Archives mensuelles : février 2022

Se chauffer l’hiver au péril de sa vie dans le Bronx, à New York

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Se chauffer l’hiver au péril de sa vie dans le Bronx, à New York – Reportage international (rfi.fr)

Par :Loubna Anaki

Aux États-Unis, trois semaines après l’incendie qui a coûté la vie à 17 personnes dont 8 enfants à New York, les associations mettent la pression sur les autorités. De nombreux logements sociaux sont privés de chauffage, ce qui pousse les habitants à avoir recours à des moyens parfois dangereux lorsque les températures sont glaciales. Reportage dans le Bronx, le quartier le plus pauvre de la ville de New York.

Devant l’immeuble, des photos, des bougies et des peluches ont été déposées en mémoire des 17 victimes de l’incendie du 9 janvier 2022. « C’est très difficile, regrette cette femme présente sur les lieux du drame pour se recueillir. Je suis très triste pour ces gens, les enfants. » « Je connaissais plusieurs personnes, témoigne une autre. L’ami de mon fils est mort. Ça fait encore mal, surtout pour les enfants. »

Pour les habitants du quartier, le drame est d’autant plus traumatisant qu’il est dû à un chauffage d’appoint défaillant. Ici, ils sont nombreux à se réchauffer de cette manière en hiver parce que le chauffage central ne fonctionne pas dans leurs immeubles. Légalement, à New York, les propriétaires sont obligés d’assurer une température intérieure minimum de 16°C. Une règle que de nombreux logements sociaux ne respectent pas.

Queenie McFarland vit depuis six ans dans cet immeuble réservé aux retraités. Dans son salon, il fait aussi froid qu’à l’extérieur avec une température de -10°C. « Si vous mettez la main le long de cette porte, vous sentez l’air froid qui rentre », observe-t-elle. Elle passe sa journée dans sa chambre où un chauffage d’appoint tourne jour et nuit. « Je mange et je dors dans ma chambre, parce qu’il fait trop froid ici. J’ai mal parfois pour mes oiseaux. » Queenie dit avoir conscience du danger que représente son installation de fortune. « J’éloigne le chauffage des rideaux pour qu’ils ne prennent pas feu, parce qu’une nuit, j’ai senti qu’ils devenaient très chauds. C’est terrifiant ! »

Queenie McFarland n’est pas seule. Certains de ses voisins laissent leur four allumé pour se réchauffer malgré le risque d’intoxication au monoxyde de carbone. D’autres s’installent chez des proches à chaque hiver. Malgré les plaintes d’associations de locataires, des dizaines d’immeubles gérés par, NYCHA, l’office de logements sociaux de New York, sont privés de chauffage.

Le non voyage à New York de Philippe Delerm

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Le non voyage à New York de Philippe Delerm (nouvelobs.com)

Par Dorane Vignando·Publié le 

« New York sans New York » , par Philippe Delerm, au Seuil, en librairie le 4 février.

Peu importe qu’il y fasse beau ou le niveau des restrictions sanitaires, le « New York sans New York » de Philippe Delerm, publié au Seuil ce 4 février, est une exploration fantasmée de Big Apple. Mieux que la vraie ?

Comment parler d’une ville que l’on ne connaît pas ? Guider un lecteur dans New York… alors que l’on n’y a jamais mis les pieds ? Le romancier Philippe Delerm apporte une réponse pleine de verve et de passion, en composant ce recueil de textes courts sur la Grosse Pomme.

Et il assume : « Tant mieux si je ne la vois pas. Je l’invente et je la deviens. » Il ne verra jamais la skyline de Manhattan, le pont de Brooklyn ou les trottoirs bigarrés du Bronx… Qu’importe : il livre un vibrant hommage de cette « ville absolue », qu’il peint comme une toile abstraite pour mieux la préserver de la réalité.

Plongeant dans ses souvenirs d’enfance et d’adolescence, il croque la métropole au travers de cartes postales jaunies, de livres de photos où les gratte-ciel filent à la verticale tel un coup de poing levé vers le ciel, d’une pochette de disque de Simon and Garfunkel à Central Park, des scènes de « West Side Story »,tournées dans le quartier de San Juan Hill, de la patinoire sur la 62e Rue, aperçue dans « Love Story ».

Tel un chauffeur de taxi jaune, Philippe Delerm nous entraîne dans les méandres du Lower East Side, où les bobos ont remplacé les toxicos ; au Madison Square Garden, pour assister à un combat de boxe ; à Greenwich Village, pour dévorer des sandwichs au pastrami – que l’écrivain ne goûtera jamais… mais dont il connaît les meilleures adresses.

A nos côtés, sur la banquette arrière, viennent s’asseoir Cassius Clay, Jack Kerouac, Woody Allen ou Paul Auster. Mais Philippe Delerm ne déroule pas un simple roman-photo. A force de la lire, de l’imaginer, de l’écouter, de la regarder, de la caresser au fond de son esprit, son New York d’éternité prend réellement corps.

Un mystère alors qu’un cube d’or d’une valeur de 11,7 millions de dollars « apparaît » dans Central Park à New York – et il a ses propres gardes de sécurité

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Un mystère alors qu’un cube d’or d’une valeur de 11,7 millions de dollars « apparaît » dans Central Park à New York – et il a ses propres gardes de sécurité – News 24 (news-24.fr)

posté par Delmary delmar

Un cube d’or MYSTERIEUX d’une valeur estimée à 11,7 millions de dollars est apparu mercredi matin dans Central Park à New York, accompagné de son propre service de sécurité.

Le cube, composé de 186 kilogrammes d’or pur 24 carats, a été déployé devant un bandshell enneigé de Naumburg à 5 heures du matin entouré de photographes et d’officiers du NYPD.Le cube de Castello à Central Park mercredi

Le bloc nécessitait des températures de plus de 2 000 Fahrenheit pour être coulé

L’artiste Niclas Castello et sa femme Sylvie Meis

Le bloc d’or creux est la création de l’artiste allemand Niclas Castello, âgé de 43 ans, qui l’a baptisé « Castello Cube ».

L’œuvre de 410 livres n’est pas à vendre mais a été utilisée comme publicité pour le lancement de la crypto-monnaie d’accompagnement, la Castello Coin.

L’équipe de Castello a déclaré à ArtNet que le cube avait été fabriqué dans une fonderie à Aarau, en Suisse.

Il aurait été coulé à l’aide d’un four spécial fait à la main, car la taille et le volume de l’or utilisé nécessitaient des températures de fusion extrêmes.

Pour que tout l’or soit fondu, le four devait atteindre une température supérieure à 2 000 degrés Fahrenheit.

Il a ensuite été refondu en un cube mesurant plus d’un pied et demi.

Le cube de Castello a une épaisseur de paroi d’environ un quart de pouce.

L’épouse de Castello, Sylvie Meis, a posté des photos sur son Instagram du grand dévoilement de l’œuvre d’art.

« 24k MAGIC », a-t-elle légendé une photo d’elle-même agenouillée dans la neige à côté du cube.

Certains téléspectateurs n’ont cependant pas été impressionnés.

« C’est assez simple », a déclaré l’agent de sécurité privé Jamel Rabel au New York Times.

Un autre regard a admis que « les reflets sont incroyables et que « le mettre là dans la neige semble vraiment inspiré ».

ART ET CRYPTO

Catello’s Cube n’est resté dans le célèbre site touristique que quelques heures avant d’être expédié au centre-ville vers l’exclusif Cipriani Wall Street pour un dîner privé.

« Avec la star de la soirée », a écrit Meis, mannequin et personnalité de la télévision, avec une vidéo d’elle admirant le cube dans une robe dorée assortie.

Castello a présenté le bloc comme une sculpture « socle du monde » (base du monde).

Il a déclaré à ArtNet qu’il s’agissait « d’une œuvre d’art conceptuelle sous toutes ses facettes » et qu’il avait voulu « créer quelque chose qui est au-delà de notre monde, qui est intangible ».

« Le cube peut être considéré comme une sorte de communication entre un écosystème culturel émergent du XXIe siècle basé sur la cryptographie et le monde antique où l’or régnait en maître », a ajouté la galeriste viennoise Lisa Kandlhofer à ArtNet.

La pièce Castello est échangée sous le nom de $ CAST et s’entraîne à un prix initial de 0,44 $.

Le cube avait été annoncé comme une œuvre unique dans une vie.

L’équipe de l’artiste a déclaré au New York Times qu’il avait vendu en privé suffisamment de pièces pour financer le projet de cube.

Le 21 février, le lancement de la pièce sera suivi d’une vente aux enchères NFT.

On ne sait pas où Catello’s Cube ira après son excursion d’une journée à Central Park.

Retour sur l’histoire de l’Empire State Building

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Retour sur l’histoire de l’Empire State Building (culture-commune.fr)

L’Empire State Building est un gratte-ciel emblématique qui vaut bien sa notoriété. Une visite vous permettra d’accéder à l’un des plus beaux panoramas de New York. Si vous voulez en savoir plus sur l’Empire State Building, vous trouverez de précieuses informations dans cet article. Découvrez également nos conseils pour planifier la visite de l’Empire State Building si vous avez la chance de préparer un séjour à New York.

L’Empire State Building, le gratte-ciel emblématique de New York

L’Empire State Building est l’un des gratte-ciels les plus connus au monde. C’est ainsi une visite incontournable lors d’un séjour à New York. L’Empire State Building est un immeuble au style Art déco situé dans le quartier de Midtown de Manhattan, à New York. Cet immeuble emblématique de New York est niché à l’angle de la Cinquième Avenue et West 34 th Street.

Avec ses deux observatoires, l’Empire State Building offre une vue à couper le souffle sur Manhattan. De jour comme de nuit, vous aurez envie que le temps s’arrête devant la vue imprenable qui s’offre à vous.

Même s’il n’est plus l’immeuble le plus haut de la ville, il vaut toujours un petit détour. Cet immeuble qui compte 102 étages et qui mesure 443 mètres de haut est toujours aussi impressionnant. Pour rappel, il a été le plus haut gratte-ciel du monde entre 1931 et 1967. Il a été dépassé par le World Trade Center, puis a repris sa place du plus haut immeuble après les attentats du 11 septembre en 2001. Depuis 2014, il est à la deuxième place, l’année ou le One World Trade Center a été inauguré.

Cependant, il n’a pas perdu son côté impressionnant grâce à sa beauté et sa notoriété. En effet, c’est un monument que l’on voit sur les cartes postales et que l’on voit dans plusieurs films et séries célèbres, pour ne citer que le classique « King Kong » de 1933. Aujourd’hui encore, il est visité par des millions de personnes chaque année, d’où l’intérêt de bien planifier sa visite.

L’histoire de l’Empire State Building

Au-delà de son côté majestueux, l’Empire State Building se démarque aussi par son évolution. L’un des faits les plus impressionnants sur l’histoire de l’Empire State Building, c’est qu’il a été construit en un temps record.

En 1929, John Jakob Raskob, fondateur de General Motors et de l’Empire State Inc., a procédé à l’achat de la parcelle de propriété à 34 th Street et Fifth Avenue où se trouvait le glamour Waldorf-Astoria Hotel. Ce dernier fut démoli quelque temps après. C’est en 1930 que John Jakob Raskob choisit la compagnie d’architectes Shreve, Lamb and Harmon pour concevoir les plans de son gratte-ciel : l’Empire State Building.

La construction était dirigée par Starrett Brothers and Eken, et supervisée par Alfred E. Smith, ancien gouverneur de l’État de New York. Le budget prévu pour la réalisation du projet était de 40 948 900 $, mais avec le krach boursier de 1929, les dépenses n’ont pas dépassé 24 718 000 $.

Sa construction a débuté en mars 1930 et l’immeuble a été inauguré le 1er mai 1931. Le défi de construire le gratte-ciel en 18 mois a été relevé, car les travaux ont été achevés plus tôt, en seulement 1 an et 45 jours.

Dès l’achèvement des travaux, l’Empire State Building est parmi les symboles les plus célèbres de New York. Pour construire cet immeuble en un délai si court, pas moins de 3 400 ouvriers ont dû se relayer pour assurer un travail sans interruption, 7jours/7, de jour comme de nuit. L’effort était considérable, car 4 étages et demi étaient construits chaque semaine.

En 1986, l’Empire State Building est sacré monument national historique (Landmark) par le Département de l’Intérieur des États-Unis. Le sommet de l’Empire State Building est illuminé par des projecteurs dont les couleurs varient selon les différents événements qui se passent à New York ou dans tous les États-Unis (commémorations, fête nationale, marathons…).

Si l’Empire State Building compte 102 étages, seuls 85 d’entre eux sont occupés par des bureaux. Le 86e étage est réservé à l’observatoire, profitant d’un panorama à 360°. Le reste, c’est-à-dire les 16 étages restants, constitue la fameuse flèche qui caractérise l’immeuble. Notez toutefois que le 102e étage est aussi ouvert au public comme plateforme d’observation.

Planifier la visite de l’Empire State Building

Idéalement situé à Manhattan, l’Empire State Building offre un panorama exceptionnel et donne une vue à couper le souffle sur New York. Ce gratte-ciel emblématique est doté de 2 plateformes d’observation qui sont ouvertes au public tous les jours de la semaine. Pour bien planifier votre visite, il est conseillé de réserver votre billet à l’avance. Pour ce faire, plusieurs options s’offrent à vous, à savoir :

  • le ticket simple pour l’Empire State Building,
  • le billet double entrée,
  • le New York City PASS pour deux entrées (jour et nuit),
  • le ticket express ou VIP.
  • Vous avez donc le billet simple qui vous permet de réaliser une seule visite et le billet double avec lequel vous pouvez faire deux visites en une journée. L’intérêt du billet double entrée, c’est que vous pouvez faire une visite au cours de la journée, et revenir le soir pour admirer la vue sur Manhattan le soir.

Le pass coûte plus cher, mais avec ce ticket, vous pouvez accéder à des incontournables de New York comme la statue de la Liberté, le Top of the Rock, le Metropolitan Museum et bien entendu l’Empire State Building…

Notez que le ticket express est bien plus cher que le billet standard alors qu’en réalité, il n’y a pas de réelle différence avec les autres tickets. Ce billet ne vous fera gagner que quelques minutes d’attente, une fois sur place.

Vous devez savoir qu’il y a deux files d’attente sur place, l’un pour l’achat de tickets, et l’autre pour le contrôle du billet (pour ensuite accéder aux contrôles et à l’ascenseur). La file la plus importante et donc l’attente la plus longue se trouvent à l’achat de billets. Ainsi, si vous avez déjà un ticket, vous allez pouvoir sauter cette attente et passer directement au contrôle des pass. Ainsi, quel que soit le billet que vous achetez, vous allez gagner beaucoup de temps, car vous n’aurez pas à faire la queue sur place. La seule différence du ticket express ou VIP, c’est qu’il permet également de sauter cette file d’attente et de commencer directement la visite.

Quel billet acheter pour visiter ce monument ?

Si vous êtes impatient de nature, ou que votre séjour à New York est très court, le ticket express est à privilégier. Par contre, si vous voulez économiser (ce genre de billet coûtant beaucoup plus cher que les standards), notez que l’attente au contrôle des billets n’est généralement pas aussi longue que l’on peut le penser.

Si vous êtes à New York pour la première fois, optez pour le New York City Pass qui vous permettra un accès aux sites célèbres que vous ne devez pas manquer lors de votre passage. Vous allez pouvoir faire de belles économies et éviter d’avoir à acheter des billets à chaque fois (perte de temps avec les longues files d’attente). Enfin, si vous n’envisagez pas de visiter d’autres incontournables de New York, vous pouvez très bien vous contenter d’un billet standard, simple ou double selon vos préférences.

En tout cas, il est toujours conseillé de comparer les différentes offres avant d’acheter vos billets. En effet, des écarts de prix assez importants peuvent exister alors qu’il n’y a pas une grande différence, une fois sur place.

Les horaires de visite de l’Empire State Building

L’Empire State Building est ouvert aux visites tous les jours, y compris les weekends et les jours fériés. Il est ouvert de 8 h à 2 h du matin. Notez que ces horaires d’ouverture de l’Empire State Building sont les mêmes tous les jours de l’année et quelle que soit la saison, ce qui rend plus facile la planification de vos différentes visites.

Notez toutefois que si l’Empire State Building ferme ses portes à 2 h, le dernier ascenseur qui permet d’accéder à la plateforme d’observation est à 1 h 15 (c’est-à-dire 45 minutes avant la fermeture). Il ne faut donc pas rater ce dernier ascenseur.

Quand vous ferez l’achat de votre billet pour l’Empire State Building, choisissez bien la date. Quel que soit le type de billet que vous achetez et peu importe le site sur lequel vous l’achetez, l’heure est toujours libre. Ainsi, le jour J, vous pouvez aller à l’Empire State Building à n’importe quelle heure (entre 8 h et 1 h 15). Comme vous aurez déjà votre ticket, vous n’aurez pas à faire la queue pour la billetterie. Vous pouvez passer directement au contrôle des tickets. Si vous faites votre achat en ligne, il est inutile d’échanger votre confirmation contre un ticket papier sur place.

10 lieux à voir absolument à New York

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10 lieux à voir absolument à New York – Geo.fr

FABIENNE HABERTHUR Publié le 04/02/2022 à 7h23

Que faire à New York en un grand week-end ou une semaine ? Des incontournables, comme Times Square ou la Statue de la Liberté, aux attractions moins connues, il y a toujours de quoi s’occuper, de jour comme de nuit, dans la ville qui ne dort jamais.

Manhattan concentre la plupart des attractions touristiques, et en premier lieu, les grands musées comme le Met, le Guggenheim et le Moma. Faites aussi un tour dans le quartier de Wall Street, en passant par les salles de spectacles de Broadway. Mais gardez un peu de temps pour les quatre autres arrondissements de la ville appelés les « boroughs » : Brooklyn, Queens, Bronx et Staten Island qui sont à voir également.

Midtown

C’est le au cœur de Manhattan et le quartier des affaires. À voir : le Chrysler Building et le Rockefeller Center et les grands magasins de la 5ème avenue. Au moment des fêtes, les vitrines et les décorations sont fantastiques.

Central Park

Véritable poumon de la ville, avec ses 340 hectares, c’est le plus grand parc de New York. Des attractions telles que la patinoire Wollman, le Central Park Carousel et Zoo ou le Delacorte Theater vous y attendent. On s’y promène en calèche, à pied ou à vélo.

Lower Manhattan

À partir de la 14e rue, c’est la zone qui concentre quelques-uns des quartiers les plus tendances de la ville, comme Soho, Noho, Nolita et Tribeca. On y trouve une multitude de petites boutiques de mode et de déco branchées. Lower Manhattan abrite également les fameux quartiers de Little Italy et Chinatown.

L’Upper West Side

À l’ouest de Central Park, ce quartier artistique et intello abrite les grandes institutions culturelles dont le Lincoln Center et l’American Museum of Natural History, le plus grand musée d’histoire naturelle au monde avec sa collection de 33 millions de pièces et son squelette du tyrannosaure long de 37 mètres.

Le Lower East Side

Cette zone située au sud-est de Manhattan a été bâtie par des immigrés européens arrivés au XIXe siècle. On peut en découvrir toute l’histoire au Tenement Museum. À ne pas manquer, près du Flatiron Building, Eataly, la plus grande épicerie du monde dédiée à la gastronomie italienne.

Harlem

C’est le dimanche matin que l’on se rend le plus souvent dans ce quartier pour écouter un gospel dans une église. En y allant en soirée, vous y découvrirez une autre ambiance. Harlem, « capitale » du jazz et du blues, regorge de clubs musicaux.

Brooklyn

À la fois populaire, industriel et artistique, le quartier Bushwick, dans le Nord, est en première ligne de cette mutation. Sur Bogart Street et Morgan Avenue ne manquez pas les fresques murales du Bushwick Collective, un groupe décidé à faire du quartier la capitale mondiale du street art.

Le Queens

C’est un arrondissement melting-pot riche de 150 langues. À son extrémité ouest, le parc Gantry Plaza, installé sur d’anciens docks bordés d’immeubles modernes, est équipé de transats en bois orientés vers le fleuve East River et Manhattan.

Le Bronx

Quartier populaire, berceau de la musique Hip-hop, il fut habité par les premiers colons. Il abrite le Yankee Stadium, où jouait l’équipe de baseball des Yankees de New York, un zoo, et le Hall of Fame for Great Americans, premier mémorial du genre.

Staten Island

Souvent confondue avec Liberty Island – où se trouve la Statue de la Liberté – et Ellis Island, Staten Island est l’un des cinq boroughs arrondissements de New York. Peu connue, on la découvre après une traversée d’une trentaine de minutes en ferry. À voir : la maison natale de la photographe Alice Austen et son musée, le Fort Wadsworth, parmi les plus anciennes des États-Unis ou encore le Verrazano Bridge, le pont qui relie Staten Island à Brooklyn d’où s’élance le marathon de New York.

Play : le premier vol Paris-New York partira le 9 juin

Par Clément Peltier Le Fév 2, 2022

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Play : le premier vol Paris-New York partira le 9 juin (lechotouristique.com)

Play sera le premier transporteur international à l’aéroport New York Stewart depuis 2019 et le départ de Norwegian.

Play annonce aujourd’hui une nouvelle ligne transatlantique vers l’aéroport international de New York/Stewart (SWF) à partir du 9 juin 2022, portant à trois le nombre total de destinations américaines desservies au départ de la France, avec Boston (BOS) et Baltimore/Washington, D.C. (BWI) qui ouvriront respectivement le 20 avril et le 11 mai. La compagnie opèrera les liaisons au départ de Paris-Charles de Gaulle, à raison de 5 vols par semaine, les lundi, mercredi, vendredi, samedi et dimanche, avec 1h15 de transit à l’aéroport de Keflavik en Islande.

Départ depuis Paris à 15h15 pour une arrivée à 17h35 aux Etats-Unis. Les vols de retour quittent New-York à 18h45 pour se poser le lendemain à Paris à 4h40 (durée de vol moyenne 6h10).

À New York, l’iconique building 50 Rockefeller Plaza se refait une beauté

Par Shivani Vora2 février 2022

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À New York, l’iconique building 50 Rockefeller Plaza se refait une beauté | AD Magazine

Grâce à l’architecte d’intérieur Andre Mellone, la tour emblématique de Dowtown Manhattan incite les salariés de la tour à revenir au bureau.

Avec sa façade saisissante dominée par le panneau en inox de dix tonnes signé du célèbre sculpteur américain Isamu Noguchi, le 50 Rockefeller Plaza est l’un des bâtiments les plus remarquables du complexe Rockefeller Center, composé de 19 buildings. Construite en 1938, la tour Art déco de 16 étages était à l’origine le siège de l’Associated Press : elle compte désormais le cabinet d’avocats Katten et la société CPA Citrin Cooperman parmi ses locataires. 

Au cours des trente derniers mois, les espaces intérieurs du bâtiment ont subi un relifting majeur : la plus grande transformation a eu lieu dans le hall d’entrée, menée par l’architecte d’intérieur brésilien basé à New York, Andre Mellone du Studio Mellone. Le projet fait partie d’une initiative plus large de Tishman Speyer, le propriétaire du Rockefeller Center, pour rendre ses bâtiments commerciaux plus accueillants. Selon un porte-parole, l’initiative date d’avant la pandémie et semble particulièrement prémonitoire dans la mesure où les propriétaires cherchaient des solutions créatives pour donner aux gens envie de revenir au bureau. La nouvelle version du hall d’entrée, avec ses meubles design et sa bande-son, semble remplir sa mission : rendre ces espaces plus seulement fonctionnels, mais conviviaux.

Entrer dans le 50 Rockefeller Plaza revient désormais à pousser les portes d’un boutique-hôtel. Une flagrance de thé blanc et de thym se dégage de l’entrée pendant que joue une playlist de la fameuse radio londonienne NTS. Des meubles de Green River Project et des luminaires en laiton d’Apparatus Studio ajoutent à la sensation de confort, tout comme le tapis d’inspiration Art déco or et vert sombre.

Studio Mellone a mis l’accent sur les détails en laiton, en acier bronze et en terrazzo : les murs sont en calcaire, par exemple, et les pots XXL remplis de magnolias sont des pièces sur-mesure en acier bronze. Les sols brillants en terrazzo noir sont quant à eux parsemés de détails métalliques en laiton vieilli. « J’ai été inspiré par les matériaux originaux du Rockefeller Center, à savoir le calcaire et le laiton », explique Andre Mellone. « Ce complexe est une véritable icône, et l’Art déco s’est imposé naturellement. »