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New York Knicks : une première sortie réussie, peut-on être optimiste ?

PAR DAMIEN VIOTTOLOPUBLIÉ LE 

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HIer soir les Knicks revenaient sur les parquets après une longue interruption. Les fans de la franchise de la ville qui ne dort jamais ont dû attendre pas moins de dix mois avant de revoir leur équipe. Ces derniers sont venus à bout des Pistons (90-84) pour leur premier match de pré-saison.

RJ Barrett rassure

On compte sur lui pour assurer l’avenir de la franchise de New York : l’ancien coéquipier de Zion Williamson à Duke, RJ Barrett, a été le meilleur marqueur pour les Knicks.

C’est exactement ce qu’on lui demande, il doit être un leader en terme de performances. Sa précision à trois points peut et doit être améliorée car il n’a pas réussi à mettre le moindre tir à l’extérieur de la raquette. Mais il s’agit de son premier match de la pré-saison, il aura le temps de s’améliorer à ce niveau là. Et Knicks en auront bien besoin.

Nerlens Noel ou Mitchell Robinson ? Les Knicks n’ont que l’embarras du choix

S’il y a quelque chose à retenir de la nuit dernière pour les Knicks, c’est à quel point l’arrivée de Nerlens Noel a fait du bien à l’intérieur de New York.

Arrivé comme le second assuré, celui qui devait permettre à Mitchell Robinson de se développer, d’être un mentor, au final Noel a été très bon et pourrait même lui voler sa place de titulaire à l’avenir.

Grâce à ses 11 points et surtout 8 rebonds son impact a été central. Mais, on peut féliciter les Knicks d’avoir bâti un intérieur solide, car entre Noel, Randle et Robinson, ces derniers ont cumulé : 23 points, soit presque un tiers de tous les points marqués par l’équipe. Mais surtout 23 rebonds soit 41% de tous les rebonds pris par l’équipe. Pas mal pour une première !

Obi Toppin impressionne

La première apparition du choix de premier tour de la Draft NBA 2020, Obi Toppin était très attendue. Et il n’a pas déçu, en 20 minutes, il a enregistré 11 points et 7 rebonds. Mais surtout il a montré qu’il était un poison à l’intérieur de la raquette.

Ses mouvements au poste ont été très efficaces, de même sous le panier il a su montrer toute sa puissance. Son physique est son atout principal c’est un joueur qui sait l’utiliser pour gagner les duels.

C’est une première sortie mais on ne veut qu’en voir plus, il est difficile de ne pas penser à l’ancien intérieur qui a marqué les Knicks : Amar’e Stoudemire. Un nom qui évoque de bons souvenirs pour l’intérieur des Knicks qui connaissait ses beaux jours.

Pour conclure, évidemment il faut prendre cette première performance avec calme et recul, la route est encore longue pour New York. Cependant cette équipe a montré de très belles choses ce soir et une amélioration nette. Et il ne faut pas se leurrer, la patience et le calme ne sont pas vraiment des vertus partagées par les fans de New York, qui est une ville pleine de passion pour son équipe de basket. Alors un peu d’optimisme ne fera pas de mal, après tout, c’est quelque chose que les fans des Knicks n’ont pas connu depuis bien longtemps.

Calendrier de l’avennt : 13

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La voix rocailleuse avait jailli derrière Lisa qui se retourna aussitôt. Un jeune homme vêtu d’un T-shirt troué, orné d’une croix gammée, d’un jeans déchiré, s’avança dans l’allée en continuant de vociférer de plus belle. À ses côtés, une jeune fille totalement hystérique hurlait à l’unisson.

— Ouais, virez la vieille. Aux chiottes, place aux jeunes. Y en a marre de cette musique de ringards.

Des voix s’élevèrent sur les gradins pour faire taire le couple qui continua de plus belle, encouragé par les lazzis et les quolibets désobligeants qui pleuvaient sur eux.

— Tu peux commencer par eux, lâcha Peter. Sid et Nancy.

— Elle ne lui en veut pas de l’avoir tué ? dit Lisa, en se remémorant leur histoire.

Sid Vicious et Nancy Spungen. Un couple maudit. Après avoir quitté le groupe punk des Sex Pistols, Sid avait plongé dans l’héroïne, initié par Nancy. En octobre 1978, dans un des hôtels les plus réputés de New York : le Chelsea hotel qui avait vu Arthur C. Clarke écrire 2001 l’odyssée de l’espace, la police new-yorkaise avait découvert le corps sans vie de Nancy, poignardé. Un avocat bien rémunéré avait réussi à faire croire à une histoire de dealers. Sid avait été libéré, mais  avait encore plus sombré dans la drogue. Deux mois plus tard, il mourrait victime d’une overdose.

— Non, ils sont toujours ensemble, à se promener en hurlant dans New York. Si tu veux les interroger, je te souhaite du plaisir !

Lisa haussa les épaules et fixa les deux jeunes punks se diriger vers la scène sous le regard horrifié de Marilyn Monroe qui s’éclipsa. Plusieurs fantômes essayèrent de les arrêter, mais c’ »tait mission impossible. Sid Vicious arriva à ses fins, il s’installa face au public et chanta My way de sa voix éraillée sous les huées de l’immense majorité des participants. Seul un petit groupe d’une dizaine de personnes l’encouragea à poursuivre.

— Tu penses vraiment qu’ils répondront à un flic qui ne peut plus rien contre eux ? demanda Lisa. N’oublie pas, je ne peux pas les menacer, ils sont déjà morts. Non, je ne pense pas qu’ils aient tué Lennon.

— Pourtant quand il était vivant, Sid Vicious était connu par sa brutalité.

— Oui, mais pas pour son intelligence. Celui qui a tué Lennon est instruit. Si j’accepte ton hypothèse, il a trouvé un moyen radical pour éliminer les fantômes. Au fait, pas d’autres disparitions avant ou depuis ?

— Pas à ma connaissance.

— Allons voir les lieux du crime.

Peter l’amena sur la scène où Sid Vicious continuait à massacrer la chanson. Il lui montra où se tenait Lennon, puis lui désigna au plafond l’endroit où se trouvaient les deux projecteurs.

— Bon, essaye de savoir si d’autres musiciens étaient contre le choix de Lennon pendant que je regarde une dernière fois au cas où j’aurais manqué un détail important.

Lisa examina minutieusement l’endroit, mais ne trouva rien d’intéressant et elle n’avait pas les moyens techniques pour relever des indices. De plus les fantômes ne laissaient pas de traces. Elle comprit qu’elle faisait fausse route. Elle pouvait envoyer la technologie aux oubliettes, elle devait retrouver son instinct de flic. C’est tout ce qui lui restait. Seulement elle ne voyait pas comment elle pourrait résoudre cette affaire en si peu de temps.

— J’ai trouvé quelques noms, dit Peter en la rejoignant.

— Ils sont dans la salle ?

— Non, dans le métro.

— Tant mieux, quittons cet endroit. Je ne supporte plus de l’entendre éructer. S’il n’était pas mort, je crois que je l’aurais étranglé de mes propres mains.

Peter l’entraîna dans les coulisses pour éviter de passer par la salle. Ils croisèrent plusieurs personnes qui saluèrent Peter de la tête, quand une voix suave se fit entendre derrière eux.

— Monsieur Mohogan, attendez une seconde.

Ils se retournèrent. Marilyn marchait dans leur direction avec de petits pas à cause de sa robe lui collant au corps.

— C’est la dame qui vient du monde des vivants ? demanda-t-elle en souriant à Lisa.

New York : Les images choc d’une voiture qui a foncé cette nuit dans une manifestation en faveur des sans-papiers faisant au moins 6 blessés – Vidéo

New York : Les images choc d’une voiture qui a foncé cette nuit dans une manifestation en faveur des sans-papiers faisant au moins 6 blessés – Vidéo

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Une voiture a percuté des manifestants contre la détention de sans-papiers cette nuit à New York, faisant plusieurs blessés. Une automobiliste a percuté ce vendredi après-midi plusieurs personnes dans le centre de Manhattan où défilait une manifestation contre la détention de sans-papiers, ont rapporté à l’AFP la police et des témoins.

Plusieurs blessés ont été transportés dans différents hôpitaux de la métropole, a précisé à l’AFP la police de New York.

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New York : Les images choc d’une voiture qui a foncé cette nuit dans une manifestation en faveur des sans-papiers faisant au moins 6 blessés – Vidéo

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Une voiture a percuté des manifestants contre la détention de sans-papiers cette nuit à New York, faisant plusieurs blessés. Une automobiliste a percuté ce vendredi après-midi plusieurs personnes dans le centre de Manhattan où défilait une manifestation contre la détention de sans-papiers, ont rapporté à l’AFP la police et des témoins.

Plusieurs blessés ont été transportés dans différents hôpitaux de la métropole, a précisé à l’AFP

Cinq manifestants interrogés ont tous assuré que le véhicule, conduit par une femme, avait délibérément accéléré après avoir été ralenti une première fois par plusieurs personnes.

« J’ai essayé de ralentir la voiture » a expliqué Angel Rivera, un manifestant. « Elle a ralenti un peu… et elle est repartie. J’ai plongé sur le côté. » « J’ai vu des gens projetés en l’air », a déclaré Joey, un manifestant qui n’a pas voulu communiquer son nom de famille. « C’était totalement intentionnel. »

Le porte-parole de la police a néanmoins estimé qu’il était « trop tôt pour dire s’il (s’agissait) d’un acte intentionnel ou d’un accident ». La conductrice est restée sur les lieux après l’incident et a été interpellée, selon la même source.

L’incident est intervenu un peu après 16 heures (21 heures GMT), alors qu’une cinquantaine de manifestants, selon plusieurs témoins, se trouvaient au carrefour de la 39ème rue et de la 3ème avenue, lorsque le véhicule s’est avancé droit dans le cortège. 

Les manifestants protestaient contre les conditions de détention de sans-papiers interpellés par les services de l’immigration (ICE), emprisonnés notamment à Hackensack, dans le New Jersey, où plusieurs d’entre eux ont entamé une grève de la faim.

Calendrier de l’avent : 12

— Nous verrons le résultat, dit le petit homme en quittant les lieux non sans avoir jeté un regard de haine à Lisa.

— C’est Edgar Allan Poe ? demanda, incrédule, Lisa.

— Lui-même. Quand il a appris la disparition de Lennon, il a sauté sur l’occasion en disant partout qu’il retrouverait son assassin, qu’il était le plus grand détective de la ville.

— Ce qui peut faire de lui un suspect.

— Non, il ne se trouvait pas sur les lieux. Tu peux le rayer de la liste.

— Encore faudrait-il que j’aie une liste. Pour l’instant, je suis dans le noir complet.

Peter ouvrit une porte et ils arrivèrent dans la salle de spectacle. De nombreuses personnes se tenaient aussi bien dans les gradins que dans la fosse, face à la scène. 

Lisa regarda les personnes qui déambulaient autour d’elle sans lui prêter la moindre attention. Peter la guida vers la scène plongée dans une semi-obscurité.

— Commençons par le début, dit Lisa. Le lieu de la disparition.

— En face de toi, Lennon était assis devant son piano blanc et jouait Instant Karma. Une centaine de personnes assistait à la répétition. Soudain, une lumière aveuglante a jailli d’un projecteur qui a explosé, suivi par un autre. Quand on a ouvert les yeux, Lennon avait disparu, à sa place s’élevait de la fumée grise. Plusieurs musiciens se sont précipités vers l’endroit où il se trouvait, mais il ne restait que cette fumée qui montait du tabouret où il était assis.

— Et si c’était un simple accident, une combinaison de lumières, de produits ?

— Ce serait trop beau, trop facile. De plus je te l’ai dit, les fantômes ne meurent jamais. Sauf sur le pont de Brooklyn quand leur heure est venue, et encore je n’en suis pas sûr.

— Bon, admettons, dit Lisa qui n’avait pas l’air convaincu. Maintenant, voyons le mobile. Pourquoi s’en prendre à Lennon ? Il avait des ennemis parmi les fantômes ?

— Notre monde ressemble à celui des vivants. Jalousie, mépris, haine sont monnaie courante. Mais nous ne pouvons pas nous tuer : je peux poignarder quelqu’un, lui tirer trente balles dans le corps, il ne se passe rien. Pas de sang, pas de douleur. Je te l’ai dit, ce n’est pas le paradis. Nous ne mangeons pas, nous ne faisons pas l’amour, nous ne buvons pas, nous ne fumons pas, nous ne nous droguons pas. Les artistes peuvent continuer à peindre, à écrire, à chanter, ils ont toujours un public. Et encore…

— Je ne sais toujours pas qui pouvait en vouloir à Lennon. Qui a décidé qu’il organiserait le concert ?

— Les musiciens choisissent en comité, entre eux. Tous les ans le responsable tourne.

— Commençons par eux. Certains voulaient-ils être le patron cette année ?

— Je vais poser la question.

À cet instant, un projecteur s’alluma et éclaira la scène. Lisa demeura interdite, incapable d’articuler le moindre mot.

Sous cet unique faisceau lumineux, entourée par l’obscurité, se tenait une femme, à la beauté incendiaire. Lisa la reconnut aussitôt. Elle n’était pas née quand elle était morte, mais son visage, sa silhouette hantaient encore toutes les mémoires.

Le silence tomba brutalement dans la salle. Des notes arrivèrent et ce fut au tour de la voix, sensuelle, douce, de prendre le relais du physique. Des images d’un autre Madison Square Garden, d’une autre scène, d’une autre chanson apparurent dans l’esprit de Lisa. C’était un hymne pour l’homme le plus puissant du monde, pour son anniversaire.

— Elle demeurera à tout jamais belle, dit Peter qui était lui aussi fasciné. John Lennon l’a choisie pour être l’interprète principale de son spectacle. Et elle a toujours aimé New York.

Lisa ne sut quoi répondre, Marilyn Monroe chantait et elle n’en revenait pas, de l’entendre, de la voir, même si ce n’était qu’un fantôme. Par son unique présence, elle avait réussi à éteindre toutes les conversations.

— Dehors ! Place à du sang neuf !

Nostalgie.

Ode à ces lieux qui faisaient l’âme de New York avant la pandémie

pour lire l’article : Ode à ces lieux qui faisaient l’âme de New York avant la pandémie (courrierinternational.com)

Le New York Magazine consacre sa une aux lieux du quotidien qui ont dû baisser le rideau. Ces bars, commerces, salons de coiffure qui nourrissaient l’identité de la ville et dont la crise sanitaire et économique a eu raison.

“Tout a disparu”. Le constat du New York Magazine est clair : au terme de cette année de crise sanitaire, la Grosse Pomme n’est plus ce qu’elle était. La chute vertigineuse de l’activité économique de la ville est sans précédent, et la “ville qui ne dort jamais” s’est transformée en “ville fantôme”.

“D’après les estimations du Partnership for New York City [une association qui regroupe des entreprises new-yorkaises], un tiers environ des 240 000 petites entreprises de la ville ne tiendront pas jusqu’à la ‘terre promise’ d’après le vaccin”, assène le magazine. Cette année, les rêves des New-Yorkais ont été mis sur pause.

Nostalgie.

Ode à ces lieux qui faisaient l’âme de New York avant la pandémie

Publié le 11/12/2020 – 10:35

Le New York Magazine consacre sa une aux lieux du quotidien qui ont dû baisser le rideau. Ces bars, commerces, salons de coiffure qui nourrissaient l’identité de la ville et dont la crise sanitaire et économique a eu raison.NOS SERVICES

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“Tout a disparu”. Le constat du New York Magazine est clair : au terme de cette année de crise sanitaire, la Grosse Pomme n’est plus ce qu’elle était. La chute vertigineuse de l’activité économique de la ville est sans précédent, et la “ville qui ne dort jamais” s’est transformée en “ville fantôme”.

“D’après les estimations du Partnership for New York City [une association qui regroupe des entreprises new-yorkaises], un tiers environ des 240 000 petites entreprises de la ville ne tiendront pas jusqu’à la ‘terre promise’ d’après le vaccin”, assène le magazine. Cette année, les rêves des New-Yorkais ont été mis sur pause.https://9506caf799792c2995daaa5028de28a0.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-37/html/container.html

Une partie de l’identité de la ville

Et c’est en partie pour cela qu’en cette fin d’année le New York Magazine a choisi de consacrer sa une aux lieux qui ont fermé leurs portes dans cette ville habituellement “​si agitée”. Son numéro annuel consacré aux “raisons d’aimer New York” prend, en 2020, des airs de requiem. Il est titré : “Adieu, les amis”.

C’est “une ode aux endroits qui définissaient nos vies ici” sous la forme d’une mosaïque de croquis reflétant la diversité des commerces frappés – tant économiquement que moralement – par les mesures sanitaires : salons de coiffure, bouis-bouis, salles de concert, salles de sport, discothèques, bars…

Le journal salue tous ces endroits qui ont rythmé le quotidien des New-Yorkais, “qui nous ont permis de faire communauté, de nous vêtir de nouvelles identités contre de l’argent”. Car, sans ces lieux, c’est une grande partie de l’identité de New York qui s’évapore :

Que devient cette ville si tant de ses établissements disparaissent définitivement du jour au lendemain ? Quelles sont les conséquences pour l’inconscient collectif quand une ville perd tout son environnement urbain, ses références culturelles, ses souvenirs, ses désirs et ses aspirations ? Et qu’est-ce que ça implique pour le prochain Jake Shears [l’un des chanteurs des Scissors Sisters] de ne pas pouvoir tenir ce concert en attendant d’être célèbre ?

Tâchons cependant de ne pas nous morfondre, car si des commerces ont disparu, d’autres vont forcément renaître, dans une ville qui aura beaucoup changé une fois la pandémie passée, rassure le New York Magazine. La forme de ce nouveau New York demeure incertaine mais, le journal en est persuadé, elle sera inédite.

Consacré pour une bonne part à la ville de New York, ce magazine est aussi réputé pour ses longs formats sur la vie culturelle et politique américaine. Né en 1964 comme supplément dominical du New York Herald Tribune et relancé comme hebdomadaire indépendant en 1968, New York a servi de modèle à de nombreux magazines urbains aux Etats-Unis, sachant capter l’air du temps grâce à ses couvertures audacieuses et à la plume talentueuse d’auteurs comme Tom Wolfe. Sa grande période a pris fin en 1976 avec son rachat par Rupert Murdoch. Depuis 2003, il appartient à la famille du financier Bruce Wassertein et a connu un renouveau salué par de nombreux prix. Fidèle à sa double vocation, il fait office de guide culturel et gastronomique de la Grosse Pomme tout en étant très respecté pour sa couverture de la politique. En 2014, il est devenu bimensuel.

Très complet, le site NYmag.com tient lieu de guide de la ville et des sorties. Il permet d’effectuer des recherches thématiques (musées, magasins, restaurants), mais propose également des articles sur l’actualité culturelle, sociale et politique.

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les Islanders de New York

pour lire l’article : LNH – 30 équipes en 30 jours : les Islanders de New York | RDS.ca

En collaboration avec Hockey 360, RDS poursuit son survol de 30 équipes de la LNH en 30 jours (sauf le CH) avec les Islanders de New York.

Au cours de la saison morte, les Islanders de New York ont apporté très peu de changements à la formation qui a atteint la finale de l’Association de l’Est l’automne dernier.

Outre un contrat de deux saisons d’une valeur de 1,45 million $ qu’il a offert au défenseur Sebastian Aho, le directeur général des Islanders Lou Lamoriello a réglé deux autres dossiers au sein de sa brigade défensive.https://imasdk.googleapis.com/js/core/bridge3.429.0_fr.html#goog_689149088Volume 90% Sorokin capable de remplacer Greiss?

Le vétéran DG a d’abord échangé le joueur autonome avec compensation Devon Toews à l’Avalanche du Colorado afin de s’offrir une marge de manœuvre en vue des prochaines négociations contractuelles avec Mathew Barzal. Puis, il s’est entendu avec Ryan Pulock, qui était lui aussi joueur autonome avec compensation, sur les termes d’un contrat de deux saisons d’une valeur de 10 M$.

Devant le filet, Thomas Greiss profité de son autonomie complète pour joindre les rangs des Red Wings de Detroit. Il devrait être remplacé par le gardien russe de 25 ans Ilya Sorokin. Ce dernier a joué les huit dernières saisons dans la KHL. Il a maintenu une moyenne inférieure à 2,00 lors des six dernières campagnes et a été élu gardien par excellence de la KHL en 2015-2016.

Calendrier de l’avent : 11

4

Manhattan

30 Mai 2012

09 h 12 pm

J’ai rêvé New York, New York City sur Hudson.
Babylone, tu te shootes et tu rêves
Babylone, tu fumes trop et tu crèves.
Babylone, tu exploseras sur un graffiti de New York !
Quand il pleut des cordes – Roule en Ford
Si tu veux faire mac – Roule en Cadillac
Si tu veux faire chic – Roule en Buick
Si tu es Rockfeller – Roule en Chrysler
J’ai rêvé New York, New York City sur Hudson.

Yves Simon : J’ai rêvé New York

Ils pénètrent dans l’immense salle où Lisa avait souvent accompagné son père pour voir des matchs de basket des Kniks.

Le Garden, comme l’appellent les New-Yorkais, se trouve sur la 7th Avenue entre la 31th et la 33th Rue, près de Pennsylvania Station. Mais avant cet emplacement, trois autres Garden avaient existé. New York était une ville qui bougeait, qui ne restait pas en place.

— Et maintenant, si tu m’expliquais, dit Lisa en marchant dans le gigantesque hall. Que faisons-nous ici ?

— Nous nous trouvons sur les lieux du crime. Tous les ans, pour le solstice d’été, un grand concert est organisé par les artistes morts pour tous les fantômes présents dans la ville. Cette année, John Lennon était chargé de le superviser. Choix des artistes, des chansons, des chorégraphies, il était le maître d’œuvre. Avant-hier, il se trouvait sur la scène au piano, devant plus de deux cents personnes et, tout à coup, il s’est volatilisé. Depuis il est introuvable.

Lisa ne put s’empêcher de rire, un rire nerveux.

— Et tu veux que je le retrouve, dit-elle d’un ton cassant.

— Non, que tu retrouves celui qui a réalisé cette prouesse. Tu ne comprends pas : si quelqu’un peut tuer un fantôme alors nous sommes tous condamnés. Et nous ne pourrons pas atteindre ce que certains pensent être le paradis. A quoi serviraient ces années passées à se morfondre ici ? Tu ne peux pas savoir notre souffrance, je ne te le souhaite pas.

— Mais pourquoi n’enquêtes-tu pas ? Pourquoi venir me chercher ? Ne me dis pas que tu es le seul policier à hanter ce New York.

— Bien sûr que non, nous sommes nombreux, moins que ceux que nous avons arrêtés. Mais nous sommes tous sur la liste des suspects. C’est pour cela que j’ai suggéré ta présence. Tu es une personne neutre.

— Et j’ai une dizaine d’heures pour résoudre cette énigme ?

— Oui, et même un peu moins maintenant.

— Tu as vraiment confiance en moi. En plus, je pense qu’il n’existe ni empreinte, ni trace.

— Oui, j’ai confiance en toi et oui, nous ne sommes pas dans Les Experts Manhattan. Tu vas devoir te fier uniquement à ton instinct de flic.

Soudain un homme se planta devant eux. Pas très grand, la chevelure noire en bataille, une petite moustache noire barrait un visage émacié.

— Mohogan, je vous avais dit que c’était inutile de ramener un vivant parmi nous. Il n’a pas sa place. Je trouverai le coupable, pas besoin d’aide extérieure.

Le visage de Peter se ferma.

— Monsieur Poe, nous en avons discuté et la décision a été prise à la majorité.

les Rangers de New York

Pour voir l’article et les vidéos : LNH : 30 équipes en 30 jours : les Rangers de New York | RDS.ca

En collaboration avec Hockey 360, RDS poursuit son survol de 30 équipes de la LNH en 30 jours (sauf le CH) avec les Rangers de New York.

La chance a souri aux Rangers de New York et cette équipe s’est retrouvée parmi les grandes gagnantes de la dernière saison morte dans la LNH.

Lorsqu’ils ont remporté la loterie même s’ils avaient terminé la dernière saison régulière au 18e rang de la LNH, les Blue Shirts ont rêvé au Québécois Alexis Lafrenière. Ce rêve est devenu réalité en octobre alors qu’ils ont nommé l’attaquant de l’Océanic de Rimouski au tout premier rang.

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Alors que l’équipe avait annoncé il y a quelques saisons avoir entamé un processus de reconstruction, voilà qu’elle pourra miser sur une attaque qui comprend Artemi PanarinMika ZibanejadKaapo Kakko et dorénavant Lafrenière qui a terminé la saison dernière avec 112 points en 52 matchs dans la LHJMQ.

« Je ne suis pas inquiet qu’il va devenir un de mes meilleurs amis. Il est un très bon gars, et on ne s’en cachera pas, il y a des habiletés uniques. J’ai hâte de le voir à l’oeuvre moi aussi durant les matchs! », a mentionné l’ailier québécois Julien Gauthier, qui amorcera à 23 ans sa première saison complète à New York.

« Pour bâtir une équipe gagnante, ça prend un noyau de jeunes joueurs qui joue ensemble pendant quelques années, et qui arrive à maturité ensemble entre 23 et 26 ans. Ça fait une équipe qui pousse dans la même direction. (…) Il y a un hype autour de notre équipe, et déjà même si on est jeunes, on est capables de rivaliser avec de très bonne équipes. Imagine ce que ça va donner dans les prochaines années! »

Un nouveau chapitre s’entame à New York avec la venue de Lafrenière, mais également à la suite du départ d’Henrik Lundqvist. Après 15 saisons avec les Rangers, King Henrik a pris la direction de Washington pour évoluer avec les Capitals. La cage new-yorkaise sera donc gardée par Alexandar Georgiev et Igor Shesterkin.

Quelques changements ont eu lieu à la ligne bleue, alors que Marc Staal est passé aux Red Wings de Detroit. Jack Johnson a rejoint la brigade défensive avec un contrat d’une saison à 1,15 millions $.

Le défenseur Tony DeAngelo s’est aussi entendu avec l’organisation sur les termes d’une prolongation de contrat de deux saisons et 4,8 millions $ annuellement.https://imasdk.googleapis.com/js/core/bridge3.429.0_fr.html#goog_620600196Volume 90% «Je suis certain qu’Alexis Lafrenière va devenir un de mes meilleurs chums.»

Calendrier de l’avent : 10

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— Le pire, continua Peter est que tu n’as qu’une nuit pour nous aider. Demain matin, le Manhattanhenge sera fini et tu retrouveras ton monde de vivants.

Lisa poussa un soupir de soulagement, pendant un instant elle avait cru qu’elle demeurerait définitivement coincé avec les fantômes. Elle ne comprenait pas comment elle avait atterri ici, mais si elle pouvait revenir dans son monde, c’était un bon point.

Elle ouvrit la portière et sortit. Elle était bien dans son New York, mais il manquait la foule, les gens pressés, la circulation et même les odeurs de nourriture ou d’essence, sans parler du bruit des ambulances.

Peter lui fit signe de la suivre et ils se dirigèrent vers l’entrée de l’immense salle mythique qui avait vu défiler tous les plus grands artistes du monde, les matchs de basket, de hockey et les combats de boxe. La jeune femme faillit faire remarquer qu’ils n’avaient pas payé le taxi, mais l’argent ne devait plus avoir cours.