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Another Rainy Day in New York City (2002 Remaster) – YouTube
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Des stars de la télé américaine rachètent un ferry emblématique de New York (france24.com)
New York (AFP) – « Sauver une partie » du patrimoine new-yorkais: un énorme ferry emblématique de la liaison Manhattan-Staten Island va être transformé en lieu culturel après avoir été racheté par un patron de café théâtre et des stars de la télévision américaine, a-t-on appris vendredi.PUBLICITÉ
Le fameux ferry orange « John F. Kennedy », qui reliait depuis 1965 les deux quartiers de New York, a été vendu par la ville à Paul Italia, agent immobilier à la tête du club de comédie « The Stand » à Manhattan, associé aux humoristes de l’émission culte de NBC « Saturday Night Live », Pete Davidson et Colin Jost, a confirmé M. Italia à l’AFP.
Le New York Times avait dévoilé l’opération un peu plus tôt vendredi.
Pete Davidson est selon la presse le compagnon de la vedette de téléréalité et femme d’affaires Kim Kardashian, et Colin Jost est marié à la superstar de cinéma Scarlett Johansson. Les deux hommes sont originaires de Staten Island, l’un des cinq quartiers de New York, au sud de l’île de Manhattan, et Pete Davidson y habite encore.
D’après les services administratifs de la municipalité qui l’ont vendu, « l’emblématique John F. Kennedy » — 85 mètres de long, 2.100 tonnes et retiré de la flotte en août pour moteurs hors service — est parti aux enchères à 280.100 dollars pour une mise à prix de 125.000 dollars.
Paul Italia veut « en faire un espace de spectacle vivant avec du stand-up, de la musique, de l’art et la possibilité de se restaurer », mais il ne dit pas comment remorquer l’énorme navire orange et l’accoster définitivement à quai.
Pourquoi avoir acheté un tel ferry, dont la liaison gratuite est connue de tous les New-Yorkais et qui était promis à la casse?
Parce que « chacun d’entre nous a vraiment envie (…) de sauver une partie (du patrimoine) de New York », a justifié dans le New York Times Paul Italia.
Et d’après l’homme d’affaires, le navire « John F. Kennedy tient une place une place particulière dans le coeur » de ses deux associés Davidson et Jost, « des natifs de Staten Island ».
© 2022 AFP
En relisant le texte, je me suis mis dans l’idée de continuer cette enquête avec Lisa et surtout avec John Lennon comme enquêteur. Et puis j’ai mis de côté cette idée, jussqu’à ce mois de décembre. Alors à l’aube de cette année 2022, je ne sais pas si je vais écrire ce roman. Si vous avez lu Manhattan Ghost si vous avez aimé, alors un like tout simple, si vous n’avez pas aimé, pas de like et si j’ai un certain nombre de like (allez je suis fou, je vais dire 100) je terminerais cette histoire.
Merci
Philippe Laguerre-Ward
10
Coney Island
31 Mai 2012
09 h 28 am
Brooklyn by the sea
Dimanche après-midi
C’est une vieille promenade
Sur de longues planches malades
C’est la mer Noire en petit
Tout le long de Brighton Beach
A Brooklyn by the sea
Mort Shuman : Brooklyn by the sea
Lisa regarda sa tasse vide. Elle hésita, elle avait du boire près de deux litres de café depuis son arrivée au commissariat à huit du matin. Elle avait passé une nuit blanche, sans pouvoir dormir. D’abord, elle avait recopié la tablature et les paroles de la chanson de John Lennon dans un fichier de son ordinateur et, pour plus de précaution sur un cahier, car au moins le stylo était une sécurité. Elle l’aurait bien joué et chanté pour l’enregistrer mais elle avait eu peur de réveiller les voisins. Elle s’était contentée de la fredonner en se filmant avec son smartphone.
Le sommeil la fuyant toujours, elle avait tourné en boucle son histoire, ne sachant pas si son cerveau lui avait joué un tour ou bien s’il existait un New York peuplait par les fantômes. Tout son esprit rejetait cette supposition, mais la chanson de Lennon revenait la faire changer d’avis.
Elle ne voyait personne à qui elle pouvait raconter son histoire. Sa mère l’aurait pris dans ses bras et lui aurait dit qu’elle travaillait trop, ses collègues l’auraient envoyée chez le psy de service.
Elle avait commencé à composer le numéro de téléphone de son ex, mais elle s’était arrêtée au dernier chiffre. Elle n’allait pas le réveiller en pleine nuit, il allait la prendre lui-aussi pour une folle. De toute façon, elle s’était rendue compte qu’elle ne voulait plus de son aide. Et puis les premiers rayons de soleil étaient apparus, elle avait pris une longue douche et s’était préparée pour aller travailler. Mais avant elle s’était assis au piano et, en effleurant simplement les touches, elle avait joué plusieurs fois la chanson sur New York.
Arrivée au commissariat, elle avait chassé dans un coin de sa mémoire son aventure de la veille pour se consacrer à son enquête. Elle ne voulait pas que son cerveau soit pollué par ces fantômes. Elle avait pris la décision de garder cette histoire pour elle, de n’en parler à personne.
Elle s’assit sur sa chaise, et ouvrit le dossier que lui avait confié son patron la veille : un vol dans une boutique de spiritueux, le patron s’était défendu et avait blessé le cambrioleur. Elle devait attendre qu’un hôpital ou médecin appelle la police pour le retrouver et l’enquête serait vite bouclée.
Elle lui tendit sa tasse, il la prit et se leva en disant :
— Tu as mauvaise mine, ta soirée ne s’est pas bien passée. Le concert n’était pas à la hauteur
Lisa hésita et puis décida de s’en tenir à sa décision.
— Non au contraire, tout a été parfait, mais je ne sais pas, l’excitation peut-être, je n’ai pas dormi de la nuit.
Elle secoua la tête et changea de sujet, le travail avant tout.
— Tu as lu le dossier sur le cambriolage que le boss nous a confié ?
— Oui, de la rigolade, à midi ce sera bouclé. Je vais chercher du carburant pour te tenir éveillée.
Elle regarda Mark Rainey quitter la pièce. Ils travaillaient ensemble depuis seulement deux mois, mais elle avait appris à l’apprécier. Il avait trente ans, marié, deux filles de trois et 5 ans, habité un appartement de Brooklyn. Plus petit qu’elle, toujours de bonne humeur, mais aussi un vrai flic accrocheur, et surtout spécialiste de la mafia russe. Ses parents avaient émigré d’URSS dans les années 70.
Il revint avec une tasse qu’il posa devant Lisa.
— Bois-le vite, changement de programme. Nous sommes attendus pour un crime. Ordre du patron.
Lisa fit la grimace en buvant le café brûlant.
— Pourquoi nous ? demanda-t-elle en reposant la tasse à moitié pleine. Pour une fois que nous avions une enquête facile.
— Un meurtre d’une jeune femme sur la plage de Coney Island. Tu es une femme et la morte serait d‘origine slave. Alors le boss nous colle cette affaire. Pas besoin de te faire un dessin.
Lisa poussa un long soupir de désappointement. elle se leva, prit sa veste, vérifia qu’elle avait bien son arme de service et soupira :
— Allons-y puisque nous ne pouvons pas aller contre la volonté de notre chef.
— Vu ton état, c’est moi qui conduit.
En quittant le commissariat, Lisa demanda :
— Tu en sais plus sur cette histoire.
— Non, mais Peter Stride doit nous briefer sur place.
— Connaît pas, répondit Lisa en montant dans la voiture.
Mark démarra, il mit le gyrophare et e fraya un chemin dans la circulation new-yorkaise. Ils arrivèrent à Coney Island une ancienne île devenue une péninsule après la Guerre de Sécession. Elle était célèbre pour ses plages donnant sur l’Océan Atlantique.
Ils se garèrent dans un parking relativement désert alors que durant l’été c’était la galère pour trouver une place. Plusieurs voitures de police et une ambulance se trouvaient déjà là.
L’un des policiers s’était éloigné du corps pour inspecter les lieux à la recherche d’autres indices. Lisa et Mark rejoignirent un petit groupe qui se tenait sur la plage autour du cadavre recouvert d’un drap. Un de leur collègue prenait des photos pendant que les autres discutaient l’air sombre. L’adjoint du légiste passa à côté d’eux en les saluant.
— Je vous donne rendez-vous à l’autopsie, dit-il en souriant.
S’il y avait bien un point que Lisa détestait dans son métier c’était les autopsies. Mais elle se forçait à y assister. Et pour l’instant son estomac avait toujours soutenu le spectacle qui s’était offert à elle.
Un homme s’avança vers eux, la quarantaine bien tassée, bedonnant, la calvitie naissante, le costume fripé.
— Peter Stride, se présenta-t-il en leur tendant la main. Content que vous preniez le relais.
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La statue de Teddy Roosevelt retirée de l’extérieur du musée de New York – News 24 (news-24.fr)
posté par Merlin CharpieDernière modification
La statue de l’ancien président Theodore Roosevelt, qui a également été gouverneur de l’État de New York, se dresse devant le Musée d’histoire naturelle le 22 juin 2020 à New York. La statue, qui représente également un Amérindien et un Noir debout à ses côtés, sera retirée, a annoncé la ville de New York. La statue, qui est maintenant protégée par la police, a été installée en 1940 et a périodiquement fait l’objet de controverses. (Photo de Spencer Platt/Getty Images)
Mercredi, des ouvriers ont démantelé une imposante statue du président Theodore Roosevelt devant le Musée américain d’histoire naturelle de New York.
La « statue équestre de Theodore Roosevelt », commandée en 1925 et dévoilée au public en 1940, représente Roosevelt à cheval, avec un Amérindien et un Africain à pied à ses côtés.
Il a été critiqué par certains comme un symbole du colonialisme et du racisme.
La Commission de conception publique de la ville de New York a voté en juin dernier pour le supprimer, a indiqué le musée sur son site Internet. Sa nouvelle destination sera la bibliothèque présidentielle Theodore Roosevelt à Medora, dans le Dakota du Nord, a rapporté le New York Times
Le musée sur son site Web a déclaré qu’il était fier de sa longue association avec la famille Roosevelt, ajoutant: « En même temps, la statue elle-même communique une hiérarchie raciale que le musée et les membres du public trouvent depuis longtemps dérangeante. »
Roosevelt, qui fut président de 1901 à 1909, était connu pour ses manières exubérantes et audacieuses.
Il a mis en œuvre des réformes antitrust et conservatrices, bien que les critiques aient déclaré qu’il avait adopté une approche interventionniste de la politique étrangère, notamment en projetant la puissance navale américaine dans le monde entier.
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Le ferry de Staten Island vendu aux enchères à New York – Crumpe
Un ferry à la retraite de Staten Island navigue vers des mers plus conviviales après avoir été vendu aux enchères pour 280 000 $ mercredi.
Un enchérisseur ambitieux, identifié uniquement par la poignée Pitalia211, a levé sa pagaie virtuelle pour acheter le ferry de près de 60 ans surnommé John F. Kennedy mercredi soir, selon les résultats de la vente aux enchères en ligne du département des services administratifs de la ville de New York. .
Le bateau avait transporté des navetteurs à travers le port de New York pendant plus de cinq décennies depuis sa construction en 1965.
L’état du ferry d’une capacité de 5 200 personnes a été répertorié comme «mauvais» en raison de l’état de «problèmes mécaniques… du côté de la propulsion», mais la coque du JFK était en bon état, selon la liste.
“Sur ce navire se trouvent de nombreuses pièces de rechange qui sont obsolètes et dont notre agence n’a pas besoin”, a poursuivi l’écoute.
Le nouveau propriétaire anonyme était chargé de récupérer le navire de 277 pieds et 4,2 millions de livres à partir d’un quai de la ville ou de faire en sorte qu’il soit expédié.
Les enchères ont commencé la semaine dernière à 125 000 $, selon les archives. Les profits serviront à renflouer les caisses de la ville.
Pour écouter la chanson et lire les paroles c’est ici
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Une vidéo incroyable des rues du New York des années 30 | Actualités automobile | Auto123
Par Daniel Rufiange , 2022-01-18
Il existe quantité d’images et de vidéos d’archives qui nous montrent la vie lors des premières décennies du siècle précédent. Cependant, puisque les outils multimédias du temps n’étaient pas des plus sophistiqués, on a droit à des images et des vidéos en noir et blanc et dont la qualité n’est pas optimale.
Sans compter que le temps a souvent fait son œuvre pour en réduire leur précision.
La bonne nouvelle, c’est que la technologie moderne permet de faire revivre certaines de ses images et vidéos et un exemple incroyable vient de se présenter sous nos yeux.
Et il n’est pas nécessaire d’être un habitant de New York pour apprécier les merveilles de cette vidéo restaurée. Il n’est pas non plus nécessaire d’être un passionné de voitures anciennes pour aimer ce que l’on peut admirer dans cette séquence qui dure environ cinq minutes. De vieilles Chevrolet, des Ford, des Cadillac et des Packard, il y en a pour tous les goûts.
Et que dire des gens que l’on peut voir sur la rue ? Ces derniers, lorsqu’on y pense, c’est nous, aujourd’hui. Ces gens, qui ne sont plus parmi nous aujourd’hui, vaquaient à leurs occupations quotidiennes, comme nous le faisons aussi.
Les vêtements changent, toutefois, et il faut avouer que ça respirait la classe à l’époque.