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Le musée le plus inaccessible de New York ouvrira en 2023

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Le musée le plus inaccessible de New York ouvrira en 2023 | AD Magazine

Par Shivani Vora27 janvier 2022

Située à Manhattan, à l’ouest de la cinquième avenue, la Solow Art & Architecture Gallery abrite l’une des collections d’art les plus prestigieuses du pays. Figurez-vous pourtant qu’elle n’a jamais autorisé de visiteurs. Une aberration sur le point d’être rectifiée d’après le New York Post, qui rapporte que la galerie pourrait enfin accueillir du public à partir de 2023. 

La collection Solow est en fait située dans l’un des gratte-ciels les plus luxueux et les plus chers de la ville. Construit en 1975, il appartient au groupe Soliviev, fondé par Sheldon Solow, un magnat de l’immobilier décédé en novembre dernier. C’est Hayden Soloviev, l’un de ses petits-fils, vice-président du groupe Soliviev, qui a confirmé l’ouverture au public de ce lieu impénétrable. Localisée au numéro 9 de la 57ème rue Ouest, la collection pourrait à cet effet s’agrandir et s’étendre sur la 58ème rue Ouest.

Selon Natasha Schlesinger, fondatrice de ArtMuse, une société de conseil artistique spécialisée dans l’organisation de visites, l’inaccessibilité de la collection Solow suscite actuellement de nombreuses crispations dans le monde de l’art, mais aussi au-delà. « Tout le monde en est exclu. Même les personnes les plus haut placées ne peuvent pas y entrer« , dit-elle. “Personnellement, j’ai déjà pu y jeter un coup d’œil, mais seulement en regardant à travers les vitres qui donnent sur la rue. Je n’ai jamais pu entrer à l’intérieur.”

Géré par Ethan Arnheim, un collectionneur d’art de Washington, le site web de la fondation Solow permet d’informer les potentiels visiteurs des spécificités du lieu. Sur un ton humoristique, la page d’accueil énumère les horaires de non-ouverture du lieu de la façon suivante  :

Lundi : Inaccessible

Mardi : Fermé

Mercredi : Pas d’ouverture au public

Jeudi : Fermé

Vendredi : Comme le reste de la semaine

Samedi : Aucune ouverture au public

Dimanche : Toujours pas

En plus de son inaccessibilité, la fondation est surtout controversée parce qu’elle a permis au groupe Solow de bénéficier d’avantages fiscaux conséquents alors même que l’endroit était fermé. Un fait dont elle ne se cache absolument pas et que Ethan Arnheim met même en avant sur le site du lieu (et avec un certain culot) : « La galerie a été créée par Sheldon Solow, un promoteur immobilier milliardaire de New York. Elle est classée fiscalement comme une fondation privée d’utilité publique. Sa mission officielle est de “conserver et d’exposer des œuvres d’art afin de les présenter au public”. Or, le public n’a accès à aucune de ces œuvres. (…) “En tant que fondation privée, elle accorde des avantages fiscaux à l’unique membre de son conseil d’administration, Sheldon Solow ”. 

Malgré la polémique, Natasha Schlesinger explique qu’elle organisera volontiers des visites de la collection lorsque ce sera possible. Selon elle, la Solow Art & Architecture Gallery s’adresse aussi bien aux amateurs d’art qu’aux professionnels et aux spécialistes. Estimée à plus de 200 millions de dollars d’après les informations annoncées sur son site, la collection abrite en effet des figures emblématiques de l’art moderne à l’instar d’Alberto Giacometti, de Francis Bacon et de Henry Moore. Parmi les œuvres-phares acquises par la fondation, citons une œuvre d’Henry Matisse sur le cirque et intitulée Acrobates, ou encore une peinture de Joan Miró dans les tons bleus. 

Peu importe ce détail, Mme Schlesinger affirme qu’elle donnerait volontiers des visites privées de la galerie car elle sait que sa collection serait bien appréciée par toute personne qui aime l’art, même un peu. Les œuvres exposées à Solow sont estimées à plus de 200 millions de dollars, selon son site. Parmi les pièces phares, citons l’œuvre d’Henry Matisse intitulée Acrobates, qui a pour thème le cirque, et une peinture de Joan Miró aux couleurs bleues, intitulée Peinture. Parmi les autres artistes renommés qui seront exposés figurent Alberto Giacometti, Francis Bacon et Henry Moore.

« J’ai hâte d’ajouter ce lieu à ma liste des lieux d’art à visiter absolument à New York« , conclut Mme Schlesinger. « Ne regardons pas en arrière et réjouissons-nous de l’ouverture prochaine de cette galerie.” 

1 jour 1 chanson Jose Cid : cai neve em nova York

Un chanteur portugais chante New York, à découvrir

José Cid – Cai Neve em Nova York – José Cid ao vivo, Concertos, Artistas, Coliseu do Porto, 2013 – YouTube

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A neve cai, tapando as ruas
Num manto corroído cor marfim
Eu sigo só na multidão
Pra descobrir o homem que há em mim

Deixei pra trás a vida cheia de loucura
Fechei a porta onde não mais quero entrar
Ando ao acaso pelas ruas da cidade
Assobiando, mãos nos bolsos a sonhar

Cai neve em Nova Iorque
Há sol no meu país
Faz-me falta Lisboa
Pra me sentir feliz

Não há mais pôr-do-sol
Em Sunset Boulevard
Cai neve em Nova Iorque
Ninguém vai-me encontrar

E foi assim que na 42nd Street
Alguém me chama e oferece um cigarrinho
Muito obrigado, amigo não, não vou fumar
Em Lisboa deixei esse caminho

Deixei pra trás a vida cheia de loucura
Fechei a porta onde não mais quero entrar
Ando ao acaso pelas ruas da cidade
Assobiando, mãos nos bolsos a sonhar

Cai neve em Nova Iorque
Há sol no meu país
Faz-me falta Lisboa
Pra me sentir feliz

Não há mais pôr-do-sol
Em Sunset Boulevard
Cai neve em Nova Iorque
Ninguém vai-me encontrar

Cai neve em Nova Iorque
Há sol no meu país
Faz-me falta Lisboa
Pra me sentir feliz

Não há mais pôr-do-sol
Em Sunset Boulevard
Cai neve em Nova Iorque
Ninguém vai-me encontrar

Auteurs-compositeurs : Jose Cid
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

Ce projet fou d’étendre Manhattan au-delà de la statue de la Liberté

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Ce projet fou d’étendre Manhattan au-delà de la statue de la Liberté – Boursorama

LE FIGARO•24/01/2022 à 06:00

Un économiste suggère de gagner 7 km² sur la mer afin de loger 250.000 personnes supplémentaires et offrir une meilleure protection face à la montée des eaux.

Si le chantier actuellement en cours du côté de Monaco pour gagner 6 hectares supplémentaires de terrain sur la mer est titanesque, que serait celui qu’entrevoit l’économiste Jason Barr pour New York? Ce professeur de l’université Rutgers (université de l’État du New Jersey), auteur d’un ouvrage sur les gratte-ciel new-yorkais, estime que pour résoudre deux des plus grands problèmes new-yorkais actuels, il faudrait agrandir Manhattan de 1760 acres, soit 7 km². À titre de comparaison, la Principauté est en train de s’étendre de 0,06 km² pour un chantier à deux milliards d’euros sachant que Monaco tout entier s’étend sur 2 km².

Ceci étant dit, le projet que l’universitaire défend dans une tribune publiée par le New York Times présente des aspects séduisants. Il s’agirait de remodeler tous le sud de Manhattan en créant au passage 180.000 nouveaux logements de la maison à l’immeuble de grande hauteur et pouvant accueillir 250.000 habitants. Une façon de répondre au manque criant de logements proposés à des tarifs abordables dans la Grosse pomme, tout en créant de nouvelles protections pour protéger les quartiers de la ville les plus exposés actuellement à une montée des eaux. Il évoque notamment Broad Street et Wall Street qui sont des secteurs vulnérables qui auraient bien besoin d’être protégés derrière des avancées surélevées. Et cette zone disposerait de nouveaux parcs, bien utile à la protection de la biodiversité new-yorkaise.

New Mannahatta

Ce nouveau quartier, qui serait baptisé New Mannahatta (en référence au nom indien de ce territoire qui est à l’origine de l’appellation Manhattan) serait plus étendu et plus peuplé que l’Upper West Side (mais avec la même densité). Cette avancée permettrait d’étendre la péninsule dans le port de New York, bien au-delà de la statue de la Liberté et en intégrant Governors Island. Malgré l’aspect titanesque d’un tel projet, Jason Barr souligne que des initiatives de cette ampleur sont nécessaires pour faire face aux défis de demain. Il rappelle que ces avancées sur l’eau se pratiquent notamment aux Pays-Bas depuis des siècles et que Manhattan a été déjà étendue à de multiples reprises de cette manière. Lower Manhattan aurait ainsi été agrandi de 50%.

L’opération pourrait même être finançable selon lui, vu les prix immobiliers, la création de valeur dépassant le montant de travaux. Cela n’empêche pas les opposants de ricaner. Il rappelle que le projet le plus proche de celui de Jason Barr est celui de l’urbaniste controversé Robert Moses. Il avait créé un quartier à Jamaica Bay, au sud-est de New York, sur des remblais issus de déchetteries. Résultat: un quartier de maisons sur pilotis, particulièrement sujet aux inondations et où le taux de sinistres d’assurances bat tous les records.

Avec « The Gilded Age », Julian Fellowes s’intéresse à la la bourgeoisie new-yorkaise de la fin du 19e siècle

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Avec « The Gilded Age », Julian Fellowes s’intéresse à la la bourgeoisie new-yorkaise de la fin du 19e siècle (lejdd.fr)

ParBarbara Théate

Le créateur de « Downton Abbey » met en scène des rivalités sentimentales et sociales dans le Manhattan de la fin du 19e siècle.

En 2010, le scénariste anglais Julian Fellowes écrivait une nouvelle page de l’histoire des séries en redonnant, avec Downton Abbey, ses lettres de noblesse à la saga romantico-­historique. Des décors somptueux, des costumes de goût et des intrigues sentimentales à rebondissements dans l’Angleterre du début du XXe siècle ont tenu en haleine les téléspectateurs du monde entier pendant six saisons. Le showrunner multirécompensé propose un autre projet ambitieux, cette fois de l’autre côté de l’Atlantique.

Parce qu’on ne change pas une formule qui marche, Julian Fellowes s’intéresse de nouveau à la haute bourgeoisie : celle de New York en 1882, une période charnière dans la transformation de la société américaine. Sans argent à la mort de son père, la jeune Marian se résout à quitter la Pennsylvanie pour vivre chez ses riches tantes qu’elle ne connaît pas, dans un hôtel particulier bordant Central Park. Elle va devoir faire avec les codes d’une bonne société ultraconservatrice.

Deux mondes qui s’opposent

À la vue des cinq premiers épisodes, The Gilded Age (« l’âge d’or ») va plus loin qu’un simple copié-collé de Downton Abbey. À la candeur des personnages au code d’honneur très british succède une analyse fine et mordante de la lutte entre deux mondes : l’ancien, fondé sur la réputation du nom et accroché à des valeurs souvent rétrogrades, et le nouveau, celui des entrepreneurs, les Rothschild et les J.P. Morgan, qui s’imposent grâce à l’argent en misant sur la finance ou le développement du chemin de fer. Ainsi, l’épouse d’un riche homme d’affaires a beau déployer ses plus luxueux artifices, elle se heurte à la morgue du club très fermé des vieilles familles huppées. Mais le passé peut-il empêcher l’avenir? On voit ainsi les revendications d’une communauté afro-américaine aisée et éduquée qui bataille déjà pour faire entendre sa voix.

Si on en prend plein les yeux grâce à une débauche de robes élégantes et d’intérieurs luxueux ainsi qu’à une reconstitution d’un ­Manhattan en plein essor, on se régale des dialogues, piquants et plein d’humour, des personnages qui ne sont jamais totalement ce qu’ils laissent à croire, et d’un casting bien pensé.

Face à des pointures de séries comme ­Christine Baranski (The Good Wife) et ­Cynthia Nixon (Sex and the City), Julian ­Fellowes aligne des talents à suivre : Carie Coon et Morgan ­Spector forment un couple de ­Rastignac et Louisa Jacobson, l’une des filles de Meryl Streep, qui tient ici son premier grand rôle, joue avec finesse une oie pas si blanche dans une sorte de version moderne et cynique d’Orgueil et préjugés, bien moins tape‑à-l’œil et sirupeuse que la Chronique des Bridgerton de Shonda Rhimes sur Netflix.

The Gilded Age***. De Julian Fellowes, avec Louisa Jacobson, Carie Coon, Christine Baranski. 9 épisodes de 52 minutes. À partir de mardi sur OCS.

La violence par arme à feu, un test pour le nouveau maire

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New York | La violence par arme à feu, un test pour le nouveau maire | La Presse

MAGGY DONALDSONAGENCE FRANCE-PRESSE

(New York) Le tout nouveau maire de New York, Eric Adams, avait promis d’améliorer la sécurité dans la plus grande ville des États-Unis. Les trois premières semaines de son mandat ont été marquées par la violence par arme à feu, accentuant la pression sur cet ancien policier.

Vendredi, un jeune agent de police de 22 ans a été tué et un autre gravement blessé dans une fusillade dans le quartier de Harlem. Un test pour M. Adams, dont le plan pour juguler la criminalité qu’il a tant décriée pendant sa campagne se fait encore attendre.

« C’est notre ville contre les meurtriers », a dit le maire démocrate vendredi soir depuis l’hôpital de Harlem où les agents, qui répondaient à l’appel d’une mère confrontée à un fils violent, ont été emmenés.

Parmi les récentes violences, un incident a particulièrement marqué les esprits : une petite fille de 11 mois a été blessée à la joue par une balle perdue dans le Bronx, alors qu’elle était dans une voiture à l’arrêt avec sa mère.

« Je vais dérouler un vrai plan cette semaine quand je parlerai à la population de New York, et nous allons nous attaquer aux raisons de fond » de la criminalité, a promis Eric Adams, 61 ans, dimanche sur CNN.

Nous voyons « une mer de crimes qui a été alimentée par de nombreux fleuves », et « nous devons mettre un barrage sur chacun de ces fleuves », a-t-il lancé.

En plus de la prolifération des armes, la pandémie de COVID-19 et ses conséquences sociales et économiques sont venues nourrir cette violence, qui va sûrement être au cœur d’une prochaine confrontation entre le nouveau maire et l’aile gauche de son parti au sujet du financement de la police et des moyens de lutter contre la criminalité.

Négociations budgétaires

Eric Adams, membre de l’aile droite du parti démocrate et ferme partisan d’un strict maintien de l’ordre, se prépare en effet à négocier le nouveau budget de la ville.

Il a dit cette semaine qu’il envisageait de garder la police et son budget de plus de 5 milliards de dollars à l’écart des mesures de réduction de coûts de la ville.

De quoi courroucer celles et ceux qui militent pour réduire le financement de la police avec le slogan « Defund the police ».

Kristin Richardson Jordan, membre de gauche du conseil municipal, a gagné dans sa circonscription de Harlem en faisant campagne pour des systèmes de sécurité publique alternatifs à la police traditionnelle.

Elle a dit sa tristesse après la mort du policier vendredi, affirmant que « la mort d’agents de police, ce n’est pas ça, l’abolition [de la police]. L’abolition, c’est la fin de toute la violence ».

Combattre le « flot d’armes »

L’an dernier, la police a enregistré 488 homicides dans la ville de 9 millions d’habitants, en hausse de 4,3 % par rapport à 2020. Jeffrey Butts, du John Jay College of Criminal Justice, fait toutefois remarquer qu’il y a 25 ans, le nombre d’homicides à New York était quatre fois plus élevé qu’aujourd’hui.

Il se dit en désaccord avec le principe de « Defund the police », mais il affirme qu’allouer « davantage de fonds à la police n’est pas une réponse adéquate ».  

« Comment ces ressources sont-elles utilisées ? Dans quel but ? Quelle est la stratégie ? », demande-t-il. « La base de notre approche doit être le bien-être économique, la santé et le bien-être de la population, ce qui est un sujet de débat de politique publique beaucoup plus large ».

Pour le parlementaire Adriano Espaillat, dont la circonscription comprend Harlem et des pans du Bronx, « le gouvernement fédéral doit jouer un rôle central » dans la lutte contre la violence. L’élu a notamment évoqué samedi la nécessité d’une loi demandant une vérification des antécédents plus rigoureuse lors de l’achat d’armes.

Ken Sherrill, professeur émérite de science politique au Hunter College, juge que le maire doit présenter son plan sans tarder, parce que c’est le moment de « façonner l’opinion publique ».

« Cela donne au maire une immense opportunité et s’il ne la saisit pas, je suis sûr qu’il le regrettera », a-t-il affirmé.

Samedi, Eric Adams avait déjà insisté sur la nécessité de « faire face au flot d’armes », une partie essentielle de sa stratégie selon lui.

Sans cela, avait-il martelé, « nous perdons notre temps ».

Le maire de New York est payé en cryptomonnaies

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Le maire de New York est payé en cryptomonnaies (journaldugeek.com)

Crypto 

Par Olivier le 23 janvier 2022 à 11h00 0 commentaires

New York veut devenir le centre mondial du petit monde des cryptos. Pour marquer le coup, le maire de la métropole a annoncé qu’il toucherait ses trois premiers chèques en Bitcoin et en Ethereum. Le premier vient de tomber !

Pas de doute, Eric Adams y croit dur comme fer. Le nouveau maire de New York a touché le premier des trois chèques de son salaire d’édile, qu’il avait promis d’encaisser en Bitcoin et en Ethereum durant la campagne électorale. À l’époque, c’est à dire en novembre dernier, les marchés étaient au plus haut mais depuis, ils ont fondu de plus d’un tiers.

Attirer les innovateurs

Pas de quoi inquiéter le maire de la grosse pomme, qui a converti son chèque sur la plateforme d’échange Coinbase. Adams a confirmé qu’il avait toute confiance dans les cryptomonnaies : « New York est le centre du monde, et nous voulons être au centre des cryptos et des autres innovations financières ».

Pour Eric Adams, se placer à « l’avant-garde » de l’innovation des cryptos permettra à la ville de créer des emplois, d’améliorer son économie et de « continuer à attirer les talents du monde entier ». Quel meilleur symbole de cette confiance dans les cryptomonnaies qu’un maire qui accepte d’être payé de la sorte.

Le directeur financier de New York, Matt Fraser, estime de son côté que la technologie permet de réduire la fracture numérique. Pour lui, le geste du maire est un exemple de la façon dont les gens peuvent gérer leurs finances avec des options plus diversifiées. À condition d’avoir l’estomac bien accroché : les cryptos sont soumises à des cours qui changent du jour au lendemain.