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Face à la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19, la plus grande ville américaine, New York, oblige ses bars et restaurants à fermer à 22H00 dès ce soir. Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés est à son plus haut aux Etats-Unis depuis le début de la pandémie, à plus de 65.000 selon le Covid Tracking Project. Et le virus a fait au moins 242.621 morts dans le pays, selon un décompte de l’université Johns Hopkins.

Quelques Etats et villes ont aussi recommencé à inciter leurs habitants à rester chez eux. Telle Chicago – troisième ville la plus peuplée des Etats-Unis – qui a demandé jeudi à ses 2,7 millions d’habitants de rester à la maison, sauf pour se rendre au travail, à l’école ou pour quelques activités essentielles, sans que la mesure soit coercitive.

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Coronavirus – Face à la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19, New York oblige ses bars et restaurants à fermer à 22H00 dès ce soir

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Face à la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19, la plus grande ville américaine, New York, oblige ses bars et restaurants à fermer à 22H00 dès ce soir. Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés est à son plus haut aux Etats-Unis depuis le début de la pandémie, à plus de 65.000 selon le Covid Tracking Project. Et le virus a fait au moins 242.621 morts dans le pays, selon un décompte de l’université Johns Hopkins.

Quelques Etats et villes ont aussi recommencé à inciter leurs habitants à rester chez eux. Telle Chicago – troisième ville la plus peuplée des Etats-Unis – qui a demandé jeudi à ses 2,7 millions d’habitants de rester à la maison, sauf pour se rendre au travail, à l’école ou pour quelques activités essentielles, sans que la mesure soit coercitive.closevolume_off

« Il est fortement conseillé aux habitants de ne recevoir aucun invité à leurs domiciles, d’annuler les fêtes traditionnelles de Thanksgiving, et d’éviter de voyager », indique le texte publié par la ville de Chicago.

Plus de 10.000 nouveaux décès liés au nouveau coronavirus ont été enregistrés en 24 heures, dans le monde mercredi, selon le comptage réalisé par l’AFP jeudi à 11H00 GMT.

Pour aller sur le site de l’article

https://www.jeanmarcmorandini.com/article-442321-coronavirus-face-a-la-deuxieme-vague-de-l-epidemie-de-covid-19-new-york-oblige-ses-bars-et-restaurants-a-fermer-a-22h00-des-ce-soir.html

1 jour une photo

30 décembre 2010, on vient de déposer les valises à l’hôtel, on n’a pas sommeil, on part à l’aventure et on arrrive à Times Square. Du bruit, des lumières, la foule, des publicités, des magasins, moi qui aime les villes historiques, ce n’est pas mon truc et pourtant je reste bouche bée devant le spectacle et je tombe de suite amoureux de New York, c’était il ya 10 ans et je suis encore amoureux….

New York mania, un indispensable pour les amateurs

Pour voir l’article

On dit souvent que la littérature peut nous faire voyager et c’est d’autant plus vrai avec New York mania, le carnet de voyage d’Elisabetta Cirillo illustré par Monica Lovati. Omniprésente dans la pop-culture et l’imaginaire collectif, New York fait rêver ou enrager c’est selon, mais grâce à ce très beau guide, vous en apprendrez plus sur ce qui fait la ville, ce qui passionne ses habitants et les endroits à ne pas manquer lors de votre prochaine visite dans la Grosse Pomme.

Savez-vous pourquoi de la fumée s’échappe des plaques d’égout de la ville ? Avez-vous déjà visité la station de métro qui se cache sous Manhattan ? Où se trouvent les meilleures librairies ? Où manger les meilleurs hamburgers de la ville ?

Tout cela et bien plus encore, vous l’apprendrez en lisant New York mania.

Une mine de conseils

Le livre est structuré en plusieurs sections comme à savoiroù se promener ou encore New York par quartier, ce qui permet au lecteur de naviguer facilement dans l’ouvrage et sélectionner les informations dont il a réellement besoin, que ce soit pour en apprendre plus sur la ville ou préparer son futur voyage. En effet, l’autrice consacre à chaque sujet une double page richement illustrée, avec une explication du phénomène et de nombreuses adresses insolites pour vous faire votre propre idée. Dès lors, que vous soyez amateur de théâtre, fan de série TV ou gourmet, ce guide vous donnera les clés pour assouvir votre passion dans la ville qui ne dort jamais.

Loin des clichés que chacun peut avoir sur la ville, New York mania vous emmènera en voyage dans une ville à part, loin des lieux habituellement conseillés aux touristes, et plus important encore, vous aidera à comprendre ce qui fait le quotidien de ses habitants, avant peut être que vous vous lanciez dans l’aventure, et tentiez de devenir un vrai New-yorkais vous-même.

*11 novembre 2020 Vincent Penninckx BDLivres divers 0

Lundi Librairie : Carnets de New York – Paolo Cognetti

By Caroline Hauer At novembre 09, 2020  0

En 2003, Paolo Cognetti a vingt-cinq ans lorsqu’il se rend à New York pour la première fois. Le coup de foudre est immédiat. Il a l’éclat des belles évidences. Attiré tout d’abord par les quartiers emblématiques retiennent, il se prend rapidement d’affection pour les lieux empreints l’histoire, parfois abandonnés, les anciennes zones industrielles, les usines désaffectées, les terrains vagues. Jusqu’en 2006, il multiplie les séjours professionnels dans la Grosse Pomme en tant que réalisateur d’une série documentaire au sujet de la littérature américaine. Puis happé par sa passion naissante, il ne cessera de revenir arpenter les rues de la ville, crayons et carnets en poche. Publiés en 2010 en Italie sous le titre « New York è una finestra senza tende » aux éditions Laterza, ces récits d’escales à la rencontre de la cité l’entraînent sur les pas de ses auteurs fétiches. Les textes de ses flâneries sont ponctués de nombreuses citations puisées dans leurs œuvres.  
Paolo Cognetti se glisse dans l’ombre de ses maîtres en littérature, Walt Whitman, Herman Melville, Truman Capote, J-D Salinger, Jack Kerouac mais également les contemporains comme Colson Whitehead. Par association, il découvre le Manhattan des gratte-ciels, le Brooklyn des écrivains, le Queens, les rives de l’Hudson et de l’East River. Il se penche particulièrement sur les quartiers populaires où les vagues successives d’immigration ont formé des creusets de civilisations. Au fil de ses promenades, Paolo Cognetti acquiert une connaissance intime de la ville qu’il fait matière littéraire. Il capte la poésie de cette mégalopole, saisit au vol les facettes méconnues, scruter l’évolution des endroits devenus familiers, s’interroge sur leur passé, leur devenir.
Né à Milan en 1979, Paolo Cognetti, auteur de recueils de nouvelles, d’un récit de voyage, était plutôt connu pour son goût de la solitude et son attrait pour les hauts sommets, l’Himalaya, Metan, Val d’Aoste. « Les Huit Montagnes » son premier roman est lauréat du prix Médicis étranger 2017, prix François Sommer et Premio Strega l’équivalent du prix Goncourt en Italie. Dans ces « Carnets de New York », l’élégance d’une plume alerte, poétique, s’associe au récit intimiste. Cicérone inspiré, il traduit en mots la fascination qu’il éprouve pour la ville. Il nous parle de chaleur humaine par le biais d’anecdotes amusantes, touchantes, révélant un sens de l’observation aigu. La sobriété de son écriture ciselée, style alerte et précis, rend compte des contrastes d’une cité si dépaysante vu d’Europe, variations nuancées qui célèbrent l’altérité, volupté de la langue, richesse des descriptions. Au gré de ses randonnées urbaines, il a dessiné neuf cartes pour illustrer son propos et incarner sa géographie très personnelle de cette ville.
Depuis le Ozzie’s Coffe Shop où il écrit, Paolo Cognetti embrasse la fantaisie d’une New York polymorphe, véritable kaléidoscope multiculturel. Il arpenter les rues de la ville qui ne dort jamais pour nous conter les liens noués, il a un faible pour les anti-conformistes, les rencontres inattendues. Les nouveaux amis se comptent parmi la diaspora italo-américaine comme Bob son logeur, qui a appris l’italien dans les livres d’Alberto Moravia et les chansons de Jimmy Fontana sans jamais avoir visité la terre de ses ancêtres. Les jeudis sont dédiés à la pizza. Les traditions américaines parfois le laissent sur le carreau, comme le loupé d’un Thanksgiving fêté en solitaire ou bien lui font vivre la carte postale tel ce compte à rebours de la nouvelle année à Times Square. C’est un bonheur rare de suivre Paolo Cognetti dans ses virées.
Carnets de New York Paolo Cognetti – Editions Stock Collection La Cosmopolite 

un autre avis sur Manhattan Marilyn

https://www.babelio.com/livres/Ward-Manhattan-Marilyn/847719/critiques?tri=dt&fbclid=IwAR0t1iB18RiDQceLVDut2pfTCLoRiTFiG3Lr6wEmbAhBZekCv-uDMfH3GNU


Regis80   08 novembre 2020
★★★★★★★★★★Phillipe Laguerre est également connu sous le nom de Phillipe Ward¸un nom qui fait tilt aux amateurs de littérature de l’imaginaire. Citons au hasard « La Fontaine de Jouvence » chez Rivière Blanche et sa série « Lasser, détective des dieux » chez Critic, cosignée avec Sylvie Miller qui obtînt le prix de l’uchronie en 2013.
Mais il a nous a également déjà régalé de polars dont le très recommandé « Dans l’antre des dragons ».
Nous avons ici affaire à un thriller qui nous emmène à New York, une des passions de l’auteur. Je me contenterais de renvoyer le lecteur à sa série d’anthologies « Dimension New York » chez Rivière Blanche ou il nous fait partager sa passion à travers le prisme de l’imaginaire avec l’aide de la fine fleur de la science-fiction française.
Ce n’est pas la première fois que l’auteur nous emmène dans la Grosse Pomme par le biais d’un polar. « Manhattan Ghosts » illustré par de magnifiques photos en était déjà la preuve et c’était un coup de maître.
Eh bien, cette fois-ci , c’est mieux. L’auteur a inclus dans son intrigue, une bonne dose d’histoire secrète qui sans alourdir son histoire en versant dans le complotisme, nous prend à lag orge et nous emmène jusqu’à la fin. Difficile de lâcher le roman et aussi une folle envie de vérifier les fondements historiques du récit de l’auteur !
Et c’est important ! Comme quoi la littérature populaire vous ouvre à la curiosité !
Le pitch de ce livre ?Kristin Arroyo, ancienne marine en Irak découvre dans les documents de son grand-père décédé, de troublants photos de Mariyn Monroe. Elle ne sait pas qu’elle va être embarqué dans un engrenage mortel.. On se retrouvera dans une uchronie qui plaira aux amateurs du genre.
La mort de Marilyn est l’une des théories complotistes les plus répandues mais la façon dont Phillipe Laguerre-Ward l’utilise est plutôt originale. Il égare le lecteur ( et ses héros) sur nombre de fausses pistes et la conclusion est plutôt surprenante.
Son style clair, incisif et une écriture fluide n’est pas pour rien pour faire de ce roman un véritable turn-over.
Les personnages ne sont pas stéréotypés . Kristin est loin de répondre à l’image du vétéran en retraite paumée. Elle est combattive met séduisante mais fragile et Phillipe Laguerre nous la campe avec empathie et beaucoup de couleur. de même, les autres personnages comme ceux du photographe curieux et du milliardaire sont intéressants par leur évolution même. Sympathiques au départ mais apparemment peu concernés par les événements extérieurs, ils en arriveront à risquer leur vie et l’auteur nous rend très crédible cette évolution.
Le camp des méchants est bien( ?) décrit et l’auteur en profite pour pousser un cri de colère contre certains groupes bien connus gravitant autour du pouvoir que dénonçait déjà Eisenhower lorsqu’i quitta le pouvoir.
Les passages du livre où sont racontés ces agissements sont les plus effrayants du livre. Et l’on est probablement, hélas pas loin de la vérité.
On y ajoutera pour l’aspect social, la révolte dont l’auteur se fait l’écho au début du livre . Quand à la situation des vétérans devenus SDF, elle fait l’objet de pages hallucinantes et nous ramène à la réalité de ces Etats-Unis.
Enfin, le personnage principal de l’auteur c’est encore et toujours New York ; Son amour pour cette vile transpire à chaque page et j’en serais presque à vous recommander d’emmener ce livre avec vous dés que vous poserez le pied à New York. Mettre les pieds dans les pas des héros vous fera plonger au coeur de la vile-monde.
On l’a compris c’est un sacré bouquin que l’auteur nous offre ! Dans la ligne directe de « Manhattan Ghosts » ,pour lequel l’auteur se permet un clin d’oeil dans les dernières lignes.. Une suite en préparation ? On l’espère !

New York au cinéma

par Bernard Pichon | Nov 5, 2020 | ActualitésAmérique – NordCulture

Pour lire l’article

https://www.pichonvoyageur.ch/new-york-au-cinema/

De nombreux films célèbres ont beaucoup contribué au succès touristique de la mégapole. Certaines images font figure d’archives, notamment celles incluant le World Trade Center.

« Quelque part, là-bas, très loin, New York la démente, la ténébreuse, vomissait son nuage de fumées et sa vapeur brune ». Jack Kerouac / Sur la route : Le rouleau original

Faut-il qu’elle soit photogénique pour que la Grosse Pomme ait servi de décor à autant de films sur petit ou grand écran (même si certains quartiers d’autres mégapoles – Toronto, en Particulier – ont figuré NYC dans certaines productions). En voici quatre, parmi d’autres.

Vous pouvez désormais acheter l’un des cinq penthouses de luxe conçus par Aston Martin à New York

Pour lire l’artcile

https://www.gqmagazine.fr/lifestyle/article/vous-pouvez-desormais-acheter-lun-des-cinq-penthouses-de-luxe-concus-par-aston-martin-a-new-york

par David Smiedt6 novembre 2020

Un penthouse Aston Martin ? Si nous devons attendre un peu plus longtemps que prévu pour découvrir Mourir peut attendre, le dernier James Bond, vous pourriez déjà vivre une vie à la James Bond. Curieusement, à Manhattan et non à Londres. Dans le gratte-ciel de 66 étages, la marque britannique a collaboré avec le célèbre architecte Sir David Adjaye pour cinq résidences ; trois loggias et deux penthouses. Comme pour les moteurs, il s’agit d’un ensemble de lignes fluides et de finitions très luxueuses

. Le prix : cinq millions de dollars et, bien sûr, un SUV DBX Aston Martin, en édition spéciale, est inclus. Passons donc à l’intérieur pour prendre un martini, voulez-vous ?

Les principaux matériaux utilisés ici sont un parquet en chêne blanc, des luminaires en bronze conçus sur mesure par Adjaye et du marbre extrait des Alpes Apuanes. C’est l’Italie !

Situé aux 50e et 60e étages du bâtiment, l’idée est de vivre dans les nuages, de sorte que les fenêtres vont naturellement du sol au plafond et sont encadrées par les arcs qui font la réputation du bâtiment. Ici, vous en avez pour votre argent. Les meubles proviennent directement de la Aston Martin Home Collection et la cuisine est une Gaggenau. Même les toilettes, avec leur marbre et leur bois strié, sont très chics.

L’homme derrière la vision

Né à Dar Es Salaam, en Tanzanie, David Adjaye a passé son enfance à flâner à Kampala, Nairobi, Le Caire, Beyrouth, Accra et Djeddah – pour n’en citer que quelques-uns – en tant que fils de diplomate. Selon le site web de son entreprise, “son plus grand projet à ce jour, le Musée national de l’histoire et de la culture afro-américaines de Washington, a ouvert ses portes en 2016 et a été nommé événement culturel de l’année par le New York Times”. En 2017, Adjaye a été fait chevalier par la reine Elizabeth II et a été reconnu comme l’une des 100 personnes les plus influentes de l’année par le magazine TIME

Via G