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Où trouver une bonne bûche de Noël à NYC ?

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Où trouver une bonne bûche de Noël à NYC ? – French Morning US

par

Anne-Laure Mondoulet

13 décembre 2021

Pour ceux qui n’ont pas l’opportunité d’aller en Europe pour voir leurs familles cette année, il ne faut pas en oublier le traditionnel repas de Noël, et son dessert phare, la bûche. Voici une liste – non exhaustive – des adresses appréciées par notre rédaction.

Manhattan

Dans ses trois adresses de Manhattan, l’Epicerie Boulud a misé sur trois bûches de Noël pour ravir vos papilles : chocolat-caramel-passionmarron-mandarine-vanille ou encore café-cacao-noisette. Elles sont à 55 dollars pièce et et peuvent être retirées dans l’une des trois boutiques entre le 15 et le 23 décembre, pendant leurs heures d’ouverture. Lincoln Center : 1900 Broadway at 64th St – (212) 595-9606. One Vanderbilt :  One Vanderbilt Avenue at 42 St – (347) 826-1363. Westfield World Trade Center : 185 Greenwich St – (212) 595-9605

Fidèle à la tradition, Ladurée vous propose deux bûches aux noms évocateurs : la Favorite, qui est constituée d’une base de macaron à la pistache, une crème au beurre infusée de pistaches iraniennes rôties, et parsemé de praline. La Marquise se compose d’une daquoise noisette avec des morceaux de noisette croquante, une gaufrette noisette, une crème chocolat au lait et noisette et une mousse chocolat au lait onctueuse. Le prix est de 68 dollars pour 6 personnes, et la bûche peut être commandée entre le 3 et le 22 décembre, pour être retirée entre le 18 et le 25 décembre dans les boutiques Ladurée Madison : 864 Madison Ave. – (646) 558-3157 ou Ladurée Soho : 398 West Broadway – (646) 392-7868.

La maison Merveilleux de Fred propose ce qu’il sait faire de mieux :  la bûche Merveilleux. Cette bûche suit la recette de l’emblématique Merveilleux : base de meringue, nappée de crème fouettée parfumée au chocolat ou au spéculoos et enrobée de copeaux de chocolat. Elle existe en format 4, 6, 8, et 10 personnes, aux prix de 30, 45, 60 et 75 dollars. Deux parfums au choix : le Merveilleux au chocolat noir et l’Incroyable au spéculoos et chocolat blanc. Pour commander : Merveilleux de Fred West Village : 37 8th  Ave.  (917) 475-1992. Merveilleux de Fred Midtown : 1001 6th Ave.  (646) 590-0263.

ls autres adresses sont dans l’article

Ami, Bottega Veneta, Officine Générale… ils ouvrent tous à New York

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https://fr.fashionnetwork.com/news/Ami-bottega-veneta-officine-generale-ils-ouvrent-tous-a-new-york,1360999.html

Après Dior, Versace, Loewe ou encore Acne Studios, toutes présentes dans le quartier new-yorkais de Soho, sur Greene Street, l’artère du luxe et de la mode où les loyers dépassent généralement les 25.000 dollars par mois, ont été inaugurées récemment les boutiques d’Ami, Bottega Veneta et Amiri. A quelques blocks de là, c’est Officine Générale qui fait ses débuts dans la Grosse Pomme, voisin de la marque de la créatrice Mara Hoffman qui vient, elle aussi, d’ouvrir sa première adresse, vingt et un ans après son lancement. 

Officine Générale, toute première fois

C’est dans le quartier de Soho, au 220, Lafayette Street qu’a été inaugurée samedi 11 décembre la première boutique Officine Générale. Une première adresse aux États-Unis qui vient s’ajouter aux quatre boutiques parisiennes et au magasin londonien.

Le fondateur, Pierre Mahéo, qui a récemment reçu le soutien financier du fonds The Untitled Group, réalise ici son rêve, et viendra occuper l’ancien immeuble de la marque italienne Cosabella, avec un espace boutique, un showroom et des bureaux. Le créateur français y présente, dans un décor olive et habillé de mobilier vintage français et japonais, de flanelle et de chêne, les collections homme et femme ainsi qu’une nouvelle ligne intitulée « Daily Classics ».

Un autre projet de boutique a été également annoncé il y a quelques mois à Los Angeles, pour le printemps prochain.

AMI, 185 mètres carrés à Soho

En plein cœur de Soho, « quartier du rêve américain » selon Alexandre Mattiussi, voisin de Loewe et faisant face à Saint Laurent, s’est ouvert le premier flagship de la marque Ami aux États-Unis (le marché américain représente environ 20% des ventes de la griffe). Un immeuble de deux étages typique du quartier, qu’occupa un temps la marque de prêt-à-porter féminin Nicole Miller et situé au 77, Greene Street.

Mis en scène par Alexandre Mattiussi lui-même, le magasin de 185 mètres carrés s’offre « un design épuré et relaxant ». Le premier niveau couvert d’un parquet aux losanges noirs rappelle l’intérieur des hôtels particuliers parisiens et se pare de pans de murs miroirs et de canapés ronds.

A l’occasion de l’ouverture du magasin, Ami dévoile également sa seconde collection capsule Ami de cœur, réalisée avec Kevin Lyons et composée de hoodies et tee-shirts illustrés des monstres chers à l’artiste new-yorkais. 

Avec six boutiques en France (dont une prochaine ouverture prévue à Paris en 2022), une à Londres, quatre au Japon, dix en Chine et maintenant une à New York, AMI atteint le cap des vingt magasins et revendique environ 600 points de vente dans le monde. D’autres ouvertures sont prévues en Corée du Sud, à Hambourg en Allemagne, et une seconde à Londres.

Bottega Veneta, une seconde adresse à New York
 
À quelques encablures d’Ami, a ouvert le 9 décembre la nouvelle boutique Bottega Veneta. Situé au 101, Greene Street, le magasin de 300 mètres carrés, autrefois occupé par la marque d’enceintes Sonos, présente les collections de prêt-à-porter, d’accessoires, de sacs, de chaussures et de bijoux de la maison italienne.
 
Seconde boutique après celle de Madison Avenue, l’espace aux murs de briques et sols en résine et pierre propose un mobilier sur mesure couvert de cuir. D’autres agencements en bois ont été imaginés par le studio Vonnegut/Kraft et de larges tapis turcs couvrent les salons d’essayage. Les collections actuellement proposées sont celles signées de l’ancien directeur artistique, Daniel Lee, parti brusquement et remplacé il y a quelques semaines par le français Matthieu Blazy. 

Amiri, première à Manhattan

Nommé designer masculin de l’année par le Council of fashion designers of America, le créateur originaire de Los Angeles, Mike Amiri, qui a défilé à Paris en 2019 à l’occasion de la Fashion Week printemps-été 2020, et connu pour sa ligne de denims luxueux, a ouvert après Rodeo Drive à Los Angeles, sa première boutique à New York, au 76, Greene Street, à Soho.

Soutenu par le groupe de Renzo Rosso, OTB, le créateur a inauguré sa boutique fin septembre, un espace conçu par la décoratrice d’intérieur Katherine Waronker, où sculptures et pièces d’art font se sentir comme dans une galerie d’art, à l’image du travail proposé par l’artiste californien Wes Lang.

Des capsules en édition limitée sont proposées en exclusivité au sein du magasin new-yorkais. En pleine ascension, Amiri poursuit sa série d’ouvertures avec, en octobre dernier, l’inauguration d’une troisième adresse américaine, à Las Vegas, au sein de l’hôtel Wynn. 

L’univers de Mara Hoffman sur Lafayette Street

Vingt et un ans après avoir lancé sa première collection, la créatrice américaine Mara Hoffman investit, elle aussi, Soho, où elle vient d’inaugurer son premier magasin. Spécialiste du prêt-à-porter féminin éthique, responsable et recyclé, réputée pour sa ligne de maillots de bain et sa ligne pour enfants, la créatrice formée à la Parsons School of Design de New York franchit donc le pas du retail.

Pour sa boutique en briques blanches et parquet du 183, Lafayette Street, située à quelques pas de son showroom, Mara Hoffman a fait appel à la décoratrice d’intérieur Kari Elwell du studio Mingo Designs pour créer un espace chaleureux et confortable, donnant une large place à la végétation et aux plantes. En collaboration avec Studio Archive Project, elle met également en avant des expositions d’artistes, à l’image de la céramiste new-yorkaise Elisa Soliven. 

MLS: NEW YORK REMPORTE LE CHAMPIONNAT POUR LA PREMIÈRE FOIS DE SON HISTOIRE

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MLS: New York remporte le championnat pour la première fois de son histoire (bfmtv.com)

Opposé aux Portland Timbers ce samedi soir, le New York City FC a acquis pour la première fois de son histoire le titre dans le championnat de la Ligue nord-américaine de football (MLS), en s’imposant au terme d’une séance de tirs au but (1-1, 4-2).

Le New York City FC a remporté samedi le championnat de la Ligue nord-américaine de football (MLS) pour la première fois de son histoire, en battant les Portland Timbers aux tirs au but (1-1, 4-2) au terme d’une finale à rebondissements.

Les new-yorkais, qui avaient ouvert le score à la 41e minute sur une tête de Valentin Castellanos, servi par l’Argentin Maxi Moralez, paraissaient sûrs de leur victoire après avoir largement dominé un match assez décousu dans l’ensemble. Mais Felipe Mora parvenait à retourner la situation de façon miraculeuse en marquant pour les Timbers à quelques secondes du coup de sifflet final.

Malgré les protestations furieuses des new-yorkais, qui réclamaient le hors-jeu, le but était confirmé par l’arbitre et forçait une prolongation. Celle-ci s’achevait sur le même score de 1-1 malgré un beau tir du Paraguayen de Portland Christian Paredes, stoppé in extremis par un plongeon du gardien new-yorkais Sean Johnson.

L’équipe de la Grosse pomme s’imposait finalement 4-2 dans les tirs aux buts, Johnson parvenant à bloquer deux penalties et offrant au défenseur péruvien Alex Callens l’honneur d’inscrire le but de la victoire.

Jesus Medina touché par un jet de canette de bière

« C’était un match de dingue », a commenté le manager de New York Ronny Deila, qui a tenu sa promesse, faite avant la rencontre, de se déshabiller en public en cas de victoire, ne gardant que ses sous-vêtements. « On contrôlait complètement le jeu et je pensais qu’on allait gagner en 90 minutes. Et puis ils ont marqué. On était brisés ».https://platform.twitter.com/embed/Tweet.html?creatorScreenName=RMCsport&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&features=eyJ0ZndfZXhwZXJpbWVudHNfY29va2llX2V4cGlyYXRpb24iOnsiYnVja2V0IjoxMjA5NjAwLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X2hvcml6b25fdHdlZXRfZW1iZWRfOTU1NSI6eyJidWNrZXQiOiJodGUiLCJ2ZXJzaW9uIjpudWxsfSwidGZ3X3NwYWNlX2NhcmQiOnsiYnVja2V0Ijoib2ZmIiwidmVyc2lvbiI6bnVsbH19&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1469782013834108930&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Frmcsport.bfmtv.com%2Ffootball%2Fmajor-league-soccer%2Fmls-new-york-remporte-le-championnat-pour-la-premiere-fois-de-son-histoire_AN-202112120026.html&sessionId=2e79a6a14c2faa32b553452f9da9c87ed2428491&siteScreenName=RMCsport&theme=light&widgetsVersion=9fd78d5%3A1638479056965&width=550px

« Mais nous avons touché le fond tant de fois cette année. Ce groupe de joueurs sont des gagnants. C’était juste un match en montagnes russes », a ajouté le Norvégien, ancien du Celtic Glasgow.

Le match a été marqué par un incident. Le Paraguayen de New York Jesus Medina a été touché à la tête par une canette de bière lancée depuis les tribunes, juste après le but de son équipe en première mi-temps.

C’était la première fois que le New York City FC disputait la finale de la MLS. Portland avait pour sa part été sacré en 2015.GL avec AFP

New York : 7 lieux où manger et boire un verre à ne pas rater lors de votre séjour

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New York : 7 lieux où manger et boire un verre à ne pas rater lors de votre séjour (businessinsider.fr)

Vous devrez obligatoirement manger un bagel à New York. © Paul Brighton/Shutterstock

New York a énormément de choses à offrir : la vie nocturne, Broadway, le shopping, les visites touristiques et une nourriture incroyable. À New York, vous pouvez faire le tour du monde en visitant simplement les cinq arrondissements. Des restaurants raffinés de chefs célèbres à Manhattan aux boulettes de pâte fraîchement cuites à la vapeur à Flushing, dans le Queens, il est facile de déguster un éventail de délices de tous les coins du monde, dans chaque quartier de la ville.

Si manger à New York est sur votre liste de choses à faire, voici les bars et restaurants à ne pas rater lors votre prochaine visite. Votre estomac vous en remerciera.

À lire aussi – Monaco, New York… Où se trouvent les mètres carrés les plus chers au monde?https://e416ec60eb851b251375d9e81fa4bacd.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

Katz’s Delicatessen

Le fameux pastrami de Katz’s Delicatessen. Carl Salisbury/Shutterstock

Si vous avez toujours rêvé de « prendre ce qu’elle prend » comme dans « Quand Harry rencontre Sally », ou si vous voulez goûter au New York d’antan, Katz’s Delicatessen sur Houston Street est l’endroit idéal. Fondé en 1888, cet établissement juif emblématique propose des classiques tels qu’un bol fumant de riche bouillon de poulet accompagné de matzo balls (boulettes de pain azyme), et un énorme sandwich au pastrami servi sur du pain de seigle moelleux. Accompagnez le tout d’un soda à la crème Dr. Brown’s.

John’s of Bleeker Street

Tous les New-Yorkais ont leur endroit préféré pour déguster une part de pizza. Je vous recommande John’s of Bleecker Street dans Greenwich Village, qui est fier de ne servir que des pizzas entières, fraîchement sorties du four en briques chauffé au charbon. Entreprise familiale depuis 1929, ce lieu célèbre propose des pizzas à pâte fine, des cabines en bois originales et une atmosphère conviviale qui vaut la peine de faire la queue. John’s of Bleecker Street ne prend pas de réservations.

Barney Greengrass and Zabar’s

Barney Greengrass et Zabar’s sont des institutions de l’Upper West Side pour les poissons fumés, les viandes et fromages. Rachel Mendelson/Insider
https://e416ec60eb851b251375d9e81fa4bacd.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

L’Upper West Side est l’un des quartiers résidentiels les plus authentiques de Manhattan. Abritant le Lincoln Center et le Musée américain d’histoire naturelle, le quartier présente un mélange de gratte-ciel modernes, de brownstones (maisons de grès rouges) et de bâtiments d’avant-guerre. Les gourmets y affluent pour commander du poisson fumé (pensez au saumon fumé et au saumon kippered) pour le brunch du dimanche au célèbre Barney Greengrass ainsi qu’au supermarché gastronomique emblématique Zabar’s.

Amelie

Un bon happy hour est un must, et Amélie est le préféré des oenophiles avertis. Il y a deux endroits, dans le West Village et dans l’Upper West Side, et tous deux dégagent une ambiance chaleureuse pour siroter du vin. Si possible, essayez leur trio de vins orange tendance, qui se marient parfaitement avec des assiettes de fromage et de charcuterie personnalisables.

Panorama Room

Panorama Room justifie un trajet en tramway jusqu’à Roosevelt Island.  Rachel Mendelson/Insider

Pour des cocktails de luxe, prenez le tramway jusqu’au nouvel hôtel Graduate de Roosevelt Island et montez au bar sur le toit du 18e étage, le Panorama Room. La vue imprenable sur la ville ajoute du piquant à la carte des boissons, qui propose des variantes créatives du martini classique.

Queens Night Market

Dégustez une variété de délices du monde à des prix dérisoires au Queens Night Market, un marché saisonnier en plein air qui se tient le samedi soir à Flushing Meadows Corona Park. Le prix maximum de 6 dollars encourage les clients à se régaler avec notamment des dumplings tibétains, du poulet au popcorn taïwanais et des samosas bengalis. Les saveurs sont mises en valeur par de la musique live.

Version originale : Allison Tibaldi/Insider

Un jour à New York en 1882 : New York 1882

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Un jour à New York en 1882 : New York 1882 – New York 1882, sur Arte le … (linternaute.com)

Un jour à New York en 1882 : New York 1882

Un jour à New York en 1882 : New York 1882

New York, 1882. Georg Schmidt, un jeune Allemand fraîchement arrivé aux Etats-Unis, laisse derrière lui un Reich mené par la main de fer du chancelier Bismarck. Il a traversé l’Atlantique avec des rêves d’ascension sociale, comme nombre de ses concitoyens. Il a pu y devenir avocat en trois ans, et se retrouve aujourd’hui au coeur d’un important procès où se jouent des histoires de gangs. Sa fiancée, qui l’a rejoint après des mois de séparation, vient d’arriver dans cette métropole qui compte presque autant d’Allemands que Berlin ou Vienne. Arrêtée au port après la découverte dans ses bagages de biens volés, elle se retrouve en prison. Le jeune avocat se tourne alors vers les bandits de New York, les seuls en mesure de l’aider à prouver l’innocence de sa bien-aimée.Samedi 11 décembre à 21h45

1 jour 1 chanson Bahamadia : 3 the hard day

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Bahamadia ft. K-Swift & Mecca Starr (Prod. By DJ Premier) – 3 The Hard Way – YouTube

paroles

First
Salutes 2 action be tha latest enter-ree 4 illadel colonies da get da
Cream like cherry jubalee – my steeze put cha at ease like
Methamphetamines or like Tony Shakks « fan-na-cees » about his wallabess
Slice fit-een yo meen Big East be comin’ through ghetto magic plusa da
Bullies back it what me now Buddah Blessed 4 I and I provide da
Greatest Natur-role pure as life that exit from Nah gent-ta-tillc
Styles interna-sha-nile likde direct connects to internet verbal text
Blossum like chia pets per-fect wit da mic devices Bahama-dee be tha’
Nices bringin’ nix rap thing 2 the light like osyrus – 4 tha’ 9 pound
Ex-ced-da-ra-saaloom 2 GangStarr and my nigga K-Sarrah
Second
Ha yo, I’m doing this for the cruuz claimin’ that there better I’m
Tickled, ya must be like Sanford on the ripple little by little, I
Kicks from the middle of my brain, the Riddler couldn’t fuck wit
Kannon Riddles I remain the undisputed you should of known if you knew
It, Montell couldn’t tell you how we do it and few get the chance to
Even so the Kannon Dance wit da Kannon Band shit be slammin more than
Larry Nance and plus it’s in me to give you more like Demi, I do easy
Leave aardway to penny, as I display skillz for what it’s worth sent
To this earth to stop the curse of wake lic’s upon my turf, this is
The end like Armagedin your settin a bad example niggaz still using my
Samples times ample ha yo swyft never said she was the baddest but I
Kept it real, you niggaz frontin talkin bout you packin steel your
Sportin a first all up in rectum by the central kid’s sitting all up
In the bullie section
Third
Do you remember those you chase to forget back when ya ears was wet
And now ya preachin’ ya releasin’ mini-tec I need a mic check because
Da static come sparatic emcee’s be hooked like addicts while
Casualties stay tragic there ain’t no glamour in that story all guts
No glory entrenced in jealousy just like the suckers who abhor me they
Tell but they don’t know the core, so raw is now my reference like
Mumia there is no evidence to say that I’m more tha I am undbending
Neve revending similar to million men me say « Just-us » you say me bust
Bust mental stagnation like the cancer patients eatin’ cow fuss as the
Minds rust from dawn to dusk I rest in Mecca the words sound power as
In energy see Heka to die because ya black simply be no cause at all
Surreality just like the lengends of the fall initial looks of the
Shook hearted kids who shouldn’t started lyrics leave like spirits and
And the waters Moses parted Do or Die’s ya slogan but niggaz slip with
Trojans major mental corrosion like Murray’s meat unfrozen I am the
Chosen Earth Sun Moon and Stars hard for me to find a top contender
Just to spar some peep the exterior and believe inferior next ya know
They callin for a sound bwoy burial D&D Studio B wicked catch wreck
For infinity one love peace to Bahamadia
Last
Like Salt & Pepa, I take it to the next platoe niggaz scream nay what
Dis Brown Sugar like D’Angelo I make it better fo’ fantanics fienin
For da Buttaz Boo like 25 to lifers do from lack of gettin’ douce
U-oou, I put my little thing in action smoother, than sat-tin or
Special Ed when he was taxin’ headz relax and play tha’ back when I
Spill I regulate a flow like chicks on birth control pills-ill anitics
Keep it movin’ on bouncin’ like nylon from illadel 2 Lebanon – (no
Doubt

Auteurs-compositeurs : Martin Chris E, Reed Antonia
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

1 jour 1 chanson Sara Bareilles : Manhattan

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Sara Bareilles – Manhattan (Official Lyric Video) – YouTube

Paroles

You can have Manhattan
I know it’s for the best
I’ll gather up the avenues
And leave them on your doorstep
And I’ll tip toe away
So you won’t have to say
You heard me leave

You can have Manhattan
I know it’s what you want
The bustle and the buildings
The weather in the fall
And I’ll bow out of place
To save you some space
For somebody new

You can have Manhattan
‘Cause I can’t have you

Ah, ah, ah

You can have Manhattan
The one we used to share
The one where we were laughing
And drunk on just being there
Hang on to the reverie
Could you do that for me?
‘Cause I’m just too sad to

You can have Manhattan
‘Cause I can’t have you

And so it goes
One foot after the other
‘Til black and white begin to color in
And I know
That holding us in place
Is simply fear of what’s already changed

Ah, ah, ah

You can have Manhattan
I’ll settle for the beach
And sunsets facing westward
With sand beneath my feet
I’ll wish this away
Just missing the days
When I was one half of two

You can have Manhattan
‘Cause I can’t have you

Auteurs-compositeurs : Bareilles Sara Beth
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch