’affiche de la Conférence Est… d’ici cinq ans ! Philadelphie était empêtré dans le milieu de tableau, cette position ingrate, et ne pouvait espérer vraiment mieux que de participer au premier ou au second tour des playoffs chaque saison sans pour autant attirer les principaux free agents et sans obtenir de bons choix de draft. Les dirigeants ont donc détruit l’effectif en place, ont transféré Jrue Holiday, Evan Turner, Thaddeus Young et Spencer Hawes, ont cumulé les assets et ont mis en place un effectif si mauvais que certains médias se sont demandés si les Wildcats de Kentucky seraient en mesure de battre les Sixers. La franchise a révolutionné le « tanking » au point où la ligue a envisagé de mettre en place une réforme de la loterie (refusée par les propriétaires il y a quelques semaines). Ils ont obtenu les sixièmes et dixièmes choix en 2013 – Nerlens Noel et Michael Carter-Williams – et les troisièmes et dixièmes pick en 2014 – Joel Embiid et Dario Saric. Cette saison, ils sont encore en course pour mettre la main sur l’un des meilleurs choix de draft.

Il est facile de se moquer des Sixers mais leur potentiel est monstrueux
« Les Sixers seront nettement meilleurs sur le long terme. Ils seront même complètement différents dès la saison prochaine », estime un ancien GM.

Michael Carter-Williams Philadelphia Sixers
Michael Carter-Williams futur All-Star ou rookie à stats ?

L’avenir de Philadelphie dépend essentiellement du développement de ses jeunes joueurs. Hormis Joel Embiid, aucun ne semble déceler le potentiel d’une superstar NBA. Le rookie formé à Kansas est actuellement en convalescence et il n’est pas certain qu’il soit en mesure de jouer cette saison. Jurisprudence Greg Oden oblige, il est toujours délicat de s’enthousiasmer sur un jeune pivot victime de pépins physiques récurrents. Mais comme l’expliquait le dirigeant resté anonyme, si Embiid exploite une majeure partie de son potentiel, Philadelphie saura vers autour de quel joueur construire son équipe. Michael Carter-Williams est le Rookie Of The Year d’une cuvée faible mais il cumulait plus de 16 pts, 6 rbds et 6 pds, une performance que seuls Magic Johnson et Oscar Robertson ont réalisé lors leur première saison NBA. Cela vous classe un homme, même si on a tendance à nuancer ces statistiques en prenant en compte la situation de l’équipe – « MCW » avait carte blanche pour faire des statistiques. Les Sixers disposent également de Nerlens Noel, un pivot défensif prometteur. Certes, il fait doublon avec Embiid mais les dirigeants pourront toujours se débarrasser de l’un des deux via un trade si jamais la mayonnaise ne prend pas. Avec K.J. McDaniels – libre l’été prochain – Philly a mis la main sur un « steal ». L’ancien joueur de Clemson a le potentiel d’un ailier « 3 and D » (et même mieux ?) susceptible de s’affirmer comme un titulaire au sein du projet à long terme de la franchise.

Une fois que les jeunes stars se seront développées, le front office de recruter des free agents (vétérans, joueurs de complément voir même des « quasi All-Stars ») pour les entourer. Les superstars de demain attirent les joueurs confirmés, même au sein d’un petit marché. Dans combien de temps New Orleans sera une destination à la mode grâce à Anthony Davis ? Il est facile de se moquer des Sixers mais il est encore plus facile d’imaginer le potentiel monstrueux dont dispose cette formation. En revanche, l’avenir des New York Knicks est plus sombre.

En savoir plus sur http://www.basketsession.com/actu/philadelphie-sixers-knicks-futur-nba-220221/#DJzDREcklR80JdsJ.99

New York Knicks : Vestiaire au bord de l’implosion !

http://www.basketsession.com/actu/new-york-knicks-vestiaire-implosion-219967/

Sous tension après un début de saison catastrophique, le vestiaire des New York Knicks serait agité avec notamment un clash entre Carmelo Anthony et Tim Hardaway Jr.

Carmelo AnthonyAvec des résultats désastreux, la tension est forcément élevée dans le vestiaire des New York Knicks. La semaine dernière, les joueurs de Derek Fisher ont connu leur 5ème de suite (ils sont aujourd’hui à 9) contre les Brooklyn Nets et des tensions sont apparues dans le groupe selon Chris Broussard d’ESPN. En effet, Carmelo Anthony n’aurait pas apprécié une intervention de Tim Hardaway Jr. en plein match. Le jeune arrière aurait crié en direction de son franchise player en lui ordonnant « d’attraper ce rebond » d’un ton assez agressif. Vexé par cette intervention, Carmelo Anthony aurait ainsi expliqué à son partenaire qu’il allait lui régler son compte dans les vestiaires. Bien évidemment, les deux hommes se sont calmés et ils n’en sont pas venus aux mains, mais l’explication a été très franche selon une source de Chris Broussard (donc à prendre avec des pincettes) :

« Personne n’a frappé personne, mais il y a une dispute et ils se sont insultés tous les deux. »

Après ce très mauvais début de saison des New York Knicks(4 victoires – 19 défaites), il est malheureusement tout à fait normal de voir des compétiteurs exprimer leur frustration de cette manière. Toujours selon les informations d’ESPN, Tim Hardaway (en compagnie d’autres joueurs de l’équipe) aurait reproché à Carmelo Anthony d’être égoïste, de trop shooter, de défendre quand il a envie et d’être le responsable des difficultés des Knicks à mettre en place un jeu collectif (il monopolise la gonfle et arrête le mouvement de passe). Mais il y aurait un plus gros problème pour Derek Fisher, l’ensemble du vestiaire serait en effet particulièrement réfractaire à l’idée d’appliquer la fameuse attaque en triangle et les joueurs auraient décidé de jouer avec un autre système de leur propre chef, renforçant les dernières déclarations de Dennis Rodman. Si ces informations sont vraies, les mauvais résultats des Knicks sont en train de faire imploser ce groupe

Basket : les Knicks encore perdu

Portland enfonce New York pour une 4e victoire consécutive

Publié par : ClemFiz décembre 8, 2014 , 4:58 dans Blazers, Knicks, Résumés et highlights NBA

Huitième défaite d’affilée pour les Knicks, qui restent bloqués à 4 victoires en 22 matchs joués cette saison. Portland (16V-4D) s’est regroupé autour de LaMarcus Aldridge (24 points à 9/19 et 11 rebonds) après avoir gâché une avance de 10 points dans le quatrième quart-temps pour obtenir une 4e victoire de rang, 103-99.

Carmelo Anthony inscrit 23 points (9/19, 10 rebonds, 3 passes) sous les yeux de LeBron James, assis au premier rang (Cleveland joue Brooklyn ce soir) mais New York perd son 12e match en 13 rencontres. J.R. Smith inscrit 20 points du banc et Amar’e Stoudemire 16 et malgré un pourcentage de réussite largement supérieur à leurs adversaires (51.9% contre 41.4% de réussite pour les Blazers), les Knicks sont plutôt maladroits de loin (5/19) et arrivent encore une fois trop tard. C’est d’ailleurs la 5e fois consécutive que Portland vient gagner au Madison Square Garden. Wesley Matthews signe 17 points alors que Nicolas Batum termine à 11 points à 4/8, 7 passes et 5 rebonds. Damian Lillard n’est pas en phase avec son shoot (5/16) mais ses 20 points aident les Trail Blazers à mener 89-79 à 8″04 de la fin du match.

C’est le moment choisi par New York pour se réveiller. Les Knicks passent un 16-5 aux visiteurs et un panier d’Anthony à 3″33 du buzzer donne même 2 points d’avance aux siens, 97-95. Lillard rentre un lancer-franc et après une perte de balle de Stoudemire, Aldridge en convertit de son côté deux pour redonner l’avantage pour de bon à Portland, 98-97, à 2″46. New York recolle à 100-99 sur un dunk de Stoudemire à 1″27 mais Aldridge lui répond directement avec un shoot à 4m décisif. Les Knicks comptent désormais deux victoires pour neuf défaites dans les matchs qui se décident par une marge de 5 poitns ou moins…

basket : Brooklyn fait tomber New York pour la deuxième fois de la saison

Publié par : ClemFiz décembre 3, 2014 , 5:15 dans Knicks, Nets, Résumés et highlights NBA

Brook Lopez (23 points à 10/20 et 8 rebonds) et Joe Johnson (22 points 8 rebonds 6 passes) ont été les hommes du match pour Brooklyn (7V-9D) au Madison Square Garden cette nuit. Les Nets s’imposent pour la deuxième fois de la saison face à leurs rivaux 98-93. Deron Williams ajoute 19 points pour la troisième victoire en 10 matchs de l’équipe de Lionel Hollins, qui a gâché une avance de 16 points en cours de deuxième mi-temps.

Carmelo Anthony réalise un match correct avec 20 points (7/22), 9 rebonds et 6 passes mais l’ailier manque le potentiel 3-points égalisateur à 5 seconde sde la fin du match et les Knicks (4V-15D), toujours trop courts, perdent leur 5e match consécutif. Pour sa troisième titularisation de la saison, Amar’e Stoudemire signe 17 points et 9 rebonds. Jose Calderon répond également présent avec 19 points et 7 passes. Chacun leur tour, Lopez et Johnson vont faire souffrir leurs adversaires. En première mi-temps pour le pivot (19 points) et en deuxième pour l’arrière (19 points après n’avoir marqué qu’un panier en première mi-temps).

New York inscrit le premier panier du match mais Brooklyn enchaîne sur 10 points consécutifs et mène de 11 points après 12 minutes. À la pause, les Nets n’ont que 4 points d’avance mais après deux 3-points de Williams et deux paniers de Johnson au cours d’un 11-2 en milieu de troisième quart, l’avance s’accroît, passant d’un 60-53 à un 71-55. Les Knicks recollent à 83-79 avec un peu plus de 6 minutes à jouer mais Brooklyn répond encore avec 6 points de suite. L’équipe de Derek Fisher fait le forcing et revient encore à trois points mais le shoot d’Anthony derrière l’arc touche le fond de l’arceau, laissant le loisir à Johnson de tuer le match aux lancers-francs.
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MLS: New York et Henry éliminés en demi-finales retour

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Les New York Red Bulls et leur capitaine Thierry Henry ont été éliminés en demi-finales du Championnats nord-américain de football (MLS) par New England, samedi.

Les New York Red Bulls ont fait match nul sur le terrain de New England (2-2), mais ils s’étaient inclinés 2 à 1 une semaine plus tôt à domicile lors de la demi-finale aller.

New York, privé de son meilleur atout offensif Bradley Wright-Philipps, suspendu, avait ouvert la marque par Tim Cahill sur une service de Thierry Henry (26e).

Mais New England a égalisé une première fois par Charlie Davies (41e).

L’ancien joueur de Sochaux, victime d’un grave accident de voiture, a ramené les deux équipes à égalité une seconde fois (70e) après un but de Pegguy Lyiundula (52e).

Cette demi-finale retour était le dernier match de Henry, 37 ans, sous le maillot des NYRB, voire de sa carrière.

L’ancien international français, passé par Monaco, la Juventus Turin, Arsenal et le FC Barcelone, arrive en fin de contrat avec la franchise new-yorkaise dont les dirigeants ont perdu tout espoir de le conserver.

Henry entretient le mystère sur ses intentions, laissant entendre qu’il ne savait pas lui-même ce qu’il comptait faire.

New England sera opposé le 7 décembre au vainqueur de la seconde demi-finale qui oppose Los Angeles et Seattle dimanche.

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Soccer : Thierry Henry tout proche de la retraite?

FOOTBALL L’attaquant français de 37 ans va peut-être disputé samedi le dernier match de sa carrière, à l’occasion de la finale retour de la conférence Est de la MLS…

Getty Images/AFP

N.C.
D Créé le 28.11.2014 à 09:46
Mis à jour le 28.11.2014 à 09:49

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Le Gillette Stadium de Boston sera-t-il, samedi soir, le théâtre du dernier match de la carrière de Thierry Henry? Battu à domicile à l’aller (1-2) avec son équipe des New York Red Bull, l’attaquant français doit y disputer la finale retour de la conférence Est de la MLS, la Ligue nord-américaine de football. En cas d’élimination, Henry, 37 ans, pourrait bien ne jamais remettre les pieds sur une pelouse pour un match professionnel.

Il «aimerait aider» Arsenal

En fin de contrat le 31 décembre, l’ancienne vedette d’Arsenal et de l’équipe de France (123 sélections, 51 buts) ne sait pas encore s’il va prolonger l’aventure au-delà de 2014. Il s’est confié sur son avenir dans une interview à paraître samedi dans L’Equipe Magazine. «Rien n’est clair, je n’ai pris encore aucune décision et spéculer, ce n’est pas mon truc, indique-t-il. Une certitude, je vais rester dans le monde du foot, pour entraîner, être consultant, dirigeant, on verra bien.» Début octobre, l’édition électronique du magazine Sports Illustrated affirmait qu’il n’y avait «aucune chance» pour que Thierry Henry prolonge son contrat à New York.

Le champion du monde 98, qui a toujours le cœur à Londres, exprime également dans l’interview un souhait tout particulier. «J’aimerais voir Arsenal gagner la Ligue des champions. Après, voir ça de près ou de loin, ça ne dépend pas de moi, mais c’est sûr que j’aimerais aider», confie-t-il. Les dirigeants des Gunners lui trouveront peut-être un petit bureau à l’Emirates Stadium, avec vue sur la statue à son effigie édifiée en souvenir de ses huit saisons passées au club (1999-2007, 228 buts inscrits

Les Knicks perdent encore

Tyson Chandler (17 pts & 25 rebs) se sublime et Dallas vient à bout de New York

Publié par : ClemFiz novembre 27, 2014 , 5:26 dans Knicks, Mavericks, Résumés et highlights NBA

New York, c’est du passé. Les mots de Tyson Chandler ont résonné cette nuit à Dallas, vainqueur des Knicks après prolongation 109-102. Face à son ancienne équipe, le pivot a tout donné et explose les compteurs : 17 points à 7/12 et 25 rebonds. Comme si cela ne suffisait pas en l’absence de Carmelo Anthony (spasmes au dos), Dirk Nowitzki ajoute 30 points à 11/24 et 6 rebonds. En l’absence du n°7, J.R. Smith (15 points à 7/20, 5 passes et 7 turnovers) est passé à côté de son match (1/10 jusqu’au 4e quart) mais ses coéquipiers lui sauvent la mise et l’arrière inscrit un panier égalisateur à 0.9 seconde du buzzer du quatrième quart-temps, envoyant les deux équipes en prolongation.

Dallas devait se reprendre après une défaite contre Indiana il y a deux jours mais s’est à nouveau fait prendre à son propre jeu cette nuit. Vendangeant à 3-points, l’équipe de Rick Carlisle termine à un très moche 4/31 derrière la ligne alors que Jose Calderon leur donne une leçon dans le domaine (21 points à 7/9 à 3-points et 10 rebonds). En face Chandler Parsons et Devin Harris combinent pour un magnifique 3/21 à 3-points. Si bel et si bien que les Mavericks sont fébriles à la pause, avec seulement 4 points d’avance, 46-42. Leur deuxième quart remporté 27-18 leur permet de survivre à un troisième quart-temps survolé par les Knicks (31-25). En ratant 1 de ses 2 lancers-francs dans le money time, Harris offre une possibilité d’égalisation à New York, qui saisit l’occasion à 7 secondes du buzzer. Smith met dedans sur la tête d’Al-Farouq Aminu et envoie les deux équipes en prolongation.

À ce moment-là fini la rigolade pour Dirk Nowitzki, qui après avoir vu Smith donner l’avantage aux Knicks 99-97, démarre un 9-0 en faveur de Dallas qui les mènera doucement à la victoire lors des 5 minutes les plus importantes du match. Chandler, qui avait passé ses trois précédentes saisons sous le maillot de New York, donne l’avantage définitif aux Mavs 101-99 sur un dunk rageur face à un Samuel Dalembert (13 points à 5/10 et 13 rebonds) dépité.

Les Knicks ont encore perdu

James Harden fait craquer (36 pts) New York
novembre 25, 2014 , 5:17 Malgré une performance insolite (absolument tous les joueurs des Knicks ont marqué au moins 1 point cette nuit, soit 12 joueurs), New York (4V-11D) s’est incliné 91-86 face à Houston (11V-3D), écrasé par les 36 points de James Harden (11/22, 7/12 à 3-points, 6 rebonds, 6 passes et 3 interceptions). Carmelo Anthony n’a joué que 18 minutes et n’a pas joué la deuxième mi-temps en raison de spasmes au dos et cela se ressent forcément dans ses stats (14 points à 6/11 et 7 rebonds pour 0 passe).

Sans Dwight Howard (genou) et Patrick Beverley (ischio), les Rockets avaient donc un boulevard devant eux après une première mi-temps bien négociée (51-46). Houston remporte son 10e match consécutif contre New York et leur 19e rencontre d’affilée face à une équipe de la Conférence Est au Toyota Center. Menant de plus de 10 points au cours de la première mi-temps, les Rockets vont voir les Knicks revenir avant la pause après un 7-2, 51-46.

New York resserre sa défense dans le troisième quart, n’autorisant que 18 points à ses adversaires et égalisant à 69 partout pour démarrer le quatrième et dernier quart-temps. Sans Anthony, le banc s’est mis en avant en défense avec 3 contres d’Amar’e Stoudemire ou encore 3 interceptions signées Shane Larkin. Tim Hardaway Jr rentre un 3-points à 8 minutes et 50 secondes de la fin du match et New York recolle à 6 points, 78-72. Le festival Harden aura ensuite raison des efforts new-yorkais. Les Knicks (dominés 30-26 dans la peinture malgré l’absence de Terrence Jones) ne marqueront que deux paniers dans les 5 dernières minutes du match.

Houston poursuivra avec une rencontre face aux Kings mercredi alors que New York voyagera à Dallas avant de se rendre à Oklahoma City vendredi.

La plus belle réception de l’histoire du Football américain

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NY Giants : La plus belle réception de l’histoire ?
Odell Beckham Jr a signé une réception exceptionnelle dimanche lors de la défaite de son équipe face à Dallas (28-31). L’une des plus belles de l’histoire selon plusieurs observateurs avisés de la NFL.

Odell Beckham Jr n’est plus seulement un joueur de foot US portant l’un des noms les plus célèbres du football mondial. Le rookie des New York Giants a inscrit un touch-down exceptionnel en réceptionnant d’une main une longue passe d’Eli Manning. Accroché par Brandon Carr, le joueur est parvenu à résister à la charge tout en restant dans les lmites du terrain avant de retomber dans l’en-but. Cela n’a malheureusement pas permis d’éviter une sixième défaite de rang pour les Giants.
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Les Red Bulls battus

Marie Blanchard0
24 nov. 2014 00:00:00

Lors du match aller de la Conférence Est, les New-York Red Bulls se sont inclinés face au New England Revolution (1-2).

L’équipe de Thierry Henry, les New-York Red Bulls, se sont inclinés à domicile, en finale aller de la Conférence Est, ce dimanche, face au New England Revolution (1-2). Un résultat qui ne fait pas les affaires des Bulls, pour veulent se qualifier pour la grande finale. Le match retour aura lieu samedi prochain à Foxborough. De l’autre côté, et le match aller de la Conférence Ouest, la rencontre entre les Seattle Sounders et le Los Angeles Galaxy aura lieu dans la nuit.