avec la neige à Centrak Park et le sapin
Lea Michele – Christmas in New York (Official Video) – YouTube
avec la neige à Centrak Park et le sapin
Lea Michele – Christmas in New York (Official Video) – YouTube
LCD Soundsystem – New York, I Love You But You’re Bringing Me Down – YouTube
New York, I Love You
But you’re bringing me down
New York, I Love You
But you’re bringing me down
Like a rat in a cage
Pulling minimum wage
New York, I Love You
But you’re bringing me down
New York, you’re safer
And you’re wasting my time
Our records all show
You are filthy but fine
But they shuttered your stores
When you opened the doors
To the cops who were bored
Once they’d run out of crime
New York, you’re perfect
Don’t please don’t change a thing
Your mild billionaire mayor’s
Now convinced he’s a king
So the boring collect
I mean all disrespect
In the neighborhood bars
I’d once dreamt I would drink
New York, I Love You
But you’re freaking me out
There’s a ton of the twist
But we’re fresh out of shout
Like a death in the hall
That you hear through your wall
New York, I Love You
But you’re freaking me out
New York, I Love You
But you’re bringing me down
New York, I Love You
But you’re bringing me down
Like a death of the heart
Jesus, where do I start?
But you’re still the one pool
Where I’d happily drown
And oh, take me off your mailing list
For kids that think it still exists
Yes, for those who think it still exists
Maybe I’m wrong
And maybe you’re right
Maybe I’m wrong
And maybe you’re right
Maybe you’re right
Maybe I’m wrong
And just maybe you’re right
And oh
Maybe mother told you true
And they’re always be something there for you
And you’ll never be alone
But maybe she’s wrong
And maybe I’m right
And just maybe she’s wrong
Maybe she’s wrong
And maybe I’m right
And if so, is there?
Auteurs-compositeurs : Murphy James Jeremiah
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch
Emma Lazarus (22 juillet 1849 – 19 novembre 1887) était une auteure américaine de poésie, de prose et de traductions, ainsi qu’une militante pour les causes juives et georgistes. On se souvient d’elle pour avoir écrit le sonnet « The New Colossus » en 1883. [1] Ses lignes apparaissent inscrites sur une plaque de bronze, installée en 1903[2], sur le piédestal de la Statue de la Liberté. [3] Les dernières lignes du sonnet ont été mises en musique par Irving Berlin comme la chanson « Give Me Your Tired, Your Poor » pour la comédie musicale de 1949 Miss Liberty, qui était basée sur la sculpture de la Statue de la Liberté (Liberty Enlightening the World). La dernière partie du sonnet a également été définie par Lee Hoiby dans sa chanson « The Lady of the Harbor » écrite en 1985 dans le cadre de son cycle de chansons « Three Women ».
Lazare est également l’auteur de Poems and Translations (New York, 1867) ; Admetus, et autres poèmes (1871); Alide: An Episode of Goethe’s Life (Philadelphie, 1874); Poèmes et ballades de Heine (New York, 1881); Poèmes, 2 vol.; Narratif, lyrique et dramatique; ainsi que des poèmes et des traductions juifs. [4]
Qui ne veut pas voir New York
Daniel Lavoie – Je voudrais voir New York (Embarquement immédiat, 1987) – YouTube
Je n’ai jamais vu New York, j’ai souvent New York dans la tête
Je n’ai jamais vu Rio, qu’un pain de sucre sur les cartes photos
Je n’ai jamais vu Bangkok, mais sur tes lèvres, y a des parfums de Chine
Je n’ai jamais vu New York
Je n’ai jamais vu Delhi, mais j’ai rêvé aux plaines d’Ukraine
Je n’ai jamais vu Bali, comme une flûte qui hante lointaine
Je n’ai jamais vu Djara, mais y a du Sahara dans ton souffle
Je n’ai jamais vu New York
Coule-moi, coule-moi au fond de toi
Coule-moi que je vois le feu qui brûle en toi
Je n’ai jamais vu Rio
Je ne voyage qu’en mappemonde
Je n’ai jamais vu Djara, mais dans ma tête, y a un lion qui gronde
Je voudrais voir New York
Et maintenant, il y a beaucoup plus de gens qu’avant
Imaginez si juste la moitié voulait devenir président
Des milliards de bouches à nourrir
Des milliards de besoins, de désirs
Ça prendra énormément de bois, des tonnes d’acier, de verre, de cuivre
Il faudra un jour légiférer sur ce droit que nous avons tous de se réaliser
Quelques rêves se réalisent, la plupart sont oubliés
Trop peu de gens ont même des valises pour rêver de voyager
Coule-moi, coule-moi au fond de toi
Coule-moi que je vois le feu qui brûle en toi
Je n’ai jamais vu Rio
Je ne voyage qu’en mappemonde
Je n’ai jamais vu Djara, mais dans ma tête, y a un lion qui gronde
Je voudrais voir New York
Auteurs-compositeurs : Lavoie Daniel G, Lelievre Sylvain, Sechan Thierry Olivier
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch
Je contninue avec notre stéphanois
Bernard Lavilliers – Rock City – YouTube
Téléphone de la cabine
J’te présenterai ma frangine cocaïne
Viens becqueter dans ma cuisine
Tu goûteras à ma copine protéine
Si tu swing dans le timing
T’auras droit aux multi-vitamines
Si tu es dans la détresse
J’te présenterai une gonzesse qui caresse
Qui t’fait cracher tes dollars
À peu près comme un tubard ses kleenex
Si t’es pas dans le tempo
Elle t’éponge, et puis ciao, ça presse
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
Si t’es bien venu pour la frime
J’te prêterai ma limousine avec piscine
Cheminée, bar et mousseline
Avec un bas de soie noir d’Marilyn
Le dentier du président
Le Watergate du précédent, en sourdine
Si tu veux du sentiment
On n’en a plus pour l’instant dans le stock
On peut t’vendre quelques missiles
Vietnamiens avec leurs cibles d’un seul bloc
Tu ne veux pas t’emmerder
Même tout seul, dans la cité du rock
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
Téléphone de la cabine
J’te présenterai ma frangine cocaïne
Viens becqueter dans ma cuisine
Tu goûteras à ma copine protéine
Si tu swing dans le timing
T’auras le droit aux multi-vitamines
Je téléphone de la détresse
Il n’y avait plus de gonzesse dans le stock
Hamburger dans la cabine
J’peux pas payer la frangine cocaïne
On m’a jeté d’la limousine
J’ai pas droit aux multivitamines
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York, New York
New York, New York, New York, New York
New York, New York
Auteurs-compositeurs : Bernard Lavilliers
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch
Leplus New yorkais des Stéphanois
Bernard Lavilliers – Brooklyn – YouTube
C’est pas le paradis
Il y a du parfum dans l’air
Et puis de vrais amis
Qui font tourner les verres
Je ne peux pas sortir d’ici
Avant de trouver la rime
Que me fait passer mes nuits
Dans ce bar de Brooklyn
C’est près de Manhattan
Mais c’est tellement ailleurs
Que le temps se pavane
Avec d’autres couleurs
Il y a un juif arménien
Qui parle de Caruso
Avec un brésilien
Qui se tape un rizotto
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
De longs nuages partent en voyages
Juste au-dessus des toits dans un nuage juste au passage
Un souvenir de toi
Et la rivière fuit
Sous les ombres du pont
Et ton visage aussi
Il me reste ton nom
Cette ville horizontale
Cette femme allongée
Cette lumière verticale
Ce souffle de rosée
Le jour ou tu viendras
T’installer à Brooklyn
Je sais que tu comprendras
Cette ville est ma frangine
Cette ville est ma frangine
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea
Brooklyn Brooklyn Brooklyn by the sea…
Auteurs-compositeurs : Bernard Lavilliers, Mino Cinelu
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch
Venez pleure à Central Park. Une musique, un film : Oliver Barret IV et Jenny Cavilleri se sont rencontrés à l’Université. Il était riche, elle était pauvre. Il jouait au hockey sur glace dans l’équipe de Harvard, elle jouait du piano à la Bach Society. Ils se sont aimés. Ils se sont mariés. Ils avaient décidé d’appeler leur premier enfant Bozo…
C’est l’histoire, dans l’Amérique de 1970, de deux êtres jeunes, véritablement unis « pour le meilleur et pour le pire » ; une histoire simple comme l’eau qui coule, drôle comme la vie dès que l’on est deux pour en rire, pathétique comme toutes les destinées humaines ; une histoire d’amour qui parle au cœur de toute une génération.
Une promenade dans New York avec Lenny Kravitz
pour boire une bière c’est ii
Dans les aéroports new-yorkais, on peut payer jusqu’à 27,85 dollars la bière ! – Geo.fr
27 $ la bière ? Non, vous ne rêvez pas, c’est bien le prix demandé pour une mousse à l’aéroport de LaGuardia à New York, aux États-Unis, raconte le journal local The City. Un audit du bureau de l’inspecteur général de l’autorité portuaire a en effet révélé que 25 clients avaient été facturés entre 18 et 27 $ pour une bière, au terminal C de LaGuardia, un prix que l’autorité portuaire a qualifié de « totalement injustifiable ». Tous les clients ont depuis été remboursés, a précisé la direction de l’aéroport.
La bière en question était proposée au sein de bars gérés par l’entreprise OTG, qui possèdent 130 établissements à travers les États-Unis. Selon OTG, à l’origine, le prix de 27 $ correspondait à un tarif exceptionnel pour une bière saisonnière proposée dans certains établissements gérés par l’entreprise et n’aurait pas dû être appliqué aux bières servies au sein de l’aéroport LaGuardia à New York.
La société a annoncé avoir pris des mesures pour éviter que de pareilles mésaventures ne se reproduisent, notamment en embauchant de nouveaux cadres pour l’équipe qui supervise la tarification.
« Personne ne devrait débourser une somme aussi exorbitante pour une bière », a reconnu Kevin O’Toole, président des autorités aéroportuaires de New York et du New Jersey, cité par The Guardian. Après la publication d’un premier article dans le quotidien new-yorkais, le 13 mai dernier, les Autorités aéroportuaires de la ville ont réagi en annonçant qu’elles procéderaient à des contrôles de prix afin de mieux protéger les clients de l’aéroport contre les surfacturations. Les autorités invitent également les voyageurs à leur signaler tout exemple de prix « irréalistes » pratiqués au sein des aéroports de l’État de New York.
L’agence précise que les bars et les restaurants opérant au sein de l’aéroport de LaGuardia devront désormais s’aligner sur les prix du marché avec un surcoût maximum de 10 %.
L’affaire avait d’abord été médiatisée l’année dernière, après qu’un internaute dénommé « Cooper Lund » eut posté sur Twitter le menu d’un bar de l’aéroport de LaGuardia affichant des prix délirants sur les bières. La nouvelle politique de prix affichée par les aéroports de New York laisse en effet un goût amer aux voyageurs habitués à payer une assiette de frites 10,90 $, constate The City. »La seule façon d’avoir un vrai respect de ces règles, c’est de se plaindre assez fort sur Internet », explique Cooper Lund.
« 27 $ pour une bière, c’est seulement la cerise sur le gâteau, mais ce n’est pas ça la vraie question. Le problème, c’est bien la bière à 20 $, la bière à 18 $, c’est l’ensemble de ces prix ridicules », souligne le trentenaire originaire de Brooklyn.