Décembre 2010 après des heures et des heures de vol, nous atterissons à New York, nous prenons le métro ert nous sortons à une station près de notre hôtel et voilà ce que nous voyons et depuis je suis amoureux de New York
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New York mania, un indispensable pour les amateurs
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On dit souvent que la littérature peut nous faire voyager et c’est d’autant plus vrai avec New York mania, le carnet de voyage d’Elisabetta Cirillo illustré par Monica Lovati. Omniprésente dans la pop-culture et l’imaginaire collectif, New York fait rêver ou enrager c’est selon, mais grâce à ce très beau guide, vous en apprendrez plus sur ce qui fait la ville, ce qui passionne ses habitants et les endroits à ne pas manquer lors de votre prochaine visite dans la Grosse Pomme.
Savez-vous pourquoi de la fumée s’échappe des plaques d’égout de la ville ? Avez-vous déjà visité la station de métro qui se cache sous Manhattan ? Où se trouvent les meilleures librairies ? Où manger les meilleurs hamburgers de la ville ?
Tout cela et bien plus encore, vous l’apprendrez en lisant New York mania.
Une mine de conseils
Le livre est structuré en plusieurs sections comme à savoir, où se promener ou encore New York par quartier, ce qui permet au lecteur de naviguer facilement dans l’ouvrage et sélectionner les informations dont il a réellement besoin, que ce soit pour en apprendre plus sur la ville ou préparer son futur voyage. En effet, l’autrice consacre à chaque sujet une double page richement illustrée, avec une explication du phénomène et de nombreuses adresses insolites pour vous faire votre propre idée. Dès lors, que vous soyez amateur de théâtre, fan de série TV ou gourmet, ce guide vous donnera les clés pour assouvir votre passion dans la ville qui ne dort jamais.
Loin des clichés que chacun peut avoir sur la ville, New York mania vous emmènera en voyage dans une ville à part, loin des lieux habituellement conseillés aux touristes, et plus important encore, vous aidera à comprendre ce qui fait le quotidien de ses habitants, avant peut être que vous vous lanciez dans l’aventure, et tentiez de devenir un vrai New-yorkais vous-même.
Lundi Librairie : Carnets de New York – Paolo Cognetti
By Caroline Hauer At novembre 09, 2020 0
En 2003, Paolo Cognetti a vingt-cinq ans lorsqu’il se rend à New York pour la première fois. Le coup de foudre est immédiat. Il a l’éclat des belles évidences. Attiré tout d’abord par les quartiers emblématiques retiennent, il se prend rapidement d’affection pour les lieux empreints l’histoire, parfois abandonnés, les anciennes zones industrielles, les usines désaffectées, les terrains vagues. Jusqu’en 2006, il multiplie les séjours professionnels dans la Grosse Pomme en tant que réalisateur d’une série documentaire au sujet de la littérature américaine. Puis happé par sa passion naissante, il ne cessera de revenir arpenter les rues de la ville, crayons et carnets en poche. Publiés en 2010 en Italie sous le titre « New York è una finestra senza tende » aux éditions Laterza, ces récits d’escales à la rencontre de la cité l’entraînent sur les pas de ses auteurs fétiches. Les textes de ses flâneries sont ponctués de nombreuses citations puisées dans leurs œuvres.
Paolo Cognetti se glisse dans l’ombre de ses maîtres en littérature, Walt Whitman, Herman Melville, Truman Capote, J-D Salinger, Jack Kerouac mais également les contemporains comme Colson Whitehead. Par association, il découvre le Manhattan des gratte-ciels, le Brooklyn des écrivains, le Queens, les rives de l’Hudson et de l’East River. Il se penche particulièrement sur les quartiers populaires où les vagues successives d’immigration ont formé des creusets de civilisations. Au fil de ses promenades, Paolo Cognetti acquiert une connaissance intime de la ville qu’il fait matière littéraire. Il capte la poésie de cette mégalopole, saisit au vol les facettes méconnues, scruter l’évolution des endroits devenus familiers, s’interroge sur leur passé, leur devenir.
Né à Milan en 1979, Paolo Cognetti, auteur de recueils de nouvelles, d’un récit de voyage, était plutôt connu pour son goût de la solitude et son attrait pour les hauts sommets, l’Himalaya, Metan, Val d’Aoste. « Les Huit Montagnes » son premier roman est lauréat du prix Médicis étranger 2017, prix François Sommer et Premio Strega l’équivalent du prix Goncourt en Italie. Dans ces « Carnets de New York », l’élégance d’une plume alerte, poétique, s’associe au récit intimiste. Cicérone inspiré, il traduit en mots la fascination qu’il éprouve pour la ville. Il nous parle de chaleur humaine par le biais d’anecdotes amusantes, touchantes, révélant un sens de l’observation aigu. La sobriété de son écriture ciselée, style alerte et précis, rend compte des contrastes d’une cité si dépaysante vu d’Europe, variations nuancées qui célèbrent l’altérité, volupté de la langue, richesse des descriptions. Au gré de ses randonnées urbaines, il a dessiné neuf cartes pour illustrer son propos et incarner sa géographie très personnelle de cette ville.
Depuis le Ozzie’s Coffe Shop où il écrit, Paolo Cognetti embrasse la fantaisie d’une New York polymorphe, véritable kaléidoscope multiculturel. Il arpenter les rues de la ville qui ne dort jamais pour nous conter les liens noués, il a un faible pour les anti-conformistes, les rencontres inattendues. Les nouveaux amis se comptent parmi la diaspora italo-américaine comme Bob son logeur, qui a appris l’italien dans les livres d’Alberto Moravia et les chansons de Jimmy Fontana sans jamais avoir visité la terre de ses ancêtres. Les jeudis sont dédiés à la pizza. Les traditions américaines parfois le laissent sur le carreau, comme le loupé d’un Thanksgiving fêté en solitaire ou bien lui font vivre la carte postale tel ce compte à rebours de la nouvelle année à Times Square. C’est un bonheur rare de suivre Paolo Cognetti dans ses virées.
Carnets de New York Paolo Cognetti – Editions Stock Collection La Cosmopolite
Voyage à New York
un autre avis sur Manhattan Marilyn
Regis80 08 novembre 2020 ★★★★★★★★★★Phillipe Laguerre est également connu sous le nom de Phillipe Ward¸un nom qui fait tilt aux amateurs de littérature de l’imaginaire. Citons au hasard « La Fontaine de Jouvence » chez Rivière Blanche et sa série « Lasser, détective des dieux » chez Critic, cosignée avec Sylvie Miller qui obtînt le prix de l’uchronie en 2013. Mais il a nous a également déjà régalé de polars dont le très recommandé « Dans l’antre des dragons ». Nous avons ici affaire à un thriller qui nous emmène à New York, une des passions de l’auteur. Je me contenterais de renvoyer le lecteur à sa série d’anthologies « Dimension New York » chez Rivière Blanche ou il nous fait partager sa passion à travers le prisme de l’imaginaire avec l’aide de la fine fleur de la science-fiction française. Ce n’est pas la première fois que l’auteur nous emmène dans la Grosse Pomme par le biais d’un polar. « Manhattan Ghosts » illustré par de magnifiques photos en était déjà la preuve et c’était un coup de maître. Eh bien, cette fois-ci , c’est mieux. L’auteur a inclus dans son intrigue, une bonne dose d’histoire secrète qui sans alourdir son histoire en versant dans le complotisme, nous prend à lag orge et nous emmène jusqu’à la fin. Difficile de lâcher le roman et aussi une folle envie de vérifier les fondements historiques du récit de l’auteur ! Et c’est important ! Comme quoi la littérature populaire vous ouvre à la curiosité ! Le pitch de ce livre ?Kristin Arroyo, ancienne marine en Irak découvre dans les documents de son grand-père décédé, de troublants photos de Mariyn Monroe. Elle ne sait pas qu’elle va être embarqué dans un engrenage mortel.. On se retrouvera dans une uchronie qui plaira aux amateurs du genre. La mort de Marilyn est l’une des théories complotistes les plus répandues mais la façon dont Phillipe Laguerre-Ward l’utilise est plutôt originale. Il égare le lecteur ( et ses héros) sur nombre de fausses pistes et la conclusion est plutôt surprenante. Son style clair, incisif et une écriture fluide n’est pas pour rien pour faire de ce roman un véritable turn-over. Les personnages ne sont pas stéréotypés . Kristin est loin de répondre à l’image du vétéran en retraite paumée. Elle est combattive met séduisante mais fragile et Phillipe Laguerre nous la campe avec empathie et beaucoup de couleur. de même, les autres personnages comme ceux du photographe curieux et du milliardaire sont intéressants par leur évolution même. Sympathiques au départ mais apparemment peu concernés par les événements extérieurs, ils en arriveront à risquer leur vie et l’auteur nous rend très crédible cette évolution. Le camp des méchants est bien( ?) décrit et l’auteur en profite pour pousser un cri de colère contre certains groupes bien connus gravitant autour du pouvoir que dénonçait déjà Eisenhower lorsqu’i quitta le pouvoir. Les passages du livre où sont racontés ces agissements sont les plus effrayants du livre. Et l’on est probablement, hélas pas loin de la vérité. On y ajoutera pour l’aspect social, la révolte dont l’auteur se fait l’écho au début du livre . Quand à la situation des vétérans devenus SDF, elle fait l’objet de pages hallucinantes et nous ramène à la réalité de ces Etats-Unis. Enfin, le personnage principal de l’auteur c’est encore et toujours New York ; Son amour pour cette vile transpire à chaque page et j’en serais presque à vous recommander d’emmener ce livre avec vous dés que vous poserez le pied à New York. Mettre les pieds dans les pas des héros vous fera plonger au coeur de la vile-monde. On l’a compris c’est un sacré bouquin que l’auteur nous offre ! Dans la ligne directe de « Manhattan Ghosts » ,pour lequel l’auteur se permet un clin d’oeil dans les dernières lignes.. Une suite en préparation ? On l’espère ! |
New York au cinéma
par Bernard Pichon | Nov 5, 2020 | Actualités, Amérique – Nord, Culture
Pour lire l’article
https://www.pichonvoyageur.ch/new-york-au-cinema/
De nombreux films célèbres ont beaucoup contribué au succès touristique de la mégapole. Certaines images font figure d’archives, notamment celles incluant le World Trade Center.
« Quelque part, là-bas, très loin, New York la démente, la ténébreuse, vomissait son nuage de fumées et sa vapeur brune ». Jack Kerouac / Sur la route : Le rouleau original
Faut-il qu’elle soit photogénique pour que la Grosse Pomme ait servi de décor à autant de films sur petit ou grand écran (même si certains quartiers d’autres mégapoles – Toronto, en Particulier – ont figuré NYC dans certaines productions). En voici quatre, parmi d’autres.
Vous pouvez désormais acheter l’un des cinq penthouses de luxe conçus par Aston Martin à New York
Pour lire l’artcile
par David Smiedt6 novembre 2020
Un penthouse Aston Martin ? Si nous devons attendre un peu plus longtemps que prévu pour découvrir Mourir peut attendre, le dernier James Bond, vous pourriez déjà vivre une vie à la James Bond. Curieusement, à Manhattan et non à Londres. Dans le gratte-ciel de 66 étages, la marque britannique a collaboré avec le célèbre architecte Sir David Adjaye pour cinq résidences ; trois loggias et deux penthouses. Comme pour les moteurs, il s’agit d’un ensemble de lignes fluides et de finitions très luxueuses
. Le prix : cinq millions de dollars et, bien sûr, un SUV DBX Aston Martin, en édition spéciale, est inclus. Passons donc à l’intérieur pour prendre un martini, voulez-vous ?
Les principaux matériaux utilisés ici sont un parquet en chêne blanc, des luminaires en bronze conçus sur mesure par Adjaye et du marbre extrait des Alpes Apuanes. C’est l’Italie !
Situé aux 50e et 60e étages du bâtiment, l’idée est de vivre dans les nuages, de sorte que les fenêtres vont naturellement du sol au plafond et sont encadrées par les arcs qui font la réputation du bâtiment. Ici, vous en avez pour votre argent. Les meubles proviennent directement de la Aston Martin Home Collection et la cuisine est une Gaggenau. Même les toilettes, avec leur marbre et leur bois strié, sont très chics.
L’homme derrière la vision
Né à Dar Es Salaam, en Tanzanie, David Adjaye a passé son enfance à flâner à Kampala, Nairobi, Le Caire, Beyrouth, Accra et Djeddah – pour n’en citer que quelques-uns – en tant que fils de diplomate. Selon le site web de son entreprise, “son plus grand projet à ce jour, le Musée national de l’histoire et de la culture afro-américaines de Washington, a ouvert ses portes en 2016 et a été nommé événement culturel de l’année par le New York Times”. En 2017, Adjaye a été fait chevalier par la reine Elizabeth II et a été reconnu comme l’une des 100 personnes les plus influentes de l’année par le magazine TIME.
Via G
Ode à New York
Les images d’une ville de New York déchirée, dont les boulevards bourdonnants sont soudainement devenus silencieux et vides au début de l’année sont remplacées par celles d’une métropole sur le rebond. Des sièges de style européen sur les trottoirs ornent les restaurants du centre-ville au centre-ville, de Staten Island au Bronx et de Brooklyn au Queens. Les musées rouvrent et les New-Yorkais résilients tirent le meilleur parti de leur ville natale, profitant de nombreux nouveaux espaces ouverts.
Nous sommes ravis de savoir comment New York va se recréer sur son chemin vers la reprise et, par conséquent, nous avons parlé avec Christopher Heywood, vice-président exécutif des communications mondiales de NYC & Company, qui gère le tourisme pour les cinq arrondissements pour obtenir le scoop sur le reviens.
«Les personnes qui envisagent un voyage à New York devraient être convaincues qu’il y a eu beaucoup de travail accompli en mettant la sécurité des visiteurs au premier plan; que vous voyiez cela dans les musées ou dans les transports, ou dans l’ensemble de la restauration en plein air », nous a dit Heywood. Des mises à jour sur ces efforts sont publiées sur NYCGo.com, tout comme un menu complet de choses à faire dans toute la ville.
L’industrie du tourisme de la ville de New York adopte une approche hyper-locale pour amener les résidents et ces 20 millions de personnes de la région métropolitaine à profiter de ce qui se trouve dans leur propre arrière-cour grâce à une campagne «Tout à New York». C’est le moment idéal pour voir New York sans la foule, mais ne vous y trompez pas, l’objectif est de ramener les gens dans la ville pour redévelopper le dynamisme pour lequel elle est connue.
Le programme «Neighborhood Getaways» (détails sur NYCGo.com) encourage les New-Yorkais à profiter des offres et des offres rarement disponibles dans la ville qui ne dort jamais. MasterCard est une entreprise commanditaire et offre un crédit de 100 $, selon le montant dépensé.
Le programme «New York Staycation» a pour message que «vous pensez peut-être connaître New York, mais vous ne le faites vraiment pas.»
«Il y a tellement de choses à voir et à faire, même pour le New-Yorkais le plus blasé», dit Heywood. Il dit que même sans Broadway, qui ne rouvrira pas avant l’année prochaine, il y a beaucoup d’art public disponible, les musées sont ouverts et comme toujours, il y a des dizaines d’offres culturelles à plus petite échelle à apprécier.
L’essentiel, en particulier pour les voyageurs qui ont tellement hâte de prendre des vacances en ces temps difficiles? Sachez que la ville a aplati la courbe des infections au COVID-19 et continue de le faire. Et bien que la pandémie ait été repoussée, les responsables sont toujours très prudents et restent extrêmement vigilants pour maintenir le taux d’infection à un niveau bas.
«Je dirais que le principal argument de vente de New York à l’heure actuelle est que nous sommes l’endroit le plus sûr du pays», déclare Heywood.
Le scoop intérieur
Nous avons demandé aux New-Yorkais de brosser un tableau de ce que c’est que d’être dans la ville en ce moment.
«Je suis un New-Yorkais et voir ma ville se faire frapper, puis lentement récupérer et s’adapter pendant la crise a été un témoignage de sa résilience. Lorsque les portes sont fermées, nous chantons dans les rues », déclare Sekita Ekrek de Sekita Ekrek Luxury Travel Marketing.
«En plus de toutes les installations de restaurant en plein air, il y a maintenant beaucoup de musique et de créativité dans les rues, ce que j’adore. [On a recent] Dimanche après-midi, alors que je faisais des courses dans l’East Village, je me suis arrêté dans mon élan pour entendre une belle voix résonner «Somewhere» de «West Side Story». Je me suis retourné pour voir qu’une foule s’était rassemblée à Astor Place – jeunes et vieux, tous horizons. Le New York Philharmonic faisait un concert pop-up. C’était tellement émouvant, ça m’a littéralement mis les larmes aux yeux. L’autre soir, j’ai vu un jeu aléatoire à Fort Greene d’environ 20 ans traitant de la vie pendant COVID. Tout le monde était assis sur des couvertures à six pieds l’un de l’autre – y compris les acteurs. C’est une période intéressante de l’histoire pour voir New York. Je dis: enfilez ces chaussures de marche et commencez à explorer », dit Ekrek.
Laurie Palumbo, COO d’Island Destinations, qui est également une locale, déclare: «J’adore New York et l’un de mes endroits préférés est Le bar au Hôtel Baccarat. J’ai l’impression de remonter dans le temps, le cadre est tellement glamour et décadent; regarder les barmans mélanger soigneusement des cocktails artisanaux servis dans de magnifiques verres en cristal de Baccarat sous des lustres étincelants me fait toujours sourire! C’est sur ma liste de choses à faire après COVID! »
«Vivre à New York grâce à COVID a été une expérience merveilleuse de voir de jeunes voisins se mobiliser pour vérifier auprès des résidents plus âgés qu’ils peuvent acheter les fournitures nécessaires dans les pharmacies ou les supermarchés», déclare Kitt Garrett de Kitt Garrett à New York.
Elle dit que les autres efforts déployés par les habitants comprennent « rassembler la communauté pour soutenir les magasins locaux maman-et-pop, se joindre au nettoyage avec notre comité de quartier et apprécier le soutien du personnel extraordinaire de notre bâtiment pour nous assurer que nous sommes tous en sécurité, et tout ce dont nous avons besoin est fourni. C’est le meilleur de ce que cela signifie d’être un New-Yorkais, avec des gens qui aident les gens.
Lucille Ebbe Pucciarelli, présidente-directrice générale de Clark Travel Agency, Inc., vit dans le New Jersey et a récemment fait une excursion d’une journée dans la ville. «Normalement, j’irais dans un musée ou une pièce de théâtre. Quand nous sommes arrivés, nous avons marché et marché … jusqu’au quartier Flatiron et nous avons mangé au Le patio d’Eataly, ce qui était phénoménal. Nous avons traversé le Madison Square Park, puis jusqu’à Bryant Park, où nous nous sommes assis et avons apprécié la vue sur mon parc préféré à New York. Il y avait beaucoup de monde qui profitait de la ville. C’était merveilleux. »
New York se fraye un chemin dans l’âme et demeure, année après année.
«Je vis dans l’Upper East Side», déclare Ivan Igor Matta, copropriétaire de aliveXperiences, un voyagiste boutique pour l’Europe. «J’ai déménagé à New York il y a 16 ans après y avoir passé deux semaines en tant que touriste. J’adore la ville pour son ambiance, car même si elle est très chère, la ville ne cesse de donner. Vous pouvez être qui vous voulez et repartir à neuf n’importe quel jour de votre vie. «
Limor Dector, conseillère en voyages de luxe chez Ovation Travel Group, se souvient de son premier souvenir de New York en 1971: «Je n’avais que six ans et nous venions tout juste de quitter Israël. Nous étions des immigrants, des étrangers dans un nouveau pays et je me souviens d’être allé sur le ferry de Staten Island autour de Manhattan et d’avoir vu les tours jumelles se construire, se dressant sur les toits de la ville. J’étais sans voix. J’ai été étonné de voir les plus hauts bâtiments du monde [at the time] en cours. Ce souvenir est gravé dans mon cœur et mon esprit pour toujours. Les Twin Towers étaient l’incarnation des rêves américains que nous sommes venus poursuivre au pays des opportunités.
Alison Kraft Blue de Plaza Travel a déménagé de Californie à New York en 1986. «J’étais une jeune fille qui cherchait à affronter l’univers dans le monde de l’hôtellerie. Je n’y étais jamais allée mais je voulais changer. Le monde s’est ouvert à moi dans ces rues. Cela m’a changé pour toujours », dit-elle Conseiller en voyages de luxe.
Aventures dans la restauration
Amy Grigos, conseillère en voyages de luxe et fondatrice de High Access Travel, rapporte que «contrairement à la croyance populaire, New York n’est pas mort. C’est un peu battu, certes, mais il fait tout ce qu’il peut pour revenir.
Elle a récemment dîné dans trois établissements de New York pour goûter à leurs restaurants extérieurs. «Le premier arrêt était Bellini à M. C Seaport. Si vous savez quelque chose sur Cipriani’s, c’est une excellente option en plein air. C’est un peu hors des sentiers battus et vous pouvez toujours découvrir le même merveilleux Bellini du Harry’s Bar à Venise. L’hôtel fait également un excellent travail, avec une distanciation sociale et des protocoles. La vue de certaines chambres du pont de Brooklyn peut couper le souffle du New-Yorkais le plus blasé. La dernière fois que nous avons dîné là-bas, nous avons été informés qu’ils avaient des radiateurs afin d’étendre l’option de repas en plein air par temps plus froid. Bravo, M. C Seaport et Bellini!
« Prochain arrêt, Pastis sur la rue Gansevoort dans le Meatpacking District. Cet endroit était une institution – vous vous souvenez peut-être de «Sex in the City» – et quand il a fermé, tout le monde était profondément attristé. Lorsque Stephen Starr et Keith McNally l’ont rouvert en 2019, les célébrités étaient de retour en masse. Pour agrandir les sièges pour les repas à l’extérieur, la rue Gansevoort sur cette partie du pâté de maisons est fermée à la circulation. C’était une nuit très froide le soir où nous y étions. Les gens sans réservation étaient refusés et les commandes à emporter s’envolaient de la cuisine. Ils ne vous apporteront pas de cocktail tant que vous ne commanderez au moins un apéritif. Certaines des tables sont sous des lampes chauffantes suspendues, mais pas toutes. Nous avons essayé de rentrer l’autre soir, à la dernière minute, mais nous n’avons pas pu obtenir de réservation, car ils étaient pleinement engagés. Trois bons, Pastis!
Les Américains ne peuvent toujours pas aller en Italie et profiter du fameux Tagliolini Al Limone à l’hôtel Santa Caterina et c’est quelque chose dont nous rêvons depuis l’été dernier lorsque nous y étions. Nous avons décidé un soir de nous diriger vers Morandi dans le West Village pour obtenir notre solution italienne. Morandi est connu pour son Fritto Misto di Pesce, qui se compose de calamars salés et frits; crevettes avec la tête sur et petit poisson entier, semblable aux sardines. Ce combo frit et salé est définitivement un stratagème pour faire de votre boisson de plus en plus de vin que vous ne le feriez habituellement. Nous ne prenons aucun problème avec plus de vino, surtout par un samedi soir froid, mangeant à l’extérieur sans lampe chauffante en vue. Morandi est toujours bondé et vous pouvez généralement dîner assez tard, mais pendant la pandémie, ils ont cessé de servir beaucoup plus tôt. Nous sommes arrivés juste à temps pour prendre une table à l’extérieur, bien qu’ils aient quelques tables pour s’asseoir à l’intérieur (qui étaient espacées de six pieds). Nous avons commandé le Pici al Limone (spaghettis roulés à la main avec du citron et du parmesan) et une bouteille de Barolo, fermé les yeux et imaginé que nous étions sur la côte amalfitaine. C’était agréable d’être dehors, de soutenir les restaurants de New York, mais nous avons hâte de rentrer en Italie. Saluer!
«Jusqu’à présent, lors de nos tournées nocturnes au restaurant à New York, nous sommes trois pour trois. Les trois restaurants font de leur mieux dans les circonstances, et nous sommes heureux de les soutenir et de prier pour que les choses changent, car New York est connue pour certains des plus grands restaurants du monde.
«Nous sommes tous dans le même bateau, alors portez votre masque, portez du désinfectant et soutenez ces grands établissements, car nous voulons en profiter et que nous voulons qu’ils existent pour les années à venir.
Les Américains ne peuvent toujours pas aller en Italie et profiter du fameux Tagliolini Al Limone à l’hôtel Santa Caterina et c’est quelque chose dont nous rêvons depuis l’été dernier lorsque nous y étions. Nous avons décidé un soir de nous diriger vers Morandi dans le West Village pour obtenir notre solution italienne. Morandi est connu pour son Fritto Misto di Pesce, qui se compose de calamars salés et frits; crevettes avec la tête sur et petit poisson entier, semblable aux sardines. Ce combo frit et salé est définitivement un stratagème pour faire de votre boisson de plus en plus de vin que vous ne le feriez habituellement. Nous ne prenons aucun problème avec plus de vino, surtout par un samedi soir froid, mangeant à l’extérieur sans lampe chauffante en vue. Morandi est toujours bondé et vous pouvez généralement dîner assez tard, mais pendant la pandémie, ils ont cessé de servir beaucoup plus tôt. Nous sommes arrivés juste à temps pour prendre une table à l’extérieur, bien qu’ils aient quelques tables pour s’asseoir à l’intérieur (qui étaient espacées de six pieds). Nous avons commandé le Pici al Limone (spaghettis roulés à la main avec du citron et du parmesan) et une bouteille de Barolo, fermé les yeux et imaginé que nous étions sur la côte amalfitaine. C’était agréable d’être dehors, de soutenir les restaurants de New York, mais nous avons hâte de rentrer en Italie. Saluer!
«Jusqu’à présent, lors de nos tournées nocturnes au restaurant à New York, nous sommes trois pour trois. Les trois restaurants font de leur mieux dans les circonstances, et nous sommes heureux de les soutenir et de prier pour que les choses changent, car New York est connue pour certains des plus grands restaurants du monde.
«Nous sommes tous dans le même bateau, alors portez votre masque, portez du désinfectant et soutenez ces grands établissements, car nous voulons en profiter et que nous voulons qu’ils existent pour les années à venir.
Written by Vegeta
Juanita Holmes, une Afro-américaine à la tête de la police new-yorkaise
Le maire démocrate de New-York Bill de Blasio a nommé Juanita Holmes cheffe des patrouilles, l’un des postes clé de la police new-yorkaise
Désormais cheffe de patrouille, Juanita Holmes est la première femme noire à être promue à l’un des postes clés de la police new-yorkaise. Sous sa supervision, 77 commissariats et 35 mille policiers. Affichant un large sourire, elle reconnait que sa nomination survient en pleins troubles pour la polie New-yorkaise. Elle promet cependant de déployer les efforts qu’il faut pour maintenir l’ordre.
Fière et consciente de l’immense responsabilité qui lui incombe, Juanita Holmes déclare « qu’en tant que responsable de la police New-yorkaise, toutes les fonctions que j’ai occupées dans ce département, égalité, justice, transparence ont toujours été au cœur de mon métier. » Elle assure de poursuivre sur la même ligne, aujourd’hui alors qu’elle est nommée cheffe des patrouilles. Aujourd’hui Juanita Holmes est la femme la plus haut placée. Une responsabilité qu’on lui donne en toute confiance, affirme le maire démocrate de New-York, Bill de Blasio.
Cette nomination survient à un moment où la police est très critiquée. Aux Etats-Unis, le mouvement des Black Lives Matter prend de plus en plus d’ampleur. Les manifestations se multiplient dans plusieurs Etats du pays et dénoncent la brutalité policière à l’encontre de la population afro-américaine.
Elle devra donc redonner confiance en une police accusée de brutalités et de discriminations, notamment par la communauté afro-américaine.
Outre les 77 commissariats, Juanita Holmes supervise la majorité de policiers du NYPD, première police municipale des Etats-Unis. Le NYPD a été accusé de nombreuses brutalités pendant les vastes manifestations du mouvement Black Lives Matter qui avaient secoué New York, après la mort de George Floyd, fin mai.
Juanita Holmes, une femme qui vient de faire son entrée dans l’histoire américaine par la grande porte.
Mishka Gharbi