En pleine pandémie, Angelina célèbre pour ses incontournables tea time et pâtisseries pose ses valises dans la ville américaine et a inauguré son espace le 16 novembre dernier.

Elles sont connues à travers le globe, les pâtisseries Angelina. Le salon de thé imaginé par l’Autrichien Anton Rumpelmayer en 1903 a été un repaire chic de la Belle Epoque où se bousculaient mondains et élégants avides de sucreries et pâtisseries. Depuis, Angelina est devenue une pierre angulaire de la capitale où aiment se presser les mêmes amoureux du sucré pour acheter les goûters cultes de la maison comme le Mont-Blanc. 

C’est donc à New-York, près de Bryant Park qu’Angelina décide de vendre ses douceurs au public américain. Le concept du salon de thé est ancien en Amérique et s’est décliné depuis sous sa forme la plus urbaine et connue, à savoir le coffee shop. Eater nous apprend que la boutique new-yorkaise devait être inaugurée en septembre dernier, un retard pris à cause de l’épidémie de Covid-19. Ce n’est évidemment pas la première location étrangère en inauguration pour Angelina puisque les salons de thé se comptent au Moyen-Orient ou encore au Japon.

Eater détaille le lieu qui s’étend sur pas moins de 3000m2, une pâtisserie géante où se côtoie également une salle à manger et un salon de thé où est servi l’iconique chocolat chaud de la maison. La vente à emporter est évidemment disponible et une offre de snacking est également au menu, disponible sur ce lien. 

Angelina appartient au groupe Bertrand, groupe majeur de la restauration en France, qui compte dans son portefeuille notamment le Procope à Paris, La Coupole, L’Alsace pour n’en citer que quelques-uns… Le groupe gère également 45 enseignes réparties dans 5 divisions distinctes : Luxe, Grandes brasseries parisiennes, Restaurants parisiens, Enseignes & réseaux ainsi que Concessions & événementiel.

Par L’Obs avec AFPPublié le 24 novembre 2020 à 10h25 Mis à jour le 24 novembre 2020 à 12h25

Washington (AFP) – Le premier et unique maire noir de New York, David Dinkins, est décédé à l’âge de 93 ans, ont rapporté mardi les médias américains.

Ce démocrate avait été maire de New York de 1990 à 1993 après l’avoir emporté face à Rudy Giuliani et Edward Koch.

Son mandat avait été marqué par des troubles à caractère racial et antisémite, notamment en 1991 à Crown Heights, dans l’arrondissement de Brooklyn, et la mort d’un étudiant juif.

David Dinkins, qui avait hérité d’une ville frappée par le racisme, la pauvreté et la violence, avait essuyé à l’époque de nombreuses critiques pour son incapacité présumée à assurer ses fonctions.

Né en 1927 à Trenton, dans le New Jersey (nord-est), il est décédé de mort naturelle à son domicile moins de deux mois après le décès de son épouse Joyce, a rapporté le New York Times.

Dans une ville sous tension, en avril 1989 cinq jeunes avaient été accusés à tort pour le viol et les blessures infligées à une joggeuse blanche de 28 ans, Trisha Meili, à Central Park. Ils avaient porté plainte contre la ville de New York et obtenu réparation.

Quelques mois plus tard, un adolescent noir, Yusuf Hawkins, avait été tué par un groupe de jeunes blancs à Brooklyn.

Un million de New-Yorkais recevaient à l’époque des allocations pour survivre et un millier de meurtres étaient enregistrés chaque année à New York. Le crack avait débarqué dans la ville et faisait des ravages.

David Dinkins a été à la tête de l’une des mairies les plus ouvertes de l’histoire de New York, incluant de nombreuses femmes, le premier Portoricain à la tête des pompiers de la ville et un psychiatre noir ouvertement homosexuel comme responsable de la santé mentale.

Connu pour ses costumes raffinés et sa politesse, M. Denkins était considéré « trop gentil » pour tenir et diriger une ville comme New York.

Défait aux élections municipales par Rudy Giuliani après un seul mandat, M. Dinkins avait déclaré: « Mes amis, ce que nous avons fait a été historique. Personne ne peut nous l’enlever ».

Par urban – 22 novembre 2020

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La fête échangiste souterraine de New York interrompue par les adjoints du shérif | People (urban-fusions.fr)

Un groupe de fêtards de sexe libre d’esprit ont eu leur bon temps écourté par les flics dans la Big Apple – un contraste intéressant avec une autre tentative de buste de New York qui a mal tourné.

Le bureau du shérif de New York a fait irruption et a démantelé un club échangiste clandestin tôt dimanche matin dans le Queens … qui aurait accueilli plus de 80 personnes – un gros no-no under Gouverneur Cuomola nouvelle règle de 10 personnes ou moins.

Effectivement, il y avait une rage qui descendait – la musique était explosive et les gens se mélangeaient et buvaient de l’alcool, qui, selon le bureau du shérif, était illégalement servi. Oh, et il y avait aussi des gens qui faisaient des whoopee … tous ensemble.

Les flics disent avoir trouvé trois couples en train de faire l’amour dans une petite pièce – apparemment, ce joint échangiste – qui passe par Caligula, de tous les noms – a des services pour cela si vous cherchez à vous occuper. Le bureau du shérif a même pris une photo de l’une de ces chambres, plus une liste de prix détaillant les tarifs et ce qui ressemble à une boîte de préservatifs!

Dans l’ensemble, deux organisateurs et un patron ont été accusés de délits – et l’endroit a été vidé. Le NYP rapporte que le directeur a été frappé de nombreuses amendes … qui s’élevaient à environ 16 000 dollars pour avoir enfreint les mesures d’urgence émises par l’État. Le gars aurait également été critiqué pour des infractions liées à l’alcool.

C’est presque un total de 180 par rapport à ce qui s’est passé à Buffalo voisin la nuit précédente – lorsque les adjoints du shérif et les agents de santé du comté ont essayé de faire irruption lors d’une réunion d’affaires chargée pour la fermer, seulement pour être chassé par la foule.

Peut-être que l’équipe du comté d’Erie devrait appeler les garçons de la ville et obtenir quelques conseils sur la façon de gérer ce type de situations. Juste une pensée!