Archives de catégorie : Arts

Le MoMA de New York met en ligne l’ensemble des archives de ses expositions depuis 1929

Le Museum of Modern Art de New York a annoncé la mise en ligne de son fonds d’archives relatif aux expositions organisées par l’institution de 1929 à aujourd’hui. Regroupant les photographies d’accrochage, communiqués de presse et catalogues de quelque 3 500 expositions, l’initiative permet de dresser une histoire transversale du musée et d’analyser l’évolution dans l’appréhension et la présentation des œuvres d’art moderne et contemporain au cours du XXe et du début du XXIe siècle. Ce nouveau portail numérique, destiné à être enrichi chaque année, est gratuit et accessible à tous.

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http://www.lequotidiendelart.com/quotidiens/2016-09-28-Quotidien-du-mercredi-28-septembre-2016.html

A New-York, hommage à Alfred Hitchcock sur le toit du MET

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En direct du monde par Alexis Morel, Charlotte Alix mardi 26 avril 2016

Une artiste britannique a conçu une réplique de la maison du film « Psychose ». L’oeuvre surplombe Central Park, à Manhattan. Visite guidée.

Cornelia Parker a installé sur le toit du célèbre Metropolitan Museum of art (MET) une réplique du manoir en bois rouge du glaçant Norman Bates, le héros du film Psychose. Comme pour le film il y a 56 ans, l’artiste n’a recréé que deux façades de la maison de style victorienne, qui s’appuie, pour le reste, sur des échafaudages. Et pour que l’installation soit la plus authentique possible, les ouvriers que Cornelia Parker a supervisé ont construit la maison à partir des planches d’une grange tout ce qu’il y a de plus réelle, située dans le nord de l’Etat de New York.

Cette oeuvre n’est pas seulement un hommage à Hitchcock, mais aussi à la culture américaine, dont Cornelia Parker se dit fascinée. Car, en contraste saisissant avec les gratte-ciels de Manhattan au loin, le manoir rappelle l’Amérique rurale, ses granges et ses maisons de bois rouge. Baptisée “Objet Transitionnel – PsychoBarn”, l’installation oppose le réconfort d’une maison à l’architecture familière à l’horreur que cette maison représente dans le film d’Hichcock. Elle oppose aussi l’authenticité, au décor de cinéma. C’est une oeuvre à multiples lectures, comme l’artiste britannique en a le secret.

Alexis Morel
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Charlotte Alix

Samia Ben Sliman la Tunisienne qui émerveille New York avec ses peintures de Manhattan

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Le mois de mars est-il le mois des artistes tunisiens qui cartonnent à New York. L’année dernière, c’était Faten Gaddes. Cette année, c’est Samia Ben Sliman. Suivez-là !

Manhattan sous un regard tunisien et à nos couleurs ! L’exercice n’a pas été facile pour Samia Ben Sliman (née Ben Youssef). Ses toiles constituent l’une des principales attractions de l’exposition de groupe qui se poursuit tout au long de ce mars à la prestigieuse galerie new yorkaise Ashok Jain Gallery. Intitulée Symphosium: Feast of Art, cette exposition dans l’une des galeries les plus prisée de Downtown Manhathan, haut lieu de la culture, de l’art et de la création réunit six artistes-peintres prisés à savoir : Blair Berger, Liliana Jachudurian, Susan Marx, Josefina Temin, Richard Vaux et Samia Ben Youssef.

Juriste de formation, épouse de diplomate tunisien, Samia Ben Sliman s’est lancée dans la peinture à l’huile et a développé son talent à New Delhi, Inde de 1995 à 2000, où elle a été inspirée par la culture indienne, en réalisant plusieurs tableaux qu’elle garde jalousement. A New York elle a continué à peindre à l’huile et la Grande Pomme est devenue sa muse. Elle travaille depuis, sur le thème de Manhattan et ses gigantesques grattes ciels.

Le 20 mai 2015, Samia Ben Sliman avait exposé une collection de ses toiles dans le cadre des activités de l’Islamic Heritage Society Inc New York. L’une des toiles de Samia a fait l’objet d’une vente aux enchères dont les revenus ont été versés pour venir en aide aux victimes du séisme survenu l’an dernier au Népal.

Samia a également participé à l’exposition « Creative Mischief 2015 » organisée par la National Academy Museum & School, du 16 mai au 24 mai 2015.

Depuis le 2 mars 2016, Samia expose à la Galerie Ashok Jain dans le cadre d’un « group show » avec quelques-uns de ses tableaux sur le thème de Manhattan. Le jour du vernissage qui a eu lieu le 6 mars 2016, la galerie a connu un grand afflux d’artistes et de personnes passionnées d’Art dont le Chorégraphe italien du New York Theater Ballet Marco Pelle. Notons aussi la présence à cette occasion, de l’Ambassadeur Représentant Permanent de Tunisie auprès des Nations Unies à New York, Mohamed Khaled Khiari et de son épouse, tous deux férus d’arts modernes. Ils avaient apporté tout leur soutien l’année dernière à Faten Gaddes, lors de sa mémorable expo-photos, en mars 2015 à galerie Jadite.

Samia Ben Sliman est l’épouse de M. Riadh Ben Sliman, Représentant Permanent Adjoint de Tunisie auprès des Nations Unies à New York.

art à New York : L’armory show

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L’Armory show est un évènement très attendu à New York. La foire la plus ancienne de la capitale mondiale de l’art contemporain qui rassemble 205 galeries a vu arriver son nouveau directeur en décembre un ancien journaliste de l’art, Benjamin Genocchio, dans un contexte économique chahuté. Si le prix du pétrole a baissé, éloignant les acheteurs du Moyen Orient, si la crise sévit en Chine, fragilisant les acheteurs chinois, si le Brésil est en grande déprime le marché de l’art new-yorkais veut afficher un optimisme à tous crin. D’ailleurs Benjamin Genocchio insiste sur la bonne santé de l’économie américaine. «Cette semaine avec l’Armory et les huit autres foires, 600 galeries exposent à New York. L’économie américaine est forte et entre Boston et Washington se concentre le plus grand nombre de collectionneurs au monde. Le marché de l’art est clairement devenu un ensemble de marchés régionaux. C’est normal, il y a quinze ans il existait cinq foires influentes. Aujourd’hui on compte 180 foires. En 2014, l’Armory avait généré une activité équivalente à 200 millions de dollars. Cette année le contexte américain est meilleur, les résultats devraient donc l’être aussi ».
En savoir plus sur http://patrimoine.lesechos.fr/patrimoine/marche-art/021740220389-marche-de-lart-a-larmory-show-de-new-york-la-crise-est-officiellement-absente-1204776.php?Ic8kw2ZdlF78xT0L.99

Un grand musée évolue

http://www.lalibre.be/culture/scenes/la-mue-d-un-tres-grand-musee-de-new-york-56d6bffa3570ebb7a8e584ba

Guy Duplat Publié le mercredi 02 mars 2016 à 11h26 – Mis à jour le mercredi 02 mars 2016 à 11h27

Ce mardi, la presse a pu découvrir la nouvelle affectation de l’ex-Whitney Museum à New York. Ce bâtiment dû à l’architecte Marcel Breuer et construit en 1966 dans un style « brutaliste », est une véritable icone de l’architecture du XXe siècle. Situé au croisement de la 75e rue et de la Madison avenue, il a une façade très « primitive » en béton et parement de granit avec une structure en porte-à-faux qui s’avance vers la rue. Il semble fermé à toute influence extérieure, fait de volumes simples, sans ornementation. Le Whitney l’a abandonné pour occuper son nouveau bâtiment dû à Renzo Piano, le long de la High. C’est le Metropolitan museum, le Met, qui l’a repris et qui l’a entièrement restauré à l’identique grâce au bureau d’architecture Beyer Blinder Belle. Le bâtiment a retrouvé son allure « proche de la terre » comme le voulait Breuer. Les murs dévoilent à nouveau les pierres d’obsidienne (noires) utilisées.

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New York sous le regard du cinema

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À partir d’images filmées depuis le parc linéaire de la High Line à New York, ce web-documentaire – Up the High Line : New York sous le regard du cinema – qui fonctionne comme un carnet de recherche interactif propose l’exploration d’un corpus d’œuvres audiovisuelles réalisées du début du vingtième siècle à nos jours. Les différents aspects du paysage urbain new-yorkais deviennent autant de portes d’entrée vers une série d’œuvres : des vues du cinéma des premiers temps, des vidéos expérimentales, mais aussi des films amateurs et des productions à la diffusion plus confidentielle.