Les années passent, et les Knicks restent les Knicks. Malgré l’arrivée du très sérieux Tom Thibodeau sur le banc, New York peine à gagner en crédibilité. Et quand on voit l’incroyable erreur de la franchise face aux Sixers, on se dit que les choses ne sont pas prêtes de s’arranger !
Il y a des franchises pour lesquelles tout va bien depuis plusieurs saisons, et tout ira bien dans les années à venir. À l’Est par exemple, le Heat n’a raté les playoffs qu’à 6 reprises depuis le passage à l’an 2000, la franchise sort d’inattendues Finales NBA, et pourrait rester au sommet encore quelques temps grâce à ses jeunes stars comme Tyler Herro et Bam Adebayo.
Il y a aussi des franchises qui ont connu le pire pendant quelques saisons, mais qui ont su magnifiquement rebondir, et en très peu de temps ! Les Lakers ont par exemple traversé un désert sportif après la retraite de Kobe Bryant, mais l’arrivée de LeBron James et l’échange des jeunes talents draftés contre Anthony Davis ont suffit à leur donner un titre…
Mais toutes les équipes n’ont pas cette chance… Pour certaines franchises, la lose est désormais dans l’ADN. C’est le cas des Knicks, qui sont à la peine depuis 7 ans, et qui trouvent toujours de nouveaux moyens de se ridiculiser auprès des fans. Ce samedi par exemple, une grosse erreur jamais vue est venue rappeler que les Knicks resteront toujours les Knicks…
Reggie Bullock n’a pas pu rentrer en jeu… car son maillot n’était pas floqué du même numéro devant et derrière ! Une erreur unique et indigne du franchise NBA qui se respecte… Mais comme l’ont bien expliqué les internautes, c’est une erreur qui ne pouvait arriver qu’à New-York finalement.
Malheureusement pour le responsable des équipements, cette erreur pourrait bien lui couter son travail… Les américains sont à cheval sur la discipline, et cette erreur est assez impardonnableà ce niveau.
Elle pénétra dans la salle, au moins, depuis la loi sur le tabac on pouvait respirer dans les bars. Une bonne idée du maire. Elle salua de la tête plusieurs habitués, surtout des policiers, fit la bise au patron et se dirigea vers le piano qui l’attendait.
Elle ôta sa veste et sentit un objet dans sa poche droite. Elle le sortit et vit une liasse de papier. Elle la déplia. Sa main se mit à trembler pendant qu’elle lisait ce qu’il y avait d’écrit.
Sur la première page, une simple phrase écrite à la main : Pour Lisa, pour qu’elle la chante dans l’autre monde. Je lui offre. Et une signature illisible.
Sur la page suivante, les paroles de la chanson inédite sur New York, écrite par John Lennon et qu’il avait interprétée avec elle. Sur les autres pages, la tablature. Une serveuse lui posa une bouteille d’eau et un verre et lui sourit comme pour l’encourager.
Un jour j’irai à New-York avec toi Toutes les nuits déconner Et voir aucun film en entier, ça va d’soi Avoir la vie partagée, tailladée Bercés par le ronron de l’air conditionné Dormir dans un hôtel délatté Traîner du côté gay et voir leurs corps se serrer Voir leurs cœurs se vider et saigner Oui, saigner
un jour, j’irai là-bas un jour, chat, un autre rat voir si le cœur de la ville bat en toi et tu m’emmèneras emmène-moi
Téléphone : Un jour j’irais à New York avec toi
Lisa ouvrit les yeux. Elle se retrouvait exactement à l’angle de la 14th Rue et de la 8th Avenue. Autour d’elle, il restait encore quelques photographes. Quand elle tourna la tête sur sa droite, le soleil avait presque disparu, avalé par les immeubles. Elle prit son téléphone portable. Elle était revenue à son point de départ : le trente mai à 08 h 32 PM.
Elle respira profondément et se dit qu’elle avait vraiment besoin de vacances. Pourtant, elle se remémorait parfaitement l’aventure qu’elle avait cru vivre avec les fantômes. Elle se souvenait de tout, des moindres détails de cette nuit y compris le concert final. L’avait-elle imaginé ? C’était plus que probable. Jouer avec Lennon, Parker, Marilyn, c’était plus du phantasme que de la réalité.
Plusieurs personnes la bousculèrent pour traverser la rue, sans se soucier le moins du monde d’elle. Elle continua de respirer lentement pour reprendre complètement ses esprits, puis traversa à son tour et se dirigea d’un pas rapide vers le bar où elle devait chanter.
Arrivée devant la porte, elle hésita. Cette histoire l’avait marquée et elle ne savait pas si elle était vraiment en état de chanter ce soir. Elle pourrait dire qu’elle était malade, le patron ne lui en voudrait pas. Finalement, elle se décida à y aller, elle verrait bien.
Start spreading the news, I’m leaving today I wanna be a part of it, New York, New York.
Répandez la nouvelle
Je pars aujourd’hui
Je veux en faire partie
New York, New York
Frank Sinatra : New York New York
Lisa n’en revenait pas, elle avait joué du piano alors que John Lennon chantait une chanson sur New York qu’il avait composé dans ce monde. Après, ce fut au tour de Marilyn Monroe qui avait insisté pour qu’elle l’accompagne. Et puis Charlie Parker était passé et il avait fait le bœuf avec elle, comme promis. Même Billie Holiday était venue montrer que sa voix n’avait rien perdu de sa prestance malgré la drogue, l’alcool et la mort. Jamais Lisa n’avait passé un moment aussi fort.
Enfin Peter était venu la chercher car l’heure de son retour approchait. Elle dit au revoir à John Lennon et le remercia pour cet instant qui resterait gravé à jamais dans sa mémoire.
En quittant le Madison Square Garden, Lisa eut envie de rester dans ce monde. Pour cela, elle devait se suicider pour rester avec eux. Elle s’imagina passer sa vie à jouer avec toutes ces stars, avec toutes ces vedettes qu’elle adorait. Peter dut le lire sur le visage de la jeune femme car il lui dit d’une voix ferme :
— N’y pense même pas, pour deux heures de bonheur, tu connaîtras la douleur pendant des années. Retourne dans ton monde, continue de jouer pour ton plaisir, fais ton boulot du mieux que tu peux, et je sais que ce n’est pas facile.
Ils prirent un taxi qui les ramena jusqu’à la 14°. Elle descendit, pendant qu’il restait à l’intérieur.
— On se reverra, murmura-t-elle.
— Qui sait ! répondit-il en refermant la portière.
Il était là assis par terre, la regardant derrière ses petites lunettes rondes. Il était toujours aussi jeune. Lisa sentit une boule dans son ventre : John Lennon était à ses pieds et elle ne trouvait pas les mots pour lui parler.
— Vous êtes libre, balbutia-t-elle. Si vous le voulez, on peut vous amener au Madison Square Garden, vous y êtes attendu pour préparer le spectacle.
John Lennon se leva et voulut embrasser Lisa, mais il passa à travers elle. La jeune femme ne put s’empêcher de sourire en voyant la mine déconfite de l’artiste.
— Mais vous êtes vivante.
— Oui, dit Lisa, et permettez-moi de vous dire que vous êtes un des plus grands musiciens et que je vous ai toujours admiré. Quand je le peux, je joue vos chansons dans un pub, surtout celle sur New York, et Imagine bien entendu…
Elle s’était lancée comme cela sans réfléchir. Mais quand elle eut fini, elle se trouva ridicule, complètement ridicule.
— Excusez-moi, je dois être ridicule. Je suis impressionnée d’être là devant vous. Tout à l’heure c’était devant Marilyn Monroe que je me trouvais.
— Comment va-t-elle ? demanda Lennon.
— Elle vous attend pour chanter avec vous.
Lisa l’entraîna dans le salon où se tenaient Peter et Houdini. En arrivant à sa hauteur, Lisa ne put s’empêcher de demander au magicien :
— Pourquoi cet enlèvement ?
— Parce qu’il n’y en a que pour les musiciens ! s’emporta Houdini. Chaque année, c’est pareil. On réserve ce spectacle aux musiciens, pas aux autres artistes. Et nous n’existons pas, nous ne sommes rien ! Des milliers de personnes ont assisté à mes exploits, mais aujourd’hui, parce que je ne chante pas, parce que je ne joue pas d’un instrument, je ne suis bon à rien. On m’oublie. Et l’oubli, c’est ce qui existe de pire pour un fantôme. Même mon musée est vide. Alors cette année, j’ai décidé de frapper un grand coup. J’allais montrer que je suis un artiste, un vrai. Lors du spectacle, je serais monté sur scène et j’aurais fait apparaître John Lennon de façon spectaculaire.
Il s’arrêta et regarda les trois visages, eut une petite moue et leur jeta à la figure :
— Que peuvent comprendre à mon art deux policiers obtus et une star adulée ? Vous allez m’arrêter ? Non, alors je m’en vais et bon vent pour votre concert, mais ne comptez pas sur moi pour l’écouter !
— Attendez ! lança John Lennon. Vous avez raison, nous avons trop pensé à nous. Pourquoi ne pas réaliser un spectacle avec tous les arts ? Demander à des danseurs de créer un ballet sur notre musique, à des peintres de décorer la scène, à des artistes de cirque de nous y rejoindre sur la scène. Nous avons encore quelques jours pour le préparer.
— Vous êtes sérieux ? répliqua Houdini.
— Tout ce qu’il y a de plus sérieux. J’ai même des idées qui se bousculent dans mon cerveau.
— D’accord, lâcha Houdini, je suis votre homme.
John Lennon se tourna vers Lisa et lui dit :
— Merci de m’avoir délivré, si je peux faire quelque chose pour vous…
Lisa prit sa respiration et lâcha dans un souffle.
— Il me reste quatre heures avant de rejoindre mon monde. Si je pouvais vous entendre chanter une fois, je n’étais même pas née pour assister à vos du concert du Madison Square Garden. Et si j’osais…
— Osez !
— J’aimerais vous accompagner au piano pendant que vous chantez New York City.
— Allons de suite au Madison. Ne perdons pas de temps.
Située au nord-est des États-Unis, la ville de New York est culturellement très riche. Elle attire chaque année de nombreux visiteurs en quête de sensations uniques. Monter au sommet des gratte-ciels les plus hauts du pays, reconnaître les endroits mythiques de films et séries tournés dans Big Apple… le choix de visite est vaste ! Avant de profiter de votre séjour, découvrez l’histoire et la culture new-yorkaise.
New York étant une ville carrefour des cultures du monde, la sélection de ce qui fonde son identité est forcément insuffisante. Néanmoins, voici quelques spécificités qui contribuent à faire de New York, une ville unique en son genre.
Les gratte-ciels
C’est grâce à l’avènement de l’architecture à structure métallique et de l’invention de l’ascenseur que les premiers gratte-ciels ont pu être édifiés à la fin du 19e siècle. L’idée d’élever des bâtiments vertigineux est née d’une réflexion sur l’étroitesse de l’île de Manhattan et de son découpage en rues rectilignes. Par la suite, c’est surtout la présence d’entreprises très puissantes à New York qui a motivé leur construction toujours plus haute.
Parmi les plus célèbres, citons :
le Flatiron Building (1902)
Times Building à Times Square (1903)
Chrysler Building (1930)
Rockefeller Center (véritable ville dans la ville achevée en 1939 et composée de 18 buildings)
l’Empire State Building construit en 1931 et considéré comme l’une des 7 merveilles du monde moderne.
et le récent One World Trade Center ouvert en 2015
Les musées
Les amateurs d’art se réjouiront de l’intérêt que porte New York à son rayonnement artistique dans le monde. Depuis l’inauguration du Metropolitan Museum of Art en 1872, la ville dispose de collections d’art moderne et contemporain parmi les plus inestimables du monde. Elle évolue dans ce domaine dans la même catégorie que Londres ou Paris. Les Musées Solomon R. Guggenheim et Museum of Modern Art sont les deux autres fleurons de la culture new-yorkaise.
Située au nord-est des États-Unis, la ville de New York est culturellement très riche. Elle attire chaque année de nombreux visiteurs en quête de sensations uniques. Monter au sommet des gratte-ciels les plus hauts du pays, reconnaître les endroits mythiques de films et séries tournés dans Big Apple… le choix de visite est vaste ! Avant de profiter de votre séjour, découvrez l’histoire et la culture new-yorkaise.
Les symboles de la culture new-yorkaise
New York étant une ville carrefour des cultures du monde, la sélection de ce qui fonde son identité est forcément insuffisante. Néanmoins, voici quelques spécificités qui contribuent à faire de New York, une ville unique en son genre.
Les gratte-ciels
C’est grâce à l’avènement de l’architecture à structure métallique et de l’invention de l’ascenseur que les premiers gratte-ciels ont pu être édifiés à la fin du 19e siècle. L’idée d’élever des bâtiments vertigineux est née d’une réflexion sur l’étroitesse de l’île de Manhattan et de son découpage en rues rectilignes. Par la suite, c’est surtout la présence d’entreprises très puissantes à New York qui a motivé leur construction toujours plus haute.
Parmi les plus célèbres, citons :
le Flatiron Building (1902)
Times Building à Times Square (1903)
Chrysler Building (1930)
Rockefeller Center (véritable ville dans la ville achevée en 1939 et composée de 18 buildings)
l’Empire State Building construit en 1931 et considéré comme l’une des 7 merveilles du monde moderne.
et le récent One World Trade Center ouvert en 2015
Les musées
Les amateurs d’art se réjouiront de l’intérêt que porte New York à son rayonnement artistique dans le monde. Depuis l’inauguration du Metropolitan Museum of Art en 1872, la ville dispose de collections d’art moderne et contemporain parmi les plus inestimables du monde. Elle évolue dans ce domaine dans la même catégorie que Londres ou Paris. Les Musées Solomon R. Guggenheim et Museum of Modern Art sont les deux autres fleurons de la culture new-yorkaise.
Broadway
Broadway est avant tout une avenue de New York, la seule en diagonale la traversant du nord au sud. C’est au niveau de Times Square que sont implantés les célèbres théâtres new-yorkais où se produisent les plus grands artistes. Des millions de spectateurs y affluent du monde entier. Broadway doit sa réputation aux comédies musicales ! Ce quartier désigne en fait l’ensemble des théâtres new-yorkais, qu’ils soient ou non situés sur la célèbre avenue.
Wall Street
Wall Street, à l’instar de Broadway, est avant tout une rue de New York. Par extension, elle a donné son nom à la place financière new-yorkaise, la plus puissante du monde. Plusieurs évènements marquants de l’histoire américaine s’y sont déroulés. Le plus célèbre est le funeste « Jeudi noir », qui plongea New York dans une période de récession en 1929. Wall Street est à ce jour un symbole de la puissance internationale de New York. Le Baseball
Le baseball fait partie intégrante de la culture new-yorkaise. Vous croiserez ses plus fervents supporters dans plusieurs endroits de la ville. Il sera simple pour vous de les remarquer : ils porteront avec fierté leurs emblèmes, comme la célèbre casquette NY et le maillot de leur équipe favorite, les Yankees. Vous pourrez si vous le souhaitez, profiter de votre séjour à New York pour vous initier à ce sport hautement réputé et suivi par les Américains.
Personnalités célèbres
New York est un berceau de la culture en tous genre. Qui ne connaît pas les séries télévisées « Friends » et « Sex and the city » ou bien les films « King-Kong » et « SOS Fantômes » ? Tous ont été tournés dans les rues de cette magnifique et grande ville. Plusieurs acteurs et chanteurs internationaux y ont vu le jour aussi, tels que Lady Gaga, Vin Diesel, Sylvester Stallone, Alicia Keys, etc. New York abrite également le Musée d’Histoire Naturelle, qui a été le lieu de tournage du film « Une nuit au musée ». Le cinéma fait donc véritablement partie de la culture new-yorkaise !
Située au nord-est des États-Unis, la ville de New York est culturellement très riche. Elle attire chaque année de nombreux visiteurs en quête de sensations uniques. Monter au sommet des gratte-ciels les plus hauts du pays, reconnaître les endroits mythiques de films et séries tournés dans Big Apple… le choix de visite est vaste ! Avant de profiter de votre séjour, découvrez l’histoire et la culture new-yorkaise.
Les symboles de la culture new-yorkaise
New York étant une ville carrefour des cultures du monde, la sélection de ce qui fonde son identité est forcément insuffisante. Néanmoins, voici quelques spécificités qui contribuent à faire de New York, une ville unique en son genre.
Les gratte-ciels
C’est grâce à l’avènement de l’architecture à structure métallique et de l’invention de l’ascenseur que les premiers gratte-ciels ont pu être édifiés à la fin du 19e siècle. L’idée d’élever des bâtiments vertigineux est née d’une réflexion sur l’étroitesse de l’île de Manhattan et de son découpage en rues rectilignes. Par la suite, c’est surtout la présence d’entreprises très puissantes à New York qui a motivé leur construction toujours plus haute.
Parmi les plus célèbres, citons :
le Flatiron Building (1902)
Times Building à Times Square (1903)
Chrysler Building (1930)
Rockefeller Center (véritable ville dans la ville achevée en 1939 et composée de 18 buildings)
l’Empire State Building construit en 1931 et considéré comme l’une des 7 merveilles du monde moderne.
et le récent One World Trade Center ouvert en 2015
Les musées
Les amateurs d’art se réjouiront de l’intérêt que porte New York à son rayonnement artistique dans le monde. Depuis l’inauguration du Metropolitan Museum of Art en 1872, la ville dispose de collections d’art moderne et contemporain parmi les plus inestimables du monde. Elle évolue dans ce domaine dans la même catégorie que Londres ou Paris. Les Musées Solomon R. Guggenheim et Museum of Modern Art sont les deux autres fleurons de la culture new-yorkaise
Broadway
Broadway est avant tout une avenue de New York, la seule en diagonale la traversant du nord au sud. C’est au niveau de Times Square que sont implantés les célèbres théâtres new-yorkais où se produisent les plus grands artistes. Des millions de spectateurs y affluent du monde entier. Broadway doit sa réputation aux comédies musicales ! Ce quartier désigne en fait l’ensemble des théâtres new-yorkais, qu’ils soient ou non situés sur la célèbre avenue.
Wall Street
Wall Street, à l’instar de Broadway, est avant tout une rue de New York. Par extension, elle a donné son nom à la place financière new-yorkaise, la plus puissante du monde. Plusieurs évènements marquants de l’histoire américaine s’y sont déroulés. Le plus célèbre est le funeste « Jeudi noir », qui plongea New York dans une période de récession en 1929. Wall Street est à ce jour un symbole de la puissance internationale de New York. Le Baseball
Le baseball fait partie intégrante de la culture new-yorkaise. Vous croiserez ses plus fervents supporters dans plusieurs endroits de la ville. Il sera simple pour vous de les remarquer : ils porteront avec fierté leurs emblèmes, comme la célèbre casquette NY et le maillot de leur équipe favorite, les Yankees. Vous pourrez si vous le souhaitez, profiter de votre séjour à New York pour vous initier à ce sport hautement réputé et suivi par les Américains.
Personnalités célèbres
New York est un berceau de la culture en tous genre. Qui ne connaît pas les séries télévisées « Friends » et « Sex and the city » ou bien les films « King-Kong » et « SOS Fantômes » ? Tous ont été tournés dans les rues de cette magnifique et grande ville. Plusieurs acteurs et chanteurs internationaux y ont vu le jour aussi, tels que Lady Gaga, Vin Diesel, Sylvester Stallone, Alicia Keys, etc. New York abrite également le Musée d’Histoire Naturelle, qui a été le lieu de tournage du film « Une nuit au musée ». Le cinéma fait donc véritablement partie de la culture new-yorkaise
Géographie : la capitale mondiale de la démesure
Ouverte sur l’océan Atlantique, New York City est la ville la plus peuplée des Etats-Unis. Elle compte environ 8 600 000 habitants. Cette ville gigantesque s’est construite sur la côte est des États-Unis, à l’embouchure du fleuve Hudson sur l’océan Atlantique. Cette situation privilégiée est renforcée par la présence de l’affluent du Mohawk qui relie New York aux Grands Lacs et aux Grandes Plaines, plus à l’ouest.
Le territoire new-yorkais est divisé en 5 quartiers principaux, ou boroughs :
Manhattan sur la presqu’île (où sont réunies la plupart des attractions touristiques)
Richmond sur Staten Island
Brooklyn
Le Queens
Le Bronx, sur le continent
La superficie totale de la ville de New York est de 1 214 km² (En comparaison, Paris fait « seulement » 105,4 km²), dont 785 km² de terres émergées et 429 km² d’eau. L’altitude maximale est de 124,9 m au-dessus du niveau de la mer, sur Todt Hill à Staten Island.
La ville de New York est soumise à de forts contrastes climatiques. Ouragans, vagues de chaleur, tempêtes de neige (donnant des photos très impressionnantes) ou violents orages rythment les saisons. Un chiffre rend compte de ce climat capricieux : au cours d’une année normale, la courbe de température varie de -25,5°C en hiver à 41°C en été, soit une amplitude de 65,5°C.
En Bref : Municipalité : New York City (depuis le 2 février 1653) Boroughs (quartier ou comté) : – Bronx (Le Bronx) – New York (Manhattan) – Queens (Queens) – Kings (Brooklyn) – Richmond (Staten Island) Superficie : 1 214 km² Population : 8 143 200 hab. (2005) Densité : 10 292 hab./km² Décalage horaire : – 5 heures par rapport à Paris Devise : dollar ($) Gentilé : New-Yorkais, New-Yorkaise
Située au nord-est des États-Unis, la ville de New York est culturellement très riche. Elle attire chaque année de nombreux visiteurs en quête de sensations uniques. Monter au sommet des gratte-ciels les plus hauts du pays, reconnaître les endroits mythiques de films et séries tournés dans Big Apple… le choix de visite est vaste ! Avant de profiter de votre séjour, découvrez l’histoire et la culture new-yorkaise.
Les symboles de la culture new-yorkaise
New York étant une ville carrefour des cultures du monde, la sélection de ce qui fonde son identité est forcément insuffisante. Néanmoins, voici quelques spécificités qui contribuent à faire de New York, une ville unique en son genre.
Les gratte-ciels
C’est grâce à l’avènement de l’architecture à structure métallique et de l’invention de l’ascenseur que les premiers gratte-ciels ont pu être édifiés à la fin du 19e siècle. L’idée d’élever des bâtiments vertigineux est née d’une réflexion sur l’étroitesse de l’île de Manhattan et de son découpage en rues rectilignes. Par la suite, c’est surtout la présence d’entreprises très puissantes à New York qui a motivé leur construction toujours plus haute.
Parmi les plus célèbres, citons :
le Flatiron Building (1902)
Times Building à Times Square (1903)
Chrysler Building (1930)
Rockefeller Center (véritable ville dans la ville achevée en 1939 et composée de 18 buildings)
l’Empire State Building construit en 1931 et considéré comme l’une des 7 merveilles du monde moderne.
et le récent One World Trade Center ouvert en 2015
Les musées
Les amateurs d’art se réjouiront de l’intérêt que porte New York à son rayonnement artistique dans le monde. Depuis l’inauguration du Metropolitan Museum of Art en 1872, la ville dispose de collections d’art moderne et contemporain parmi les plus inestimables du monde. Elle évolue dans ce domaine dans la même catégorie que Londres ou Paris. Les Musées Solomon R. Guggenheim et Museum of Modern Art sont les deux autres fleurons de la culture new-yorkaise.
Broadway
Broadway est avant tout une avenue de New York, la seule en diagonale la traversant du nord au sud. C’est au niveau de Times Square que sont implantés les célèbres théâtres new-yorkais où se produisent les plus grands artistes. Des millions de spectateurs y affluent du monde entier. Broadway doit sa réputation aux comédies musicales ! Ce quartier désigne en fait l’ensemble des théâtres new-yorkais, qu’ils soient ou non situés sur la célèbre avenue.
Wall Street
Wall Street, à l’instar de Broadway, est avant tout une rue de New York. Par extension, elle a donné son nom à la place financière new-yorkaise, la plus puissante du monde. Plusieurs évènements marquants de l’histoire américaine s’y sont déroulés. Le plus célèbre est le funeste « Jeudi noir », qui plongea New York dans une période de récession en 1929. Wall Street est à ce jour un symbole de la puissance internationale de New York. Le Baseball
Le baseball fait partie intégrante de la culture new-yorkaise. Vous croiserez ses plus fervents supporters dans plusieurs endroits de la ville. Il sera simple pour vous de les remarquer : ils porteront avec fierté leurs emblèmes, comme la célèbre casquette NY et le maillot de leur équipe favorite, les Yankees. Vous pourrez si vous le souhaitez, profiter de votre séjour à New York pour vous initier à ce sport hautement réputé et suivi par les Américains.
Personnalités célèbres
New York est un berceau de la culture en tous genre. Qui ne connaît pas les séries télévisées « Friends » et « Sex and the city » ou bien les films « King-Kong » et « SOS Fantômes » ? Tous ont été tournés dans les rues de cette magnifique et grande ville. Plusieurs acteurs et chanteurs internationaux y ont vu le jour aussi, tels que Lady Gaga, Vin Diesel, Sylvester Stallone, Alicia Keys, etc. New York abrite également le Musée d’Histoire Naturelle, qui a été le lieu de tournage du film « Une nuit au musée ». Le cinéma fait donc véritablement partie de la culture new-yorkaise
Géographie : la capitale mondiale de la démesure
Ouverte sur l’océan Atlantique, New York City est la ville la plus peuplée des Etats-Unis. Elle compte environ 8 600 000 habitants. Cette ville gigantesque s’est construite sur la côte est des États-Unis, à l’embouchure du fleuve Hudson sur l’océan Atlantique. Cette situation privilégiée est renforcée par la présence de l’affluent du Mohawk qui relie New York aux Grands Lacs et aux Grandes Plaines, plus à l’ouest.
Le territoire new-yorkais est divisé en 5 quartiers principaux, ou boroughs :
Manhattan sur la presqu’île (où sont réunies la plupart des attractions touristiques)
Richmond sur Staten Island
Brooklyn
Le Queens
Le Bronx, sur le continent
La superficie totale de la ville de New York est de 1 214 km² (En comparaison, Paris fait « seulement » 105,4 km²), dont 785 km² de terres émergées et 429 km² d’eau. L’altitude maximale est de 124,9 m au-dessus du niveau de la mer, sur Todt Hill à Staten Island.
La ville de New York est soumise à de forts contrastes climatiques. Ouragans, vagues de chaleur, tempêtes de neige (donnant des photos très impressionnantes) ou violents orages rythment les saisons. Un chiffre rend compte de ce climat capricieux : au cours d’une année normale, la courbe de température varie de -25,5°C en hiver à 41°C en été, soit une amplitude de 65,5°C.
Histoire de New-York : une ascension fulgurante
L’histoire de New York commence au 16e siècle, avec l’arrivée des premiers Européens. Les navigateurs Giovanni da Verrazano, pour le compte de la France en 1524, puis le Britannique Henry Hudson en 1609 (qui donna son nom à l’Hudson River) explorèrent la baie de New York dont l’île de Manhattan était alors peuplée par des Amérindiens.
De la colonie à l’indépendance
Par la suite, en 1614, ce sont les Hollandais qui fondèrent la première colonie. Ils la baptisèrent “Nouvelle-Amsterdam” et se situait sur la partie sud de l’île de Manhattan. Un demi-siècle plus tard, les relations au sein de ce comptoir commercial se détériorèrent entre les colons et les autochtones. Les Anglais, flairant l’opportunité, conquirent le territoire en 1664 sous le commandement du Duc d’York. Celui-ci n’était autre que le frère du roi Charles II d’Angleterre.
Après un siècle de domination anglaise, des tensions apparurent entre le pouvoir britannique et les habitants de la ville, rebaptisée New York. En 1766, suite à des lois commerciales votées par le parlement britannique, des affrontements éclatèrent entre les civils et l’armée. Face à la volonté de la ville d’acquérir unilatéralement son autonomie, les Britanniques répliquèrent en occupant New York durant toute la guerre d’indépendance de 1776 à 1783. Ce n’est qu’à la signature du traité de Paris que l’indépendance de la ville fut proclamée, au même titre que celle des États-Unis d’Amérique dont elle devint une éphémère capitale.
Les débuts de l’essor
À partir de 1790, New York connait trente ans de croissance très soutenue et devient la plus grande ville du pays. Le début du 19e siècle voit l’arrivée massive d’immigrés, qui enrichit la culture new-yorkaise (environ 170 langues y sont parlées). La double extension du réseau routier et du port permet à la ville de s’imposer comme la principale place commerciale des États-Unis.
La Guerre de Sécession qui eut lieu entre 1861 et 1865 vint ralentir la croissance de la ville, qui reprit rapidement après la fin du conflit. Parallèlement à son essor économique, la ville devient à la fin du 19e siècle et la création du Metropolitan Museum of Art, une ville incontournable dans le domaine des arts.
La ville du monde
En 1886, l’inauguration de la Statue de la Liberté fait de New York un symbole pour les millions de prétendants européens à l’immigration. Ainsi, sur 23 millions d’Européens arrivés aux États-Unis entre 1880 et 1919, 17 millions ont débarqué à New York et la plupart y sont restés.
Le 20e siècle permet à New York de passer du statut de capitale socio-économique des Etats-Unis à celui de ville du monde. Ses rôles culturels et financiers se sont vus enrichis par celui de modèle urbain. Tout cela grâce à l’architecture de ses gratte-ciels et celui de centre décisionnel mondial avec l’établissement du siège de l’ONU en 1949.
Toutefois, cette histoire moderne rayonnante est bouleversée par les attentats du 11 septembre 2001. Les tours du World Trade Center s’effondrèrent en direct à la télévision et traumatisèrent tout un pays.
Le rêve américain …
New-York est donc une mégapole avec une histoire et une culture hors du commun. Elle incarne le rêve américain pour de nombreux voyageurs. D’ailleurs, il se peut, qu’après avoir arpenté ses boulevards, vous ne rêviez plus que d’une chose : y retourner
Elle sourit en pensant qu’elle ne se trouvait pas avec le Diable, mais avec des fantômes. Il était surtout l’immeuble devant lequel John Lennon avait été assassiné.
De l’autre côté de la rue, en entrant dans Central Park, Yoko Ono avait fait construire un mémorial dédié à son mari, le Strawberry field. Il avait la forme d’un triangle dont le cœur était constitué par des symboles représentant la paix, avec au centre le mot : IMAGINE, titre de l’une de ses chansons les plus célèbres. Et depuis, de nombreux admirateurs s’y recueillaient, chantaient ou déposaient des fleurs, des bougies.
Lisa regarda l’immeuble, elle l’avait contemplé un nombre incalculable de fois, mais jamais elle n’avait pu pénétrer à l’intérieur, c’était réservé aux propriétaires et à leurs invités.
— Tu peux savoir où se trouve l’appartement de John Lennon ? demanda-t-elle.
— Cela ne doit pas poser de problème, c’est celui de sa femme. Viens avec moi, nous y entrerons sans problème.
— Tu as raison, je me croyais encore dans mon monde, mais aucun gardien pour m’empêcher d’entrer.
C’est avec une petite appréhension qu’elle franchit le seuil, mais personne ne se précipita pour les refouler. Peter regarda la liste des habitants et la conduisit jusqu’à l’appartement de Yoko Ono.
— Comment je vais entrer ? dit-elle en restant devant la porte les bras ballants.
Peter sourit.
— Tu n’es plus dans ton monde. Même si dans celui-ci la porte est fermée et Yoko Ono se trouve à l’intérieur, tout est ouvert. I tu vois une personne, ce sera un fantôme. Tu es la seule vivante dans notre ville pour encore quelques heures.
Lisa abaissa la poignée et la porte s’ouvrit sans la moindre difficulté. Elle pénétra à l’intérieur, suivie par Peter.
Elle arriva dans une pièce immense avec en son centre une cheminée en pierre. Briques apparentes, hauts plafonds et poutres en bois se combinaient avec de vastes murs blancs et des planchers de bois. Mais l’appartement était vide, pas un meuble, rien qui montrait une présence humaine.
— Tu es sûr que c’est le bon ? On dirait que plus personne ne l’habite.
— Oui, c’est bien l’appartement de John Lennon, peut-être que Yoko Ono a déménagé.
Ils s’avancèrent dans l’immense pièce vide et s’arrêtèrent. Face à eux, assis dans un fauteuil, un homme les fixait d’un regard hypnotique. Lisa mit une fraction de seconde avant de le reconnaître : Houdini.
Il n’avait pas changé, il était le même que sur les affiches et les photos dans son musée.
— Bonsoir Monsieur Houdini, dit-elle en s’approchant de lui. Pourriez-vous nous dire où vous gardez prisonnier Monsieur Lennon ?
— Qui êtes-vous ? Vous n’êtes pas un fantôme, comment se fait-il qu’une vivante soit ici et me parle ?
— Je suis Lisa Kilpatrick, police de New York.
Houdini se leva et fit une révérence ironique devant Lisa.
— Et depuis quand les vivants peuvent-ils venir nous importuner ?
— C’est moi qui ai été la chercher, grâce au Manhattanhenge comme nous le pouvons, dit Peter en s’avançant à son tour. Je voulais qu’elle retrouve John Lennon.
— Je ne sais pas comment vous vous y êtes pris, mais vous avez réussi. Pas la peine de vous mentir, il est ici, enfermé dans la salle de bain, à l’autre bout de la pièce. Vous allez m’arrêter et m’enfermer dans une prison ?
Houdini partit d’un grand éclat de rire.
— Déjà quand j’étais humain, poursuivit-il, aucune prison, aucun cercueil, aucune camisole n’ont pu me garder bien longtemps, alors maintenant que je suis un fantôme, vous ne pouvez rien contre moi.
Lisa passa devant lui sans répondre. Elle ouvrit la porte.