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WONDERLAND / Cedric Roux

Livre de photographie imprimé en France – un œil décalé dans les rues de New-York

Pour soutenir le projet c’est ici et voir les contreparties

WONDERLAND / Cedric Roux – Ulule

LE LIVRE

Les Editions Odyssée sont heureuses de présenter le premier livre de Cédric Roux : un œil décalé dans les rues de New York, une photographie de rue aiguisée témoignant l’amour de l’auteur pour cette ville. Préfacé par le photographe londonien Matt Stuart, Wonderland est un livre d’art imprimé en France par Escourbiac.

Les caractéristiques du livre : 

  • Format 19 x 27 cm (à la française)
  • Ouverture à plat pour une lecture agréable des images
  • 112 pages imprimées en offset quadrichromie sur papier Gardapat 13 Bianka 150 g/m2 (épais)
  • Couverture cartonnée avec finition marquage à chaud couleur argent
  • Cuvette pour image pelliculée en 15 x 13 cm
  • Reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé
  • Gardes vierges rapportées en papier Aloe 120g couleur métal
L'AUTEUR

« Il m’a fallu un premier voyage à New York pour surmonter ma timidité naturelle et oser franchir le pas pour commencer à photographier. Depuis ce jour, j’essaie de faire des photos. »

Cedric a obtenu le prix du public Zooms 2018 du salon de la photo de Paris, a exposé à Paris et au Japon sa série Droit à l’image. Il a également obtenu des prix internationaux et vu ses images être exposées à Miami, San Francisco, Milan, Arles, mais également à l’ICP à NYC ou sur le quai du métro de la RATP.

Utilisateur Leica, il collabore régulièrement avec Leica France et a exposé pendant neuf mois une série de photos de rue au sein d’une de leur galerie parisienne. 

CONTREPARTIES

Le livre sera imprimé en mars-avril 2022. Les contreparties seront livrées en juin 2022 pour les contributeurs Ulule, la sortie officielle du livre aura lieu en septembre 2022. DECOUVRIR LES CONTREPARTIES

Ci-dessous, les deux contreparties spécifiques : 

  • Juin 2022 – Un événement organisé pour la remise des livres en avant-première aux contributeurs à Paris
  • Juillet 2022 – Présentation du livre à Arles 
  • Septembre 2022 – Sortie officielle en librairie 
  • Septembre 2022 – Circuit d’expositions en France

À quoi va servir le financement

Vous participez à l’impression de 1000 beaux livres en France (13 000€), au paiement de la photogravure, des déplacements et frais administratifs divers, à la promotion du projet puis à l’exposition dans différentes villes en France.

  • Si le projet atteint 150% de l’objectif – Merci ! Nous imprimerons plus de livres WONDERLAND
  • Si le projet atteint 200% de l’objectif – Grand merci ! Nous présenterons le livre aux USA 

Ces pizzerias de New York étaient parmi les plus recherchées et les mieux notées sur Google l’année dernière

By Violette Laurent – février 9, 2022 

Pour voir les pizzas

Ces Pizzerias De New York étaient Parmi Les Plus Recherchées Et Les Mieux Notées Sur Google L’année Dernière – Tech Tribune France

Nous savons que la ville de New York peut être territoriale à propos de sa pizza, mais quelles pizzerias des cinq arrondissements sont les plus recherchées sur Google ?

Avant la Journée nationale de la pizza le 9 février, la recherche Google a publié des données montrant les pizzerias les mieux évaluées et les plus recherchées, à la fois au niveau national et à New York et dans l’État en 2021. Selon leurs conclusions, Pizza Carnegie à Times Square était la pizzeria la plus recherchée, tant au niveau local qu’au niveau national.

Parmi les pizzerias les plus recherchées à la fois localement et nationalement, citons Enzo Bruni la pizza gourmandeRubirosa Pizza & RistorantePrince St. PizzaPizza fraîche à 99 centsPizza de la rue Bleeckeret Joe’s Pizza sur la 8ème avenue, qui se trouvent tous à Manhattan. Localement, la liste des 10 pizzerias les plus recherchées comprend les sept magasins mentionnés précédemment, suivis de New York Pizza SuprêmeLa meilleure pizza et Pizza Petite Italie. La pizzeria la plus recherchée dans l’État de New York était Domino’s Pizza, revendiquant également la pizzeria la plus recherchée aux États-Unis pour la deuxième année consécutive.

En termes de critiques, Brooklyn’s BURCHAK PIDE était la pizzeria la mieux notée de New York et de tout l’État, avec 4,95 étoiles sur Google Maps. Parmi les pizzerias les mieux notées de New York, selon Google, on trouve Pizza d’AsPizza Nolitaet BK PIZZA. Au niveau national, les pizzerias les mieux notées étaient Pizza Nolita à Manhattan (#7) et Goodfella’s Pizzeria de Sunnyside dans le Queens (#10).

Selon les données de Google, les amateurs de pizza de la région métropolitaine de New York recherchent la « pizza végétalienne » sur Google Maps plus que dans toute autre agglomération américaine. Bien que New York ait pratiquement une pizzeria à chaque coin de rue, les données de Google ont révélé que le Connecticut est l’État avec le plus de pizzerias par habitant, suivi du New Jersey.

1 jour 1 chanson Counting Crows : Washington square

Pour les amateurs de jeu d’échecs, allez dans ce parc

Pour voir le clip

Counting Crows – Washington Square (Yahoo! Live Sets) – YouTube

Résultat d’images pour Counting Crows : Washington square

I sold my piano, it couldn’t come with me,
I locked up my bedroom and I walked out into the air,
When nothing I needed was left there behind me,
I walked out through the shadows of Washington Square.

I wandered the highways from Dublin to Berkeley,
And I heard the songbirds of Ballyporeen,
But I loved like a fountain and it left me with nothing,
Just memories of walking through Washington Square.

Now I live in the shadows, where light is electric,
And time is a number, that rests on a wall,
And nobody knows me, my friends and my family,
Are as far from this city as Washington Square.

So cover this warm night in a blanket of starlight,
And I’ll follow this freeway out into the air,
In case you should wander and wanted to find me,
I’m traveling homeward to Washington Square,
I’m traveling homeward to Washington Square,
Washington Square,
Washington Square.

Auteurs-compositeurs : Adam Fredric Duritz, James Bogios, David A. Immergluck, Daniel John Vickrey, Charles Thomas Gillingham, David Lynn Bryson, Millard Powers
Pour utilisation non commerciale uniquement.
Données de : Musixmatch

L’inflation fait flamber le prix des pizzas à New York

pour voir les pizzas

L’inflation fait flamber le prix des pizzas à New York – rts.ch – Monde

Aux Etats-Unis, l’inflation continue d’affecter l’économie et a parfois des conséquences inattendues. A New York, la traditionnelle part de pizza à 1 dollar est menacée: la hausse des prix des produits de base pousse certains restaurateurs à augmenter leurs prix.

« La part à 99 centimes, y a rien de pareil! », s’exclame David, savourant sa part de pizza au fromage à moins d’un dollar. Comme lui, New-Yorkais et touristes sont nombreux à se presser tous les jours devant les enseignes qui proposent des parts de pizzas à bas coût.

Mais depuis quelques mois, ces petites parts coûtent 25, 50 cents et parfois même 1 dollar de plus: « C’est une honte, on veut le retour des pizzas à 99 cents ».

Si les morceaux de pizza augmentent, c’est en raison de l’inflation qui dure. Ainsi, Nick, qui tient une pizzeria à Manhattan, dit ne pas avoir eu le choix quand il a augmenté ses prix de 70 cents. « Les boîtes de pizza ont augmenté de 5 dollars », sans compter la hausse pour la farine, la sauce tomate, le fromage. L’huile, par exemple, est passée de 14 dollars en 2020 à 45 dollars aujourd’hui. « La pizza est en train de devenir un luxe ».

Restauration durement touchée

De nombreuses personnes disent comprendre cette hausse de prix, même si elles espèrent que la situation ne va pas trop durer. « On doit soutenir les petits commerçants. J’aime la pizza, je suis prêt à payer un peu plus, ce n’est pas grave ».

A New York, la restauration a été durement touchée depuis le début de la pandémie. Au moins mille établissements ont mis la clé sous la porte en deux ans.

Loubna Anaki/lan

Dans le Queens à New York, un tour du monde culinaire

Pour voir les plats

Dans le Queens à New York, un tour du monde culinaire – L’Express (lexpress.fr)

New York – De l’arepa colombienne aux soupes tibétaines, faire le tour du monde est possible dans le Queens, à New York. Cet arrondissement, dernière étape pour des milliers d’immigrants, offre un parcours culinaire sans frontières aux voyageurs et aux résidents de la « Grosse pomme »

Par AFPPublié le 07/02/2022 à 08:43, mis à jour à 08:43

Le Queens, l’un des cinq grands quartiers de New York, « a la population la plus diverse du pays, avec plus de 100 origines » différentes et autant de cuisines, explique à l’AFP Robert Sietsema, critique gastronomique pour le magazine en ligne Eater.com. 

Il suffit de prendre la ligne 7 du métro, qui traverse cet arrondissement le plus vaste de la ville, pour plonger dans un festival de saveurs, d’arômes, de textures et de produits exotiques. 

Ici, dans ce « World’s Borough » — l’un des surnoms du Queens –, entre l’East River et Long Island, des restaurants du sud-est asiatique, égyptiens ou yéménites cohabitent avec une incontournable cuisine mexicaine et des arepas colombiennes. Sans oublier la paella espagnole, la moussaka grecque ou l' »entraña« , ce savoureux steak de viande, typique en Uruguay et en Argentine.

Le Queens, l’un des cinq grands quartiers de New York, « a la population la plus diverse du pays, avec plus de 100 origines » différentes et autant de cuisines, explique à l’AFP Robert Sietsema, critique gastronomique pour le magazine en ligne Eater.com. 

Il suffit de prendre la ligne 7 du métro, qui traverse cet arrondissement le plus vaste de la ville, pour plonger dans un festival de saveurs, d’arômes, de textures et de produits exotiques. 

Ici, dans ce « World’s Borough » — l’un des surnoms du Queens –, entre l’East River et Long Island, des restaurants du sud-est asiatique, égyptiens ou yéménites cohabitent avec une incontournable cuisine mexicaine et des arepas colombiennes. Sans oublier la paella espagnole, la moussaka grecque ou l' »entraña« , ce savoureux steak de viande, typique en Uruguay et en Argentine.

Se chauffer l’hiver au péril de sa vie dans le Bronx, à New York

pour lire l’article

Se chauffer l’hiver au péril de sa vie dans le Bronx, à New York – Reportage international (rfi.fr)

Par :Loubna Anaki

Aux États-Unis, trois semaines après l’incendie qui a coûté la vie à 17 personnes dont 8 enfants à New York, les associations mettent la pression sur les autorités. De nombreux logements sociaux sont privés de chauffage, ce qui pousse les habitants à avoir recours à des moyens parfois dangereux lorsque les températures sont glaciales. Reportage dans le Bronx, le quartier le plus pauvre de la ville de New York.

Devant l’immeuble, des photos, des bougies et des peluches ont été déposées en mémoire des 17 victimes de l’incendie du 9 janvier 2022. « C’est très difficile, regrette cette femme présente sur les lieux du drame pour se recueillir. Je suis très triste pour ces gens, les enfants. » « Je connaissais plusieurs personnes, témoigne une autre. L’ami de mon fils est mort. Ça fait encore mal, surtout pour les enfants. »

Pour les habitants du quartier, le drame est d’autant plus traumatisant qu’il est dû à un chauffage d’appoint défaillant. Ici, ils sont nombreux à se réchauffer de cette manière en hiver parce que le chauffage central ne fonctionne pas dans leurs immeubles. Légalement, à New York, les propriétaires sont obligés d’assurer une température intérieure minimum de 16°C. Une règle que de nombreux logements sociaux ne respectent pas.

Queenie McFarland vit depuis six ans dans cet immeuble réservé aux retraités. Dans son salon, il fait aussi froid qu’à l’extérieur avec une température de -10°C. « Si vous mettez la main le long de cette porte, vous sentez l’air froid qui rentre », observe-t-elle. Elle passe sa journée dans sa chambre où un chauffage d’appoint tourne jour et nuit. « Je mange et je dors dans ma chambre, parce qu’il fait trop froid ici. J’ai mal parfois pour mes oiseaux. » Queenie dit avoir conscience du danger que représente son installation de fortune. « J’éloigne le chauffage des rideaux pour qu’ils ne prennent pas feu, parce qu’une nuit, j’ai senti qu’ils devenaient très chauds. C’est terrifiant ! »

Queenie McFarland n’est pas seule. Certains de ses voisins laissent leur four allumé pour se réchauffer malgré le risque d’intoxication au monoxyde de carbone. D’autres s’installent chez des proches à chaque hiver. Malgré les plaintes d’associations de locataires, des dizaines d’immeubles gérés par, NYCHA, l’office de logements sociaux de New York, sont privés de chauffage.

Le non voyage à New York de Philippe Delerm

Pour lire l’article

Le non voyage à New York de Philippe Delerm (nouvelobs.com)

Par Dorane Vignando·Publié le 

« New York sans New York » , par Philippe Delerm, au Seuil, en librairie le 4 février.

Peu importe qu’il y fasse beau ou le niveau des restrictions sanitaires, le « New York sans New York » de Philippe Delerm, publié au Seuil ce 4 février, est une exploration fantasmée de Big Apple. Mieux que la vraie ?

Comment parler d’une ville que l’on ne connaît pas ? Guider un lecteur dans New York… alors que l’on n’y a jamais mis les pieds ? Le romancier Philippe Delerm apporte une réponse pleine de verve et de passion, en composant ce recueil de textes courts sur la Grosse Pomme.

Et il assume : « Tant mieux si je ne la vois pas. Je l’invente et je la deviens. » Il ne verra jamais la skyline de Manhattan, le pont de Brooklyn ou les trottoirs bigarrés du Bronx… Qu’importe : il livre un vibrant hommage de cette « ville absolue », qu’il peint comme une toile abstraite pour mieux la préserver de la réalité.

Plongeant dans ses souvenirs d’enfance et d’adolescence, il croque la métropole au travers de cartes postales jaunies, de livres de photos où les gratte-ciel filent à la verticale tel un coup de poing levé vers le ciel, d’une pochette de disque de Simon and Garfunkel à Central Park, des scènes de « West Side Story »,tournées dans le quartier de San Juan Hill, de la patinoire sur la 62e Rue, aperçue dans « Love Story ».

Tel un chauffeur de taxi jaune, Philippe Delerm nous entraîne dans les méandres du Lower East Side, où les bobos ont remplacé les toxicos ; au Madison Square Garden, pour assister à un combat de boxe ; à Greenwich Village, pour dévorer des sandwichs au pastrami – que l’écrivain ne goûtera jamais… mais dont il connaît les meilleures adresses.

A nos côtés, sur la banquette arrière, viennent s’asseoir Cassius Clay, Jack Kerouac, Woody Allen ou Paul Auster. Mais Philippe Delerm ne déroule pas un simple roman-photo. A force de la lire, de l’imaginer, de l’écouter, de la regarder, de la caresser au fond de son esprit, son New York d’éternité prend réellement corps.