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Beautiful Boy : un grand roman sur New York et sur John Lennon !!

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.. Il y a un an, tu étais mourant sur un lit d’hôpital infect, à cause du palu,. Et maintenant, regarde ! Je t’ai saupoudré de poussière de Beatles »

Aujourd’hui, 8 décembre 2020,  cela fait tout juste  quarante ans  que John Lennon a été assassiné à l’âge de 40 ans, au pied du fameux Dakota Building qui sert de décor au roman  « Beautiful Boy”  en hommage à  la chanson de Lennon qui donne son titre au livre de Tom Barbash . Dans ce New York de la fin des années 70, début des années 80, le Dakota Bulding est un immeuble réputé pour sa facade sublime et pour avoir été entre autres stars notoires,  la résidence de John Lennon et Yoko Ono.  
John Lennon, irradie le livre de sa présence.mais les personnages principaux sont un père et son fils de la famille Winter, Buddy, ancien présentateur de talk show qui se remet  à peine d’une dépression nerveuse et le fils Anton, revenu malade du paludisme  d’une expédition en Afrique..Buddy aimerait revenir sur le devant de la scene en y invitant John Lennon et demande de l’aide à son fils de l’aider à remonter sur scène et de, retrouver les plateaux.

Ce joli roman permet de revivre cette année 1980 comme si on y était  dans une atmosphère faussement légère aux côtés de quelques New Yorkais privilégiés et célèbres.

Grâce à un sens aigu du dialogue et du détail, Tom Barbash, avec la jolie complicité  de la traductrice Hélène Fournier, nous raconte cette famille aisée de l’intelligentsia américaine.

“Beautiful Boy” est un grand roman sur New York, sur la relation père-fils, sur ce début des années 80 de tous les possibles,  sur les dérives de la célébrité avec une galerie de personnages à la fois terriblement humains et profondément attachants .  Et puis, least but non last, cela nous donne envie de réécouter du Lennon, détail non négligeable ! 

Beautiful boy, Tom Barbash, Hélène Fournier, Albin Michel,septembre 2020.

Calendrier d’ l’avent : 9

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Peter eut un petit rire.

            — Aucune idée, quand j’ai débarqué dans ce monde, mon protecteur m’a demandé si je voulais rester à New York ou si je voulais aller dans une autre ville. J’ai répondu que je ne me voyais pas vivre ailleurs qu’ici. Je te l’ai dit, je ne sais pas tout. Il existe des règles et j’en ai compris quelques-unes, d’autres m’échappent. Et c’est pour tous les morts pareils.

            Il marqua un nouveau temps mort et continua :

            — Je sais à qui tu penses. À ton père.

            Lisa hocha la tête affirmativement. Elle n’osait pas poser la question tant elle redoutait la réponse : voir ou ne pas voir son père, le résultat serait le même, de la tristesse.

            — Ton père ne se trouve pas à New York, dit calmement Peter.

            — Cela ne m’étonne pas, lâcha Lisa d’un air soulagé. Il disait toujours que cette ville était son enfer.

            — Je ne sais même pas s’il se trouve dans une autre ville ou ailleurs.

            — Ailleurs ?

            — Oui, quand notre période de purgatoire est finie, nous partons pour cet ailleurs, mais personne ne sait à quoi il correspond, car personne n’est jamais revenu pour le décrire.

            Des milliers de questions se bousculaient dans la tête de Lisa, mais elle préféra les garder pour elle ; plus tard, le temps serait plus propice pour les poser.

            — Et moi dans tout cela ? questionna-t-elle en se tournant vers l’ami de son père.

            — Nous avons besoin de toi. Tu dois nous aider à retrouver l’assassin de John Lennon.

            Lisa ne put s’empêcher de rire.

            — Tout le monde le connaît, il s’agit de Mark Chapman et aux dernières nouvelles, il se trouve toujours à la prison d’Attica. Toutes ses demandes de liberté conditionnelle ont été refusées.

            Peter hocha la tête avec un petit sourire crispé.

            — Je sais, mais tu oublies que tu n’es plus dans ton monde.

            Lisa posa machinalement la main sur le bras de Peter, mais elle ne rencontra aucune résistance et se retrouva à toucher sur la banquette. Le policier lui sourit.

            — Tu peux sentir les objets, mais pas les fantômes. Nous, on peut toucher les objets, la preuve il conduit son taxi, mais pas les vivants. Ne me demande pas pourquoi, je n’en sais rien. On s’y habitue vite.

            — OK, alors pourquoi je suis là ?

            — John Lennon a disparu avant-hier, dit-il. Et cela nous inquiète beaucoup.

            — Je ne comprends pas, répondit Lisa. J’avoue que je suis complètement perdue.

            — Qui ne le serait pas ? Je suis désolé de te brusquer, mais j’ai vraiment besoin de toi.

            Lisa poussa un long soupir. Elle n’acceptait toujours pas cette situation, mais pour l’instant elle devait se contenter d’agir comme si.

— Nous avons besoin de toi, insista Peter.

            — Pour retrouver l’assassin du fantôme de John Lennon ? dit-elle d’un ton ironique.

            Peter lâcha d’une voix douce que Lisa ne lui connaissait pas :

            — Tu as tout compris.

            — Pas tout. Par exemple comment un fantôme peut mourir ?

            — Justement, il ne peut pas. Pour simplifier, le jour où nous avons accompli notre peine dans ce purgatoire, une force nous pousse vers une porte. Ici, à New York, elle se trouve au bout du Brooklyn Bridge. Nous savons alors que notre temps est fini, nous passons la porte et fin de la partie.

— Et après ?

— Après, comme je te l’ai dit personne n’est revenu.

Une petite moue apparut sur le visage de Lisa, de nouvelles questions se bousculaient dans son esprit, rejoignant les anciennes, mais elle décida de les mettre de côté et d’accepter la situation telle qu’elle se présentait. De toute façon elle n’avait pas le choix.

— Nous arrivons, lança le chauffeur de taxi en se garant devant le Madison Square Garden.

Scarlett Johansson vend son luxueux penthouse de New York

pour lire l’article : Scarlett Johansson vend son luxueux penthouse de New York (proximus.be)

Tout juste mariée à l’auteur Colin Jost, Scarlett Johansson a décidé de mettre en vente son superbe appartement de New York pour la coquette somme de 2,3 millions de dollars !Scarlett Johansson s’est mariée fin octobre avec Colin Jost, qui écrit notamment pour Saturday Night Live. Puisque l’actrice a emménagé avec son mari, elle cherche désormais à se séparer de son penthouse de Manhattan. La star de Match Point et Marriage Story a mis son bien en vente pour 2,5 millions de dollars avant de baisser le prix à 2,3 millions. Pas facile de faire des affaires pendant la pandémie ! Elle propose également l’appartement à la location pour 6.500 dollars par mois.

Scarlett Johansson avait acquis ce penthouse de 120 m², situé entre les quartiers de Sutton Place et Turtle Bay, en 2008, avant son mariage avec l’acteur Ryan Reynolds. Elle avait alors dépensé 2,1 millions de dollars. L’appartement compte deux chambres à coucher, deux salles de bain, une cuisine en marbre ultra moderne mais surtout une terrasse de 40 m² surplombant New York. Un détail qui fait tout de suite gonfler le prix !

La fortune de Scarlett Johansson est estimée à 165 millions $. On pourra voir l’actrice sur les écrans en 2021 dans le film « Black Widow ».

À New York, un petit morceau de Governors Island comme cadeau de Noël

Par Rachel Brunet | Publié le 07/12/2020 à 19:08 | Mis à jour le 07/12/2020 à 19:26

Pour lire l’article : À New York, un petit morceau de Governors Island comme cadeau de Noël | lepetitjournal.com

Quoi de plus local et surprenant qu’un petit bout de Governors Island pour Noël ? Stop aux achats intempestifs, souvent inutiles, place aux cadeaux durables, éco-responsables et intelligents. Pour ce Noël 2020, l’île de Governors Island invite à offrir un petit bout d’elle-même en adoptant, au nom d’une chanceuse ou d’un chanceux, banc, chaise, fleur, hamac ou arbre. Mais pas que ! Il est aussi question de toutous… Des cadeaux uniques qui contribuent au dynamisme de l’île, et donc de New York.

Adoptez une rose japonaise

Elles sont des milliers à fleurir chaque année sur la petite colline aménagée sur Governors Island. On les appelle des roses japonaises, rosa rugosa ou beach rose. Cette espèce de rose est originaire d’Asie orientale, du nord-est de la Chine, du Japon, de la Corée et du sud-est de la Sibérie, où elle pousse, souvent sur les dunes de sable.

Vous pouvez (vous) offrir, pour $50, l’une d’entre elles. Un certificat personnalisé vous sera envoyé.

Adoptez un hibiscus

En période de floraison, il comporte une importante densité de fleurs. Il est tout particulièrement apprécié pour le panel de couleurs qu’il propose. Il se décline en effet en blanc, en jaune, en bleu, en pourpre, dans plusieurs teintes de rose et de fuchsia ainsi qu’en rouge. Le cœur des fleurs de l’hibiscus est généralement d’une autre couleur que les pétales. Governors Island regorge de cette somptueuse plante, notamment sur Liggett Terrace.

Vous pouvez (vous) offrir, pour $100, un de ces hibiscus. Un certificat personnalisé est fourni.

Soutenez l’équipe de chiens de Governors Island

Le coup de coeur de notre édition ! Il faut dire que nous avons un amour absolu pour nos amis à quatre pattes. Aussi, nous sommes ravis de vous annoncer que vous pouvez offrir à un amoureux des animaux de compagnie, un certificat de support pour la fine équipe de toutous qui contribuent à la propreté de l’île en empêchant les oies de venir y faire ce qu’elles font paisiblement dans tous les parcs de la ville… Grâce au travail de Max, Quinn, Chip et Aspen, Governor Island est un îlot propre de toutes déjections animales, du moins, de celles des oies…

Vous pouvez (vous) offrir ce soutien aux quatre acolytes pour $250. Un certificat de support est fourni.

Adoptez un hamac

Vous le sentez, le farniente ? Et pourquoi pas offrir un hamac à Noël ? Pas n’importe quel hamac, un hamac de Governors Island ! Vous aidez ainsi l’île à entretenir et à remplacer les si précieux hamacs afin que davantage de New-Yorkais puissent en profiter l’année prochaine. Oisiveté de rigueur ! Le cadeau, d’une valeur de $500, comprend une plaque nominative, au nom de votre heureux élu, pour la saison 2021, un certificat personnalisé et un abonnement « Supporter ». La classe, non pas à Dallas, mais à New York !

Adoptez une chaise 

Toujours dans le registre de la farniente, il faut dire que l’île s’y prête, Governors Island offre la possibilité d’adopter une chaise et d’y voir une plaque au nom de l’un de vos proches. Vous pouvez ainsi contribuer à voir davantage de chaises Adirondack éparpillées dans le parc en adoptant l’une d’entre elles. Le cadeau, d’une valeur de $1,000, comprend une plaque personnalisée pour la saison 2021, un certificat et un abonnement Supporter.

Adoptez une table de picnic

Une des activités favorites des New-Yorkais, une fois le beau temps installé sur la ville, le picnic ! Pour $2,500, vous pouvez offrir une table de picnic de Governors Island, du moins, y apposer le nom d’un proche, le vôtre, celui de votre famille, sur une des tables qui fleuriront sur Governor Island, une fois l’île réouverte au public pour la saison 2021. Le cadeau comprend une plaque personnalisée pour la saison 2021, un certificat et un abonnement Supporter.

Adoptez un arbre

Un cadeau pour les amoureux de la nature… L’adoption d’un arbre pour une durée de cinq ans. Ainsi, vous participez et soutenez le repeuplement de chênes, de cerisiers et des ormes d’Amérique sur Governors Island. Le cadeau comprend une plaque nominative pour 5 ans, une séance photo avec votre arbre et un certificat.

Lire sous « son » arbre, au printemps… Un vrai luxe à New York !

Adoptez un banc

Un cadeau durable, qui invite à la flânerie, au repos et à la contemplation. Tout un programme ! En adoptant un banc, vous participez à l’aménagement agréable et utile des grands espaces de l’île. Le cadeau, d’une valeur de $7,500 comprend une plaque personnalisée pour une durée de 5 ans, un certificat et un happy hour privé pendant la saison 2021.

Parce qu’au Petit Journal New York, nous ne proposons jamais de choses classiques et basiques…

Pour offrir un petit bout de Governors Island, cliquez ici

Pour un cadeau de Noël, il est conseillé de commander avant le 21 décembre 2020.

Désertée par les touristes, New York subit de plein fouet les conséquences du Covid-19

Par Marc Chalamet, correspondant à New York (Etats-Unis)Le 7 décembre 2020 à 06h45

Pour lire l’article : Désertée par les touristes, New York subit de plein fouet les conséquences du Covid-19 – Le Parisien

A l’heure où les Etats-Unis font face à une nouvelle aggravation de la situation sanitaire, dans la métropole américaine, l’une des destinations favorites des Français, le tourisme s’est effondré. Portant un coup sévère à l’économie de la ville.

Calendrier de l’avent : 8

3

Manhattan

30 Mai 2012

08 h 32 pm

The taxi cabs driving me crazy

How come dey always leaving me

Oh yes the young man drive away

Quick quick when he hears me say

One twenty-fifth and Lenox please

Don’t you know

The taxi gone with the breeze

Sixteen miles I walk, walk, walk, walk

Waiting on a taxi here in New York

Harry Belafonte : New York Taxi

            — Je te dois des explications, dit Peter en prenant la main de Lisa.

            Complètement sonnée, elle ne répondit pas tout de suite et regarda par la vitre pour se donner un moment de réflexion. La 8th Avenue lui parut déserte. Pourtant à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, du monde se pressait sur les trottoirs. Même les roulottes de nourriture semblaient l’avoir désertée. Elle rêvait, ce n’était pas possible autrement. Elle s’éclaircit la gorge et se tourna vers l’ami de son père. Peter devina ses pensées et lui sourit.

            — Non, tu ne rêves pas, et je suis bien mort. Tu vois mon fantôme.

            — Si je ne rêve pas, dit Lisa à haute voix, si tu es mort, alors j’en déduis que je suis morte aussi. Un chauffard a voulu éviter les photographes, il m’a renversée et m’a tuée sur le coup. Toi, tu es venu m’accueillir comme le plus fidèle ami de la famille. Mais au lieu de marcher dans un tunnel blanc, nous roulons dans un taxi jaune sur la 8th Avenue en direction du Madison Square Garden qui doit être la porte du paradis, ou plutôt du purgatoire.

            Le sourire de Peter s’agrandit.

            — Excellente déduction, digne de la policière que tu es. Mais tu te trompes, tu ne rêves pas, tu es vivante et moi je suis bien mort.

            Lisa lui jeta un regard rempli d’incompréhension, son visage s’assombrit.

            — Alors, explique au lieu de te moquer de moi.

            — Promets-moi de ne pas m’interrompre avant que j’aie fini. Après tu pourras poser toutes les questions que tu veux. Et il est possible que je ne possède pas les réponses.

            Lisa hocha la tête tandis que le taxi se frayait un passage entre les rares voitures. Peter regarda droit devant lui et commença :

            — Tu es toujours dans New York, mais sur un autre plan. Ici, il n’y a des personnes mortes ou plutôt leurs fantômes. Nous vivons dans ce monde car notre mort a été brutale : assassinats, suicides, violences ou autres. Aucun de ceux que tu verras n’est mort de vieillesse dans son lit.

            Il marqua un temps. Lisa se mordit les lèvres pour ne pas prendre la parole.

            — Ne me demande pas trop pourquoi, continua Peter sans voir le trouble qu’affichait la jeune femme, je n’en sais rien. Quand je suis mort, je me suis retrouvé sur la 20th Rue et un autre policier m’attendait pour m’expliquer. Les morts sont plus accueillants que les vivants. Comme tu le vois, New York reste New York, je vis chez moi, mais seul, sans ma femme ni mes deux filles. Je porte le même costume depuis ma mort, il ne se salit jamais. Je passe mes journées à me promener et à discuter avec d’autres morts. Je n’avais jamais autant parlé de toute ma vie.

            Il s’arrêta à nouveau. Lisa resta un instant sans voix avant de lâcher :

            — Et cet état va durer longtemps ?

Seahawks – Giants (12-17) : Russell Wilson à l’étouffée

Par Tristan Henry7 décembre 2020

pour lire l’article : Seahawks – Giants (12-17) : Russell Wilson à l’étouffée | Touchdown Actu (NFL Actu) – News, analyses et résultats de la NFL

Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.

Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335737553895514112&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Une défense de fer

Cette série offensive résume à elle seule le match de l’attaque des Seahawks, complètement éteinte par la défense agressive des Giants, mais aussi coupable de nombreuses erreurs. A l’exception de leur premier drive ponctué par un field goal et du touchdown de Chris Carson en milieu de quatrième quart-temps, les joueurs de Pete Carroll sont apparus extrêmement empruntés. Russell Wilson s’est ainsi rendu coupable de deux turnovers gag. Sur le premier, il perd la balle tout seul sur un snap et sur le deuxième, sa passe pour Carson est mal ajustée, même si le running back n’est pas exempt de tout reproche.

Une aubaine pour une défense des Giants toujours aussi dure à jouer. La ligne a su perturber Wilson et la secondary a très bien couvert le duo Metcalf/Lockett, empêchant les Seahawks de mettre en place leurs longues passes. Résultat, Seattle avait à la pause quasiment autant de points en attaque (3) qu’en équipes spéciales (2) : sur un punt contré, les locaux sont à deux doigts d’inscrire un touchdown, mais doivent se contenter d’un safety (5 – 0 à la mi-temps).

En deuxième période, la défense des Giants passe la seconde et mâche le travail de son attaque. D’abord en arrêtant une quatrième tentative dans le camp de Seattle entre les deux touchdowns des Giants, puis sur l’interception de Wilson qui a permis un field goal (17 – 5).

Seattle Seahawks (8-4) – New York Giants (5-7) : 12-17

Enorme surprise à Seattle ce dimanche. Menés par le quarterback remplaçant Colt McCoy (13 sur 22, 106 yards, 1 TD, 1 interception) en l’absence de Daniel Jones, blessé, les Giants sont allés battre les Seahawks, jusque-là invaincus à domicile. Avec leur quatrième victoire d’affilée et leur première de la saison contre une équipe au bilan positif, New York s’affirme comme le leader de la NFC Est.

Dans un match fermé, les joueurs de Joe Judge ont obtenu ce résultat en étouffant un Russell Wilson (27 sur 43, 263 yards, 1 TD, 1 interception, et 1 fumble perdu) une nouvelle fois décevant. C’est d’ailleurs sur leur cinquième sack de la soirée que les Giants ont parachevé leur victoire. Alors que Seattle avait la balle en 3e & 10 sur les 46 yards de New York à 50 secondes de la fin, Leonard Williams a plaqué Wilson pour une perte de 8 yards et son deuxième sack de la soirée. Derrière, la longue passe de Wilson a été détournée, offrant un succès mérité aux joueurs de la Grosse Pomme.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335737553895514112&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Une défense de fer

Cette série offensive résume à elle seule le match de l’attaque des Seahawks, complètement éteinte par la défense agressive des Giants, mais aussi coupable de nombreuses erreurs. A l’exception de leur premier drive ponctué par un field goal et du touchdown de Chris Carson en milieu de quatrième quart-temps, les joueurs de Pete Carroll sont apparus extrêmement empruntés. Russell Wilson s’est ainsi rendu coupable de deux turnovers gag. Sur le premier, il perd la balle tout seul sur un snap et sur le deuxième, sa passe pour Carson est mal ajustée, même si le running back n’est pas exempt de tout reproche.

Une aubaine pour une défense des Giants toujours aussi dure à jouer. La ligne a su perturber Wilson et la secondary a très bien couvert le duo Metcalf/Lockett, empêchant les Seahawks de mettre en place leurs longues passes. Résultat, Seattle avait à la pause quasiment autant de points en attaque (3) qu’en équipes spéciales (2) : sur un punt contré, les locaux sont à deux doigts d’inscrire un touchdown, mais doivent se contenter d’un safety (5 – 0 à la mi-temps).

En deuxième période, la défense des Giants passe la seconde et mâche le travail de son attaque. D’abord en arrêtant une quatrième tentative dans le camp de Seattle entre les deux touchdowns des Giants, puis sur l’interception de Wilson qui a permis un field goal (17 – 5).https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=true&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335713352916471809&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246888%2Fseahawks-giants-12-17-new-york-renverse-seattle%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Un troisième quart-temps de feu

Avec une telle défense, il a suffi de deux drives offensifs de New York pour faire le trou. Après une première mi-temps ponctuée de punts et d’une interception de Quandre Diggs sur une bévue de Evan Engram, les New-yorkais renversent le match en quelques minutes dans le troisième quart-temps. Limités par leur quarterback dans les airs, les Giants s’en remettent à leur ligne et à un duo de coureurs prometteurs.

Wayne Gallman (16 courses par 135 yards) commence par exploser pour une course de 60 yards, et permet à Alfred Morris de conclure avec deux courses de 13, puis de 4 yards (5–8). Le drive suivant, la recette est la même : Gallman ramasse encore 23 yards, et c’est une nouvelle fois Alfred Morris qui termine, cette fois-ci sur une passe de 6 yards (5–14).

New York a tout mis dans ces deux drives et n’obtient plus que deux first downs dans le dernier quart-temps. Suffisant pour confirmer le potentiel d’une équipe qu’il faudra prendre au sérieux dans cette deuxième partie de saison.

Jets – Raiders (28-31) : Derek Carr crucifie New-York au buzzer !

Par Raphaël Masmejean6 décembre 202

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Jets – Raiders (28-31) : Derek Carr crucifie New-York au buzzer ! | Touchdown Actu (NFL Actu) – News, analyses et résultats de la NFL

New-York Jets (0-12) – Las Vegas Raiders (7-5) : 28-31

Incroyable, cruel, palpitant… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier cette fin de match entre les Jets et les Raiders.

Alors que New-York pensait tenir la victoire en stoppant les Raiders sur une 4&3 dans leurs 10 yards à moins de deux minutes de la fin, les Jets ont connu une terrible désillusion en rendant une dernière fois le ballon et en voyant Derek Carr (28/47, 381 yards, 3TD, 1INT) les crucifier à 10 secondes de la fin.

Sur une 3&10, le quarterback des Raiders lance une passe en profondeur pour Henry Ruggs (3rec, 84 yards, 1TD), qui se rattrape alors de plusieurs erreurs en filant vers la end zone pour le touchdown de la victoire (28-31) !

Las Vegas passe donc tout près d’une énorme déconvenue dans la course aux playoffs. Mais l’essentiel est préservé… Pour les Jets, une fois de plus c’est un match à l’image de Sam Darnold (14/23, 186 yards, 2TD, 1INT).

Dr Jekyll, M. Hyde

En première mi-temps on a de nouveau le droit au meilleur et au pire de Sam Darnold… Sur ses trois premières séries, le jeune quarterback est propre et envoie même par deux fois Jamison Crowder (5rec, 47 yards, 2TD) au touchdown. Les deux drives font près de 70 yards et laissent présager le meilleur. D’autant plus qu’entre temps, les Raiders sont plus lents au démarrage avec une interception et un touchdown lancé par Derek Carr pour Daren Waller (13-7).

Sauf que la situation se complique… Le quarterback des Jets enchaîne 3 pertes de balles : deux sur des fumbles venant de sack et l’un sur interception. Des turnovers qui permettent aux Raiders de renverser la table en marquant des points après ceux-ci. D’abord sur field goal puis sur une nouvelle combinaison entre Carr et Waller (13rec, 200 yards, 2TD) pour passer enfin devant au score (13-17) pour la première fois du match.

New-York Jets (0-12) – Las Vegas Raiders (7-5) : 28-31

Incroyable, cruel, palpitant… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier cette fin de match entre les Jets et les Raiders.

Alors que New-York pensait tenir la victoire en stoppant les Raiders sur une 4&3 dans leurs 10 yards à moins de deux minutes de la fin, les Jets ont connu une terrible désillusion en rendant une dernière fois le ballon et en voyant Derek Carr (28/47, 381 yards, 3TD, 1INT) les crucifier à 10 secondes de la fin.

Sur une 3&10, le quarterback des Raiders lance une passe en profondeur pour Henry Ruggs (3rec, 84 yards, 1TD), qui se rattrape alors de plusieurs erreurs en filant vers la end zone pour le touchdown de la victoire (28-31) !https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=false&embedId=twitter-widget-1&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335693564697776128&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246824%2Fjets-raiders-28-31-derek-carr-crucifie-new-york-au-buzzer%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Las Vegas passe donc tout près d’une énorme déconvenue dans la course aux playoffs. Mais l’essentiel est préservé… Pour les Jets, une fois de plus c’est un match à l’image de Sam Darnold (14/23, 186 yards, 2TD, 1INT).

Dr Jekyll, M. Hyde

En première mi-temps on a de nouveau le droit au meilleur et au pire de Sam Darnold… Sur ses trois premières séries, le jeune quarterback est propre et envoie même par deux fois Jamison Crowder (5rec, 47 yards, 2TD) au touchdown. Les deux drives font près de 70 yards et laissent présager le meilleur. D’autant plus qu’entre temps, les Raiders sont plus lents au démarrage avec une interception et un touchdown lancé par Derek Carr pour Daren Waller (13-7).

Sauf que la situation se complique… Le quarterback des Jets enchaîne 3 pertes de balles : deux sur des fumbles venant de sack et l’un sur interception. Des turnovers qui permettent aux Raiders de renverser la table en marquant des points après ceux-ci. D’abord sur field goal puis sur une nouvelle combinaison entre Carr et Waller (13rec, 200 yards, 2TD) pour passer enfin devant au score (13-17) pour la première fois du match.https://platform.twitter.com/embed/index.html?dnt=false&embedId=twitter-widget-2&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1335665610613657600&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Fwww.touchdownactu.com%2F246824%2Fjets-raiders-28-31-derek-carr-crucifie-new-york-au-buzzer%2F&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px

Fort de cet avantage pris juste avant la pause, Las Vegas confirme d’entrée de jeu en seconde mi-temps. Après plus de 7 minutes de possession, les visiteurs finissent par trouver la zone d’en-but sur une courte course de leur quarterback. Un passage dans l’endzone qui permet aux Raiders de mener 24 à 13.

Courir pour la victoire

Après plusieurs punts, ce sont les Jets et surtout leur jeu au sol (206 yards ce soir) qui relance l’équipe. En attaque, les locaux remontent 96 yards dont 85 à la course pour revenir à 21-24 à 10 minutes de la fin du match.

Suite à un fumble de Ruggs, les Jets enchaînent de nouveaux les courses et repassent alors en tête (28-24) quand Ty Johnson (22 courses, 104 yards, 1TD) entre dans l’endzone. Les New-Yorkais n’ont besoin de tenir que 5 minutes pour l’emporter.

Et les locaux y croient longtemps, jusqu’à cette dernière passe létale de Dereak Carr.