Tous les articles par pward

1 jour 1 chanson Leonard Cohen First we take Manhattan

Une de mes chansons préférée sur New York

pour voir le clib c’est ici :

Leonard Cohen – First We Take Manhattan (Official Video) – YouTube

Afficher l’image source

Paroles

They sentenced me to 20 years of boredom
For trying to change the system from within
I’m coming now, I’m coming to reward them
First we take Manhattan, then we take Berlin

I’m guided by a signal in the heavens (Guided, guided)
I’m guided by this birthmark on my skin (I am guided by)
I’m guided by the beauty of our weapons (Ooh, ooh)
First we take Manhattan, then we take Berlin

I’d really like to live beside you, baby
I love your body and your spirit and your clothes
But you see that line there moving through the station?
I told you, I told you, told you I was one of those

Ah, you loved me as a loser, but now you’re worried that I just might win
You know the way to stop me, but you don’t have the discipline
How many nights I prayed for this, to let my work begin
First we take Manhattan, then we take Berlin

I don’t like your fashion business, mister
And I don’t like these drugs that keep you thin
I don’t like what happened to my sister
First we take Manhattan, then we take Berlin

I’d really like to live beside you, baby
I love your body and your spirit and your clothes
But you see that line there moving through the station?
I told you, I told you, told you I was one of those

And I thank you for those items that you sent me, ha ha ha ha
The monkey and the plywood violin
I practiced every night, now I’m ready
First we take Manhattan, then we take Berlin

I am guided

Ah, remember me, I used to live for music (Baby)
Remember me, I brought your groceries in (Ooh, baby, yeah)
Well, it’s Father’s Day, and everybody’s wounded
First we take Manhattan, then we take Berlin

Auteurs-compositeurs : Leonard Cohen
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

Chandeleur 2022 : où manger de bonnes crêpes à New York ?

par

Alexis Buisson 30 janvier 2022

Pour voir l’article

Chandeleur 2022 : où manger de bonnes crêpes à New York ? – French Morning US

On espère que vous avez digéré la galette car ce 2 février, c’est la Chandeleur. L’occasion pour French Morning de partager quelques bonnes adresses de crêperies pour vous aider à fêter ce jour comme il se doit… et avec beaucoup de cidre.

Madame Poupon (Bed-Stuy)

C’est dans ce restaurant de Bed-Stuy (387A Nostrand Ave, Brooklyn – 718 928 7472) que ça se passe. L’association des Bretons de New York (BZH), dont les membres savent vivre, organise sa chandeleur, le 2 février, dans cette crêperie authentique fondée par le chef Jean-Christophe Henry. Originaire de Bretagne lui-même, il propose un menu court et sobre de crêpes sucrées et salées. Tout est rudement bon et vendu à des prix raisonnables. Le menu spécial proposé pour les invités de BZH est composé d’un choix de deux crêpes en entrée et en plat principal, et de quatre possibilités de desserts (dont un far breton). Prix : 60 dollars. Deux services, l’un à 6:30pm et l’autre à 8:30pm. S’inscrire avant le 2 février à 3pm. Site de BZH

Café Triskell (Astoria)

Fondée par le chef Philippe Fallait en 2007, cette adresse intimiste d’Astoria, terre bretonne du Queens, offre aussi une sélection alléchante de crêpes salées et sucrées (en plus d’un croque-monsieur et d’autres spécialités tricolores). Dans la catégorie « salées », les prix s’échelonnent de 7 dollars (jambon-fromage) à 15 dollars (saumon écossais, avec câpres et crème fraîche). Du côté des « sucrées », les options vont de 6 dollars (beurre-sucre, citron-sucre, cannelle-sucre) à 8,50 dollars (banane-nutella-crème fouettée et la pignon de pin-amande-noix de pécan avec miel). Fermé le lundi et le mardi. 33-04 36th Avenue, Queens 718.472.0612. Site 

Délice & Sarrasin (SoHo)

Dans cette crêperie française ouverte par la chaleureuse famille Caron-Soriano, la sélection de galettes est intégralement végane. Les salées coûtent 15 et 16 dollars. La « viande » et le fromage qui composent certaines d’entre elles sont faits à partir de légumes, de plantes ou encore de noix de cajou. Pour les sucrées, comptez 10 à 12 dollars. Il sera difficile de résister à « La Bordelaise » (pomme grillée-caramel salé-glace à la vanille) ou « La Parisienne » (amandes grillées-chocolat-crème fouettée). N’oubliez pas le cidre pour 7 dollars. 20 Christopher Street, Manhattan. (212) 243-7200. Site

Crêperie NYC (West Village et Lower East Side)

Cette crêperie se considère comme la meilleure de New York. À voir ! Une chose est sûre : ici, on ne fait pas dans l’authentique, mais dans une version américanisée du fameux plat. En vente, des crêpes aux oréos, au cheesecake ou au chocolat Reese. Elles ont l’air pour le moins… copieuses. 135 Ludlow St dans le Lower East Side ou 112 MacDougal St. dans le West Village. Site

Autres options :

  • Winemak’Her n’est pas une crêperie, mais cela n’empêchera pas le restaurant-bar d’Alexandra Claveau de sortir les crêpes le 2 février. Au menu : une prosciutto raclette avec salade pour 12 dollars, une complète pour le même prix, et, en dessert, une Nutella et une sucre-glace pour 7 dollars. 492 5th Ave, Brooklyn. Site
  • Le District, le grand marché français de Downtown Manhattan, vend aussi une sélection de quatre crêpes sucrées (4,50-7,50 dollars) et cinq salées (8,50 à 10 dollars). Sa crêperie est située dans l’entrée de l’espace, mais elle ne dispose pas de sièges. Des chaises sont disponibles dans le Winter Garden voisin et au bar à vin du District. 225 Liberty Street, New York. Site

Etats-Unis : Une tempête de neige « historique » paralyse le nord-est du pays

pour voir les images

Etats-Unis : Une tempête de neige « historique » paralyse le nord-est du pays (20minutes.fr)

20 Minutes avec AFP

METEO Un vent puissant et glacial paralyse les transports et a pu provoquer la mort d’une automobiliste au nord de New York 

Au cœur du blizzard. Aux Etats-unis, sur Times Square, le carrefour mythique de Manhattan recouvert de dizaines de centimètres de neige, les rares passants sont tombés stupéfaits sur le célèbre « cow-boy nu », alias Robert Burck, un artiste de rue qui joue de la guitare et chante quel que soit le climat. Comme à son habitude, il ne portait qu’un slip, son chapeau et ses bottes à Times Square, impassible malgré les courants d’air glacial battant les écrans géants de publicité qui formaient un halo de lumière écarlate dans la tempête.

A Brooklyn, dans le quartier branché de Cobble Hill, les trottoirs sont quasiment déserts, recouverts d’au moins 30 cm de neige. Une partie des commerces sont fermés. « Happy Snow Day ! » («Joyeux jour de neige ! »), lance quand même un habitant du quartier, tout sourire, en sortant d’un des petits immeubles en brique typiques du quartier, aux toits blanchis.

Les habitants appelés à rester chez eux

Le nouveau maire de New York Eric Adams s’est filmé dans le quartier du Bronx, puis sur le ferry mythique et gratuit entre Manhattan et Staten Island en exhortant ses concitoyens à rester chez eux et en prévenant que « Mère Nature a tendance à faire ce qu’elle veut ». Le gigantesque réseau de métro de la mégapole de neuf millions d’habitants fonctionne à peu près normalement et sert, comme pour chaque intempérie, de refuge aux milliers de personnes sans-abri de cette ville aux profondes inégalités socio-économiques.

Au nord de la métropole new-yorkaise, sur Long Island ce sont déjà 25 cm qui s’accumulent. Les lignes de trains régionaux y sont partiellement à l’arrêt et une femme a été retrouvée sans vie, possiblement morte de froid dans sa voiture, a indiqué sur une radio locale l’élu à la tête du comté de Nassau, Bruce Blakeman. Dans le comté voisin et huppé de Weschester, les chasse-neige s’activent depuis l’aube pour dégager les routes et voies qui serpentent au milieu des maisons bourgeoises enveloppées par la neige.

Plus de 115.000 foyers privés d’électricité

L’état d’urgence a été décrété pour les Etats de New York et du New Jersey et la gouverneure de New York Kathy Hochul a demandé de limiter les déplacements mais de remplir quand même les voitures d’essence, d’eau et de couvertures. Le service météo national (NWS) prévoit des rafales de vent d’une vitesse de 80 à 120 km/h et a mis en garde contre « des conditions de déplacement presque impossibles » dans le nord-est des Etats-Unis. Le NWS pronostique aussi des températures polaires dans la nuit de samedi à dimanche et des coupures de courant, habituelles chaque hiver quand la puissance du vent ou le poids de la neige arrachent les lignes électriques. Plus de 115.000 foyers dans le Massachusetts étaient déjà sans électricité selon le site poweroutage.us.

Des milliers de vols annulés

Côté transports, quelque 3.500 vols ont été annulés pour samedi, et 700 déjà pour dimanche, à l’arrivée ou au départ du pays, selon le site de suivi aérien FlightAware. A Boston, la grande ville de la Nouvelle-Angleterre, la nouvelle maire Michelle Wu a prévenu à la télévision que « la tempête allait être historique et très mauvaise » et des habitants du Massachusetts se sont rués dans les magasins pour acheter des pelles afin de déneiger les trottoirs, une obligation

Même au sud, en Floride, d’habitude tropicale, des alertes pour le gel ont été lancées avec le risque de faire chuter de leurs arbres les fameux iguanes pesant jusqu’à neuf kg. Cette tempête de neige est déjà la deuxième de l’année sur l’Est nord-américain, après celle qui avait parcouru début janvier des régions allant de l’Etat de Géorgie jusqu’au Québec.

Il y a 60 ans, la première arrivée triomphale du « France » à New York

pour lire l’article et voir la photo

Il y a 60 ans, la première arrivée triomphale du « France » à New York – L’Express (lexpress.fr)

Par AFPPublié le 28/01/2022 à 08:42, mis à jour à 08:42

Cet emblème des « trente glorieuses » françaises, qui finira à la ferraille en Inde en 2008, s’attire alors tous les superlatifs: « le plus long, le plus récent, le plus luxueux » des paquebots reliant l’Europe à l’Amérique, décrivent les dépêches AFP de l’époque. 

Parti du Havre le 3 février, le navire s’engage dans la baie de New York à l’heure prévue cinq jours plus tard, à 9h45 locales, malgré de gros grains pendant la traversée.  

Cet emblème des « trente glorieuses » françaises, qui finira à la ferraille en Inde en 2008, s’attire alors tous les superlatifs: « le plus long, le plus récent, le plus luxueux » des paquebots reliant l’Europe à l’Amérique, décrivent les dépêches AFP de l’époque. 

Parti du Havre le 3 février, le navire s’engage dans la baie de New York à l’heure prévue cinq jours plus tard, à 9h45 locales, malgré de gros grains pendant la traversée.  PUBLICITÉ

Il a parcouru en 101 heures les 3.000 milles marins (5.556 km) séparant Bishop Rock (à l’extrémité sud-ouest de l’Angleterre) du bateau-phare Ambrose, à une vitesse moyenne de 29,7 noeuds (55 km/h).

« Nous avons essuyé une véritable tempête pendant douze heures avec des creux de 14 mètres. Mais grâce à la vitesse du France, nous avons rattrapé le temps perdu« , se félicite le commandant Georges Croisile, assailli de questions par les centaines de reporters venus de tout le pays.  

Le paquebot est quasi indemme: « les hublots brisés avaient été remplacés par l’une des portes vitrées du grand salon, défoncée » par la tempête, écrit l’envoyé spécial de l’AFP. 

Dans sa lente remontée du fleuve Hudson, le navire aux célèbres cheminées rouges et noires à ailerons est escorté par « une imposante flottille de bâtiments divers (…) Dans le ciel complètement couvert, d’innombrables hélicoptères de la police et des garde-côtes, des avions privés et des hydravions de l’aéronavale » l’accompagnent. 

Coincée dans un ascenseur –  

« Une minute avant l’arrivée devant la statue de la liberté, les sirènes du France retentissent.  

Tous les remorqueurs et autres bateaux dans le port lui répondent dans un bruit assourdissant ».  

Les bateaux-pompes municipaux crachent des gerbes d’eau, un accueil traditionnellement réservé aux paquebots qui entrent pour la première fois dans le port de New York.  

Parmi les 1.727 passagers massées sur les ponts, se pressent des célébrités, dont le romancier Joseph Kessel et la chanteuse Juliette Greco. Un « passager clandestin« , un journaliste monté en douce et découvert peu après le départ du Havre, a été « gardé à vue » pendant la traversée. 

Le navire accoste à 13h00 locales (19h00 en France) sur le quai de la « Compagnie générale transatlantique » (la « French line« ), tous les immeubles voisins pavoisés de bleu-blanc-rouge. Une fanfare municipale entonne la Marseillaise devant les milliers de new-yorkais venus assister au spectacle dans Battery Park, à la pointe sud de Manhattan. 

Mis à l’eau le 11 mai 1960 aux chantiers de Saint-Nazaire en présence du général de Gaulle et de son épouse Yvonne, le France mesure 316 mètres de long, peut accueillir plus de 2.000 passagers en première classe ou classe touriste, propose deux piscines, une nursery, une grande bibliothèque, toutes ses cabines sont climatisées.  

Ses parties communes aux meubles en formica, matériau star des années 1960, sont ornées de tapisseries abstraites et de lithographies de Picasso, Braque ou Dufy. 

Lors de son voyage inaugural aux îles Canaries en janvier 1962, sa marraine Yvonne de Gaulle avait subi une petite mésaventure, brièvement coincée dans un ascenseur au moment de débarquer à Tenerife. 

– Rebaptisé « Norway » – 

Inauguré en période faste, le France est vite confronté aux impératifs économiques.  

Concurrencé par le « Queen Elizabeth« , puis par l’essor du transport aérien, ce gros consommateur de mazout reçoit le coup de grâce avec le choc pétrolier de 1973.  

Le 30 octobre 1974, l’exploitation du paquebot déficitaire est arrêtée après 377 traversées de l’Atlantique Nord, le gouvernement ayant décidé de ne plus le subventionner.  

« Ne m’appelez plus jamais France, la France elle m’a laissé tomber« , chante Michel Sardou dans un tube aux accents patriotiques. 

A l’abandon sur un quai du Havre, le France est racheté par un homme d’affaires saoudien puis, en 1979, par un armateur norvégien qui le rebaptise « Norway » et l’affecte aux croisières dans les Caraïbes. 

Après l’explosion d’une chaudière qui tue huit marins à Miami (Floride), le Norway, devenu propriété d’un groupe malaisien, est désarmé en 2003 puis démantelé cinq ans plus tard en Inde. 

Parmi ses quelque 600.000 passagers entre Le Havre et New York, le mythique « palace flottant » aura transporté Salvador Dali, Alfred Hitchcock ou Audrey Hepburn.

1 jour 1 chanson Petula Clark : Dowtown

Cette chaso n’est pas spécifique pour New York, mais elle correspond à la grosse pomme.

Pour voir le lip c’est ici

Petula Clark Downtown. original version – YouTube

Afficher l’image source

Paroles

When you’re alone and life is making you lonely
You can always go
Downtown
When you’ve got worries all the noise and the hurry
Seems to help I know
Downtown

Just listen to the music of the traffic in the city
Linger on the sidewalk where the neon signs are pretty
How can you lose?

The light’s so much brighter there
You can forget all your troubles, forget all your cares

So go downtown
Things will be great when you’re
Downtown
No finer place for sure
Downtown
Everything’s waiting for you (downtown, downtown)

Don’t hang around and let your problems surround you
There are movie shows
Downtown
Maybe you know some little places to go to
Where they never close
Downtown

Just listen to the rhythm of a gentle bossa nova
You’ll be dancing with ’em too before the night is over
Happy again

The light’s so much brighter there
You can forget all your troubles, forget all your cares

So go downtown
Where all the lights are bright
Downtown
Waiting for you tonight
Downtown
You’re gonna be alright now (downtown)
Downtown
Downtown

Downtown

Downtown

And you may find somebody kind to help and understand you
Someone who is just like you and needs a gentle hand
To guide them along
So maybe I’ll see you there
We can forget all our troubles, forget all our cares

So go downtown
Things will be great when you’re
Downtown
Don’t wait a minute more
Downtown
Everything’s waiting for you (downtown, downtown)

Downtown
(Downtown)
Downtown
(Downtown)
Downtown
(Downtown)
Downtown
(Downtown)

Auteurs-compositeurs : Tony Hatch
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

Julian Fellowes: « Les nouveaux riches ont transformé New York »

pour lire l’article

Julian Fellowes: « Les nouveaux riches ont transformé New York » – La Libre

Karin Tshidimbajournaliste

Le créateur de « Downton Abbey » explire l’histoire des Etats-Unis pour HBO. « The Gilded Age » chronique l’envol des nouveaux riches entre 1880 et 1900. L’occasion de souligner le combat des femmes. À voir sur Be 1, ce jeudi, à 20h30.

Sa description pleine d’ironie et d’empathie du petit monde de Downton Abbey, a fait le tour du monde. Délaissant les sujets de sa Gracieuse Majesté, Julian Fellowes replonge dans l’Histoire pour décrire la façon dont tant d’Américains…