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Une mystérieuse explosion sur la plage de Long Island à New York qui a laissé un CRATÈRE dans le sable fait l’objet d’une enquête par le FBI pour des « problèmes de terrorisme »

Une explosion de BEACH qui a laissé un mystérieux cratère est sondée par le FBI au milieu des craintes potentielles de terrorisme.

Des policiers ont déclaré que l’explosion s’était produite dimanche sur Fox Island à Long Island, dans l’État de New York, lorsqu’un engin a explosé.Un engin a explosé dimanche, laissant un cratère sur Fox IslandCrédit : Service de police du comté de Suffolk

Le cratère mesurait environ quatre pieds de large et deux pieds de profondeur et les flics sont à la recherche d’un bateau qui se trouvait à proximité.

Le département de police du comté de Suffolk a déclaré avoir reçu environ trois douzaines d’appels au 911, rapporte Fox News.

Alors qu’environ cinq cents appels ont été passés au département de la sécurité publique de Babylon, selon CBS New York.

Les flics enquêtent pour savoir si l’incident peut avoir été un « événement test » pour une attaque terroriste potentielle.

Un porte-parole a déclaré à Fox : « Le terrorisme est toujours une préoccupation parce que les gens testent les appareils avant de les utiliser. »

La police a déclaré qu’elle enquêtait sur toutes les possibilités et ne savait pas qui était impliqué dans l’incident. Ils ont depuis exclu un bang sonique.

Aucun blessé n’a été signalé et les flics n’ont trouvé aucune fragmentation alors qu’ils enquêtaient sur le site de l’explosion.

Des témoins ont déclaré qu’ils pensaient que « quelque chose avait heurté le toit » lorsqu’ils ont entendu l’explosion.

James Messina, de Lindenhurst, a déclaré à CBS New York : « Je venais de sortir de la douche et j’ai en fait pensé que quelque chose avait heurté le toit, c’était tellement fort. »

Pendant ce temps, John Sacchitello a pensé qu’un bateau avait explosé car il a déclaré qu’il avait « failli tomber des pieds ».

Il a déclaré: «Ce fut un énorme boom. Mon premier réflexe a été que le bateau de quelqu’un a explosé. Mais vu la façon dont la fumée s’est dissipée si rapidement, j’ai pensé que quelqu’un avait déclenché quelque chose.

Le commissaire de police du comté de Suffolk, Stuart Cameron, a déclaré: « J’espère que nous pourrons attribuer cela à des imbéciles qui ont fait quelque chose qui vient de devenir incontrôlable et qui ont de la chance d’être toujours en vie. »

Les flics exhortent les témoins disposant de toute information à appeler Crime Stoppers au 800-220-TIPS.

STARBUCKS ET AMAZON FONT BOUTIQUE COMMUNE À NEW YORK

PAR L’AFP

La chaîne américaine de cafés Starbucks a ouvert jeudi à New York, en partenariat avec Amazon, un magasin à mi-chemin entre le café et l’épicerie, où les clients peuvent faire leurs emplettes sans avoir à passer en caisse. Le lieu, situé au sud-est de Central Park, sur l’île de Manhattan, utilise la technologie « Just Walk Out » des épiceries Amazon Go, où les achats sont enregistrés par capteurs et caméras. En entrant dans ce café hybride, les clients pourront soit récupérer au bar une boisson commandée via l’application Starbucks, soit accéder à la supérette grâce à un code envoyé sur leur smartphone par Amazon, à leur carte de crédit ou même à la paume de leur main s’ils utilisent le service de paiement « Amazon One ». L’épicerie propose une sélection d’articles disponibles dans les cafés Starbucks (bouchées aux oeufs sous vide, sandwiches pour le petit-déjeuner, boîtes de protéines), les magasins « Amazon Go » (salades, sandwiches, en-cas) ainsi que des produits de traiteurs et de restaurants locaux. La supérette, ouverte 7 jours sur 7 et jusqu’à 22 heures en semaine, dispose également de cabines individuelles et collectives où les clients peuvent s’asseoir.    Starbucks et Amazon envisagent d’ouvrir deux autres espaces similaires l’an prochain, dont l’un sera situé dans l’immeuble du New York Times au coeur de Manhattan. Avec la pandémie et les risques de contamination au coronavirus, le géant des cafés a dû s’adapter aux nouvelles habitudes des consommateurs, qui sont de plus en plus nombreux à vouloir récupérer leur commande sans avoir à s’éterniser en caisse. En juin 2020, le patron du groupe, Kevin Johnson, avait annoncé que Starbucks allait fermer jusqu’à 400 lieux au cours des 18 mois à venir et se recentrer sur les points de vente à emporter, qui représentaient déjà 80% des transactions dans les cafés de la marque aux Etats-Unis.

New York : des sirènes un peu trop bruyantes

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New York : des sirènes un peu trop bruyantes | LCI

À New York, plus qu’ailleurs, les véhicules d’urgence sont responsables de plus en plus d’accidents. En 2020, 114 morts impliquant des véhicules de police ont été enregistrées, 33 ont été causées par des ambulances et 25 par des camions de pompiers. On ne fait pas le tri entre ce qui est urgent et ce qui ne l’est pas. C’est ce que nous explique le docteur Jeffe Clawson, urgentiste à Salt Lake City et inventeur d’un protocole d’urgence utilisé dans 60 pays, dont la France, mais toujours pas aux États-Unis.

Les pompiers ou ambulanciers céderaient un peu trop facilement aux chants des sirènes. Une utilisation abusive que nous confirme Powell Delwinski, ambulancier de Manhattan. Selon cet urgentiste, « certains font un peu les cow-boys », alors que « les sirènes ne vous font pas arriver plus vite. » En effet, les études montrent qu’il y a très peu d’écart de durée entre un trajet effectué avec sirène et un autre sans. Une partie de l’explication réside dans le comportement parfois inapproprié des usagers désarçonnés par la fréquence très aiguë du son.

Le maire de New York promet le retour du Nouvel An à Times Square

Le maire de New York, Bill de Blasio, a promis mardi le retour des foules pour la fête du Nouvel An sur la place de Times Square. Les célébrations avaient été annulées en 2020/2021 à cause de la pandémie de coronavirus.

« Des centaines de milliers de personnes vont venir faire la fête, nous pouvons enfin nous retrouver, ce sera fantastique », a annoncé le maire démocrate. Il a cependant aussitôt précisé que pour entrer dans les lieux, une « preuve de vaccination » serait nécessaire.

Les seules exceptions possibles concernent les enfants de moins de cinq ans ou les personnes ayant une incompatibilité médicale avec le vaccin, lesquelles devront fournir un test négatif de moins de 72 heures.

Epicentre de la pandémie

Les célébrations du Nouvel An sur Times Square ont lieu depuis le début du XXe siècle. Elles sont emblématiques de la capitale culturelle et touristique américaine. Les images de ses feux d’artifice font le tour du monde, en plus d’être télévisées aux Etats-Unis.

Mais l’année dernière, la traditionnelle descente de la boule sur Times Tower et le lâcher de confettis avaient eu lieu dans une place vide, la fête n’ayant lieu que pour la télévision et une poignée de « travailleurs essentiels » et leurs familles, en l’honneur de leur rôle pendant la crise du Covid-19.

La ville de plus de 8 millions d’habitants avait été l’épicentre de la pandémie aux Etats-Unis au printemps 2020 et avait dû se mettre à l’arrêt, alors que ses hôpitaux étaient débordés par les malades et plusieurs centaines de morts chaque jour. Depuis le début de la pandémie, plus de 34’000 personnes sont décédées du Covid-19 dans la mégapole américaine.

Depuis le 8 novembre et la réouverture totale des frontières américaines, New York, pour qui le tourisme est un secteur essentiel, peut à nouveau accueillir les visiteurs du monde entier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Dix ans après, que reste-t-il d’Occupy Wall Street ?

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Dix ans après, que reste-t-il d’Occupy Wall Street ? (telerama.fr)

OCCUPY WALL STREET, DIX ANS APRÈS (3/4). Présidence de Donald Trump, inégalités toujours plus abyssales… La décennie écoulée aux États-Unis a-t-elle sonné le glas de l’esprit révolutionnaire d’Occupy Wall Street ? Non, car le mouvement a transformé le paysage politique, et nourri d’autres combats, de MeToo à Black Lives Matter.

Lorsque le maire de New York, Michael Bloomberg, prit la parole devant la presse le 15 novembre 2011, quelques heures après avoir fait évacuer Zuccotti Park de ses occupants, il lança, non sans sarcasme : « Ils devront désormais occuper l’espace avec le pouvoir de leurs arguments. » Le défi était tentant. Le mouvement Occupy, lancé à Wall Street avant de s’étendre à tout le pays, bénéficiait de l’approbation d’une majorité de la population américaine. Et il s’insérait dans une vague de protestations mondiale : cette même année, de l’Amérique du Sud aux pays arabes ou en Europe du Sud, et malgré des situations nationales très différentes, de larges protestations populaires réclamaient un peu partout la fin de systèmes politiques et économiques fondés sur l’injustice. Expulsé des places froides des villes qu’il s’était réappropriées pour en faire des lieux de vie collective révolutionnaires, le mouvement allait-il réussir à inscrire sa méthode et sa doctrine dans la durée ?

New York rouvre ses bras aux touristes européens

New York rouvre ses bras aux touristes européens – LesFrancais.press

Les Européens en « rêvaient » : après 20 mois de fermeture des frontières américaines due à la pandémie, New York rouvre ses bras aux visiteurs du Vieux continent même si la Grosse Pomme ne retrouvera qu’en 2024 son effervescence touristique d’avant la crise.

Le 8 novembre, les États-Unis ont fini par lever leur « interdiction de voyage » aux visiteurs étrangers « non essentiels » en provenance d’une trentaine de pays, dont ceux de l’espace européen Schengen, du Royaume-Uni, de Chine, d’Inde ou de Russie. À la condition d’être complètement vaccinés.

Et depuis quelques jours, l’île de Manhattan — poumon économique mondial et aimant touristique international — est nettement plus animée, avec une amorce de retour des Européens.

À l’instar d’Eglantine Lasserre, une Bordelaise de 40 ans, qui, dès lundi (8 novembre), a pris le premier avion depuis la France : « New York a toujours été un rêve. Quand j’ai entendu parler de la réouverture des frontières, j’ai sauté sur l’occasion et suis arrivée directement », raconte-t-elle tout sourire à l’AFP, au milieu du célébrissime décor d’écrans géants publicitaires de Times Square.

Le 30 novembre, le Festival des Auteurs Francophones au National Art Club de New York

C’est sous l’impulsion de la très dynamique Sandrine Mehrez-Kukurudz que Rencontre des Auteurs Francophones organise, le 30 novembre au National Art Club de New York, son premier Festival des Auteurs Francophones. Au programme, de la littérature francophone, beaucoup d’ouvrages, des auteurs et de la bonne humeur. Le tout dans un cadre tant prestigieux qu’historique.

Le 30 novembre, le festival du livre francophone au National Art Club de New York | lepetitjournal.com

Calendrier de l’avent : 31

La serveuse revint avec le verre, ce coup-ci elle le vida d’un trait. L’alcool lui brûla le palais. Elle sentit une douce chaleur monter de son estomac. Elle posa le verre sur le piano, tourna la tête et vit un homme se tenir debout devant elle.

Il était de taille moyenne, plus petit qu’elle, race blanche, vêtu d’un costume de prix, sans doute fait sur mesure. Lisa baissa les yeux, les chaussures allaient de pair. Elle revint vers son visage, rien de marquant sauf une petite fossette au menton. Un aspect séduisant, l’air sûr de lui et un charme indéniable qui devait plaire aux femmes.

— Hello, lui dit-il d’une voix douce.

— Bonsoir, répondit-elle en cherchant une excuse pour s’éclipser. Ce n’était pas la première fois qu’un consommateur-spectateur attendait la fin pour venir la draguer. Parfois elle se laissait prendre au jeu, mais ce soir elle n’avait qu’une envie : retrouver son appartement, son piano et rejouer la chanson de John Lennon pour ne pas l’oublier, au cas où le papier viendrait à disparaître comme les deux fantômes.

— Vous avez une voix magnifique et un jeu aérien.

— Merci, répondit-elle en soupirant pour lui montrer que sa phrase était convenue et qu’elle l’avait entendue des centaines de fois.

— Je ne connaissais pas la première chanson que vous avez interprétée. Elle est de vous ?

Lisa hésita, ne sachant pas trop quoi répondre. Puis elle se lança dans un murmure :

— Non, elle a été écrite par un ami qui est mort il y a longtemps. Ce soir, j’ai décidé de la chanter pour la première fois afin de lui rendre hommage.

L’homme la fixa intensément, un sourire apparut sur son visage et il lâcha :

— Ainsi vous les avez vus.

            — Qui ? demanda Lisa intriguée.

            — Les fantômes de Manhattan.

            Et il quitta le bar laissant Lisa sans voix

FIN PROVISOIRE

Calendrier d’ l’avent : 23

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Elle sourit en pensant qu’elle ne se trouvait pas avec le Diable, mais avec des fantômes. Il était surtout l’immeuble devant lequel John Lennon avait été assassiné.

De l’autre côté de la rue, en entrant dans Central Park, Yoko Ono avait fait construire un mémorial dédié à son mari, le Strawberry field. Il avait la forme d’un triangle dont le cœur était constitué par des symboles représentant la paix, avec au centre le mot : IMAGINE, titre de l’une de ses chansons les plus célèbres. Et depuis, de nombreux admirateurs s’y recueillaient, chantaient ou déposaient des fleurs, des bougies.

Lisa regarda l’immeuble, elle l’avait contemplé un nombre incalculable de fois, mais jamais elle n’avait pu pénétrer à l’intérieur, c’était réservé aux propriétaires et à leurs invités.

— Tu peux savoir où se trouve l’appartement de John Lennon ? demanda-t-elle.

— Cela ne doit pas poser de problème, c’est celui de sa femme. Viens avec moi, nous y entrerons sans problème.

— Tu as raison, je me croyais encore dans mon monde, mais aucun gardien pour m’empêcher d’entrer.

C’est avec une petite appréhension qu’elle franchit le seuil, mais personne ne se précipita pour les refouler. Peter regarda la liste des habitants et la conduisit jusqu’à l’appartement de Yoko Ono.

— Comment je vais entrer ? dit-elle en restant devant la porte les bras ballants.

Peter sourit.

— Tu n’es plus dans ton monde. Même si dans celui-ci la porte est fermée et Yoko Ono se trouve à l’intérieur, tout est ouvert. I tu vois une personne, ce sera un fantôme. Tu es la seule vivante dans notre ville pour encore quelques heures.

Lisa abaissa la poignée et la porte s’ouvrit sans la moindre difficulté. Elle pénétra à l’intérieur, suivie par Peter.

Elle arriva dans une pièce immense avec en son centre une cheminée en pierre. Briques apparentes, hauts plafonds et poutres en bois se combinaient avec de vastes murs blancs et des planchers de bois. Mais l’appartement était vide, pas un meuble, rien qui montrait une présence humaine.

— Tu es sûr que c’est le bon ? On dirait que plus personne ne l’habite.

— Oui, c’est bien l’appartement de John Lennon, peut-être que Yoko Ono a déménagé.

Ils s’avancèrent dans l’immense pièce vide et s’arrêtèrent. Face à eux, assis dans un fauteuil, un homme les fixait d’un regard hypnotique. Lisa mit une fraction de seconde avant de le reconnaître : Houdini.

Il n’avait pas changé, il était le même que sur les affiches et les photos dans son musée.

— Bonsoir Monsieur Houdini, dit-elle en s’approchant de lui. Pourriez-vous nous dire où vous gardez prisonnier Monsieur Lennon ?

— Qui êtes-vous ? Vous n’êtes pas un fantôme, comment se fait-il qu’une vivante soit ici et me parle ?

— Je suis Lisa Kilpatrick, police de New York.

Houdini se leva et fit une révérence ironique devant Lisa.

— Et depuis quand les vivants peuvent-ils venir nous importuner ?

— C’est moi qui ai été la chercher, grâce au Manhattanhenge comme nous le pouvons, dit Peter en s’avançant à son tour. Je voulais qu’elle retrouve John Lennon.

— Je ne sais pas comment vous vous y êtes pris, mais vous avez réussi. Pas la peine de vous mentir, il est ici, enfermé dans la salle de bain, à l’autre bout de la pièce. Vous allez m’arrêter et m’enfermer dans une prison ?

Houdini partit d’un grand éclat de rire.

— Déjà quand j’étais humain, poursuivit-il, aucune prison, aucun cercueil, aucune camisole n’ont pu me garder bien longtemps, alors maintenant que je suis un fantôme, vous ne pouvez rien contre moi.

Lisa passa devant lui sans répondre. Elle ouvrit la porte.

Calendrier de l’avent : 21

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Peter fixa Lisa et lui demanda :

— Pourquoi là-bas ?

— Une idée. Je t’expliquerai en arrivant.

— Attends, si je te suis, tu veux voir l’appartement où vivait John Lennon ?

— Tu as lu la nouvelle de Poe où tout le monde cherche une lettre compromettante ?

— Non. Cela ne me dit rien. Mais tu sais… la lecture et moi…

— Des personnes cherchaient une lettre qui devait être dissimulée dans un appartement. Ils ont tout fouillé, tout sondé, mais rien. Arrive le détective, qui raisonne différemment et comprend que la lettre n’a pas été cachée, mais au contraire bien mise en évidence par le coupable. Et il la découvre, froissée, avec une autre écriture et pliée à l’envers. Elle était bien en vue et les policiers ont pensé qu’elle n’avait aucune valeur.

— Tu crois que John Lennon se trouve là ?

— Je n’en sais rien, je cherche. Et le temps joue contre nous, alors autant bouger et suivre toutes les pistes.