Archives mensuelles : novembre 2016

Des milliers de poissons morts ont mystérieusement recouvert un canal de New-York

Les habitants de Hampton Bays, un quartier de New-York, ont assisté à un spectacle effroyable en ce début de semaine. Des milliers de poissons morts recouvraient en effet le Canal Shinnecock, laissant apparaître des carcasses sans vie sur plusieurs centaines de mètres. Une vision d’apocalypse qui a terrorisé petits et grands qui se demandaient bien quelle pouvait être la raison de cette soudaine vague de poissons nommés Menhaden de l’Atlantique.

Fin du monde ou véritable explication ?

Si les plus religieux y ont vu un signe de fin du monde, les scientifiques chargés de l’affaire ont trouvé une raison un peu plus terre à terre. Non, ces vertébrés aquatiques n’ont pas été victimes d’une volonté divine ou même de déchets industriels. Au contraire, ils ont été privées trop longtemps d’oxygène et comme les mammifères, les poissons ont besoin d’oxygène pour survivre. Selon le New York State Department of Environmental, ces bancs de Menhaden devaient fuir un prédateur et ont échoué dans le canal. Malheureusement, celui-ci a été fermé pour lui nuit ce qui a créé une impasse et les a, au fil du temps, asphyxiés.

La NSA à New York

D’après les révélations de The Intercept, The Long Lines Building à New York n’est pas l’antenne anodine d’AT&T que tout le monde croyait.

Si vous avez déjà visité New York, le bâtiment vous est peut-être familier. Planté en plein cœur du quartier de Manhattan, il s’agit d’un imposant immeuble de béton brut, dépourvu de la moindre fenêtre, digne des plus grandes heures du brutalisme. Jusqu’à peu, on pensait encore que le bâtiment, baptisé The Long Lines Building, n’était qu’une antenne d’AT&T, l’un des plus grands opérateurs téléphoniques et fournisseur d’accès internet américains. Une enquête de The Intercept, qui s’appuie notamment sur des informations fournies par Edward Snowden, vient aujourd’hui contredire cette information –ou, tout au moins, révéler une autre fonction de ce bâtiment.

Car, selon le site d’investigation piloté par Glenn Greenwald, ce grand immeuble de béton abrite, en réalité, une antenne majeure et centre d’écoute de la NSA, l’Agence nationale de la sécurité américaine. Son rôle? Filtrer les communications vers l’international et participer à des opérations de surveillance visant, par exemple, des pays alliés comme la France ou l’Allemagne, mais aussi des organisations internationales comme le Fonds monétaire international ou les Nations unies, ajoute The Intercept.

Résiste aux charges atomiques

Toujours selon les informations du site, le bâtiment, volontairement pensé pour qu’on l’ignore dans le temps malgré sa taille imposante et construit entre 1969 et 1974, serait capable de résister à une charge atomique. Vingt-neuf étages, trois sous-sols, si l’on ignore combien de personnes travaillent effectivement dans cette enceinte, on sait que l’architecte, John Carl Warnecke, prévoyait –outre une autoalimentation en électricité– des espaces de stockage d’eau et de nourriture pour 1.500 personnes. Quant aux appels interceptés, d’après les mémos d’Edward Snowden, pourraient même être écoutés depuis l’intérieur du bâtiment.
Mais alors, que reste-t-il d’AT&T qui était censé occuper ces locaux? D’après les documents publiés par The Intercept, le nom de code «Titanpointe», qui désigne l’immeuble Long Lines, est mentionné à de nombreuses reprises dans des rapports internes de la NSA liés à des opérations de surveillance. Des mentions qui l’associent souvent à «Lithium», un autre nom de code connu pour désigner… AT&T. Une association qui, si l’on regarde quelques années en arrière, n’a rien de bien nouveau.

Les NY Knicks battent Détroit

New York a battu Detroit (105-102), mercredi soir, au Madison Square Garden. Les Knicks ont pu compter sur un excellent Kristaps Porzingis, qui a pour la première fois dépassé la barre des 30 points, avec un match à 35 unités (13/22 au tir), 7 rebonds et 3 passes.
En savoir plus sur http://portail.free.fr/sport/basket/6686296_20161117_porzingis-et-noah-flambent-avec-new-york.html#0xBTxzkhLUR1BULp.99

Si Carmelo Anthony (22 points) et Derrick Rose (15 points) ont également été bons, Joakim Noah, relégué sur le banc lors du dernier match contre Dallas, a bien réagi avec 7 points, 15 rebonds, 3 passes et 3 contres en 25 minutes, tout en limitant Andre Drummond à 15 points et 9 rebonds en 29 minutes.

Les Knicks reviennent ainsi à une victoire d’un bilan équilibré (5-6).

En savoir plus sur http://portail.free.fr/sport/basket/6686296_20161117_porzingis-et-noah-flambent-avec-new-york.html#0xBTxzkhLUR1BULp.99

la rue la plus chère de New York : La 5° avenue

Ce n’est pas un scoop mais…

AFP) – La 5e avenue à New York conserve pour la troisième année consécutive sa place d’artère commerçante la plus chère au monde, devançant Causeway Bay, sur l’île de Hong Kong, et les Champs Élysées à Paris, selon une étude du cabinet immobilier Cushman and Wakefield.

La célèbre rue new-yorkaise avait ravi la première place à sa rivale de Hong Kong en 2014, après deux ans de suprématie de l’artère asiatique.

Les deux quartiers restent largement devant leurs concurrents, avec des loyers moyens respectifs de 29.065 dollars au mètre carré pour New York (soit environ 27.000 euros, au taux de change actuel) et 27.884 dollars par mètre carré pour Hong Kong.

Leurs valeurs locatives sont deux fois plus élevées que celles des autres rues principales partout ailleurs dans le monde, selon un communiqué diffusé mercredi par le cabinet à l’occasion du Mapic, salon de l’immobilier commercial qui se tient cette semaine à Cannes.

Les deux villes enregistrent toutefois cette année un recul, les grandes marques internationales rationalisant leurs parcs de magasins au profit de leurs sites de vente en ligne.

La 5e avenue a ainsi vu le montant moyen de ses loyers commerciaux reculer de 14% par rapport à 2015. C’est la première fois depuis la fin de la crise financière que l’artère new-yorkaise enregistre une telle baisse, souligne Cushman and Wakefield qui prédit que cela va continuer en 2017.

En cause : les marques et distributeurs cotés à Wall Street sont poussés par les marchés dans une course au profit, qui les incite à fermer leur magasins les moins rentables, une tendance qui affecte la plupart des grandes artères commerçantes américaines. De plus, New York connait une période de moindre demande des enseignes pour des points de vente de type « flagship », ces magasins-phares aux surfaces et aux loyers les plus importants.

A Hong Kong, outre l’impact du ralentissement économique, c’est aussi la concurrence du commerce en ligne, particulièrement développé en Chine, qui entraine les distributeurs et les marques à revoir à la baisse leurs stratégies d’implantation commerciale. Les loyers sur Causeway Bay reculent cette année de 15%, après une baisse de 12% l’année dernière.

Les Champs-Elysées de Paris conservent quant à eux leur troisième place mondiale et leur première au niveau européen, avec des loyers moyens de 13.255 dollars/m2 (environ 12.300 euros).

Ce chiffre est stable par rapport à l’an dernier, malgré le recul du nombre de touristes et des paniers moyens dépensés sur la célèbre avenue parisienne, suite notamment aux attentats qui ont frappé la France.

une expo photo sur New York à Paris

New York City – The Wall, 16 novembre 2016 12:00, Galerie RASTOLL

New York City – The Wall la suite
Exposition solo du photographe James Vil
Exposition du 2 au 26 novembre 2016
New York City The Wall, par James Vil, ce sont 261 images en noir et blanc, une invitation à vous balader dans les rues de la Grosse Pomme.

Galerie RASTOLL @Galerie RASTOLL Paris

New York face à la montée des eux

New York (AFP) – La pointe sud de Manhattan submergée. Wall Street anéantie. Et la Statue de la Liberté, son île inondée, seule au milieu des vagues.

C’est le tableau apocalyptique que certains brossent pour New York, symbole de la puissance économique américaine, dans les décennies à venir au vu des dernières projections sur le réchauffement climatique et la montée du niveau de la mer: après 30 centimètres depuis 1900, elle pourrait gagner encore 70 cm d’ici 2050 et 1,80 mètres d’ici 2100.

Un scénario d’Atlantide dont plus personne ne rit depuis l’ouragan Sandy. Le 29 octobre 2012, il faisait plus de 40 morts et paralysait la mégapole américaine, construite sur un estuaire, et bordée d’eau de toutes parts.

« Sandy a complètement changé le débat sur les menaces du changement climatique. Ce n’est plus quelque chose qui se produira peut-être dans 100 ans, loin de chez nous. C’est ici et maintenant », explique Daniel Zarrilli, chargé de la lutte contre le réchauffement à la mairie de New York.

Fort des projections d’un panel sur le changement climatique et d’une soixantaine de collaborateurs, cet ingénieur supervise les travaux pour fortifier New York et ses 850 km de côtes face à la montée des eaux, la multiplication des épisodes pluvieux et le triplement possible du nombre de journées à plus de 32°C.

En aucun cas la ville « ne va battre en retraite », assure-t-il. « New York reste là où elle est. Ca fait 400 ans qu’elle se développe, qu’elle est la porte d’entrée vers l’Amérique! »

La clé, dit-il, est d’ »évaluer les risques dans toute la ville » et « d’investir pour les minimiser ».

De fait, partout, des pointes de Brooklyn ou Staten Island – les plus durement touchées par Sandy – en passant par les grands aéroports du Queens, ou les quartiers de Battery et de Lower East Side au sud de Manhattan, des chantiers sont de fortification sont en cours. Un budget de plus de 20 milliards de dollars a été alloué par la ville, l’Etat et le gouvernement fédéral.

On érige ou renforce des digues, on fortifie les centaines de kilomètres de tunnels et ponts qui permettent aux 8,5 millions de New-Yorkais de circuler, on colmate les brèches dans l’imperméabilité des stations de métro ou des centrales électriques.

Signe qu’un repli sur les hauteurs de Manhattan n’est pas pour demain: personne ne songe à stopper la construction de luxueux gratte-ciels résidentiels dans le nouveau quartier des Hudson Yards, à l’ouest de l’île, même s’ils auront quasiment les pieds dans la rivière Hudson.

Au contraire, c’est dans les nouveaux bâtiments qu’on sera « le plus en sécurité », souligne M. Zarrilli, puisqu’ils respectent les normes de construction renforcées après Sandy.

Ainsi, dans les futurs gratte-ciels, « les installations de chauffage ou d’électricité ne seront plus au sous-sol, mais au 2e ou 3e étage », détaille Steve Cohen, directeur de l’Earth Institute de l’université de Columbia. « On part du principe qu’à un moment, l’eau va atteindre 1, 5, 3 voire 4,5 m de haut ».

Tous ces chantiers engagés « vont prendre du temps », selon cet expert, mais le jeu en vaut la chandelle, la population continuant à augmenter.

Seul un petit coin de Staten Island, le district le moins peuplé de New York, a été abandonné par ses habitants.

Après avoir vu trois de leurs voisins périr et leurs maisons balayées par Sandy, des centaines de résidents de ce quartier d’Oakwood Beach ont accepté un programme de rachat avantageux proposé par les autorités.

Mais « un tel programme est impossible à Manhattan » en raison des prix dans l’immobilier, estime Joe Tirone, agent immobilier qui en fut l’un des artisans.

Par ailleurs, à court terme, les primes d’assurances pourraient exploser dans la mégapole car, selon de nouvelles cartes, les zones inondables devraient quasi-doubler.

Cette augmentation pourrait alors chasser de New York ce qu’il y reste de classes moyennes.

M. Zarrilli demeure pourtant confiant dans « la capacité d’adaptation » des New-Yorkais, qui « nous poussent à en faire plus, plus vite ».

Il se dit convaincu du soutien des élus qui comprennent « la nécessité de penser à long terme » – même si l’élection de Donald Trump, qui pendant sa campagne avait qualifié de « canular » le dérèglement climatique, fait planer sur ce point une incertitude nouvelle…

© AFP
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un livre sur New York et Marilyn Monroe : Manhattan Marilyn

Ils ont parlé de Manhattan Marilyn

Voile le livre

Manhattan Marilyn : un livre sur New York

ActuSF

Actu SF parle de Manhattan Marlyn

Galaxies

Galaxies par de Manhattan Marilyn

Bertrand Campais

un lecteur parle de Manhattan Marilyn

La yozone

yozone parle de Manhattan Marilyn

Tiens t’aura du bouqin

tiens t’aura du bouquin parle de Manhattan Marilyn

La gazette ariégeoise

La gazette ariégeoise parle de Manhattan Marilyn

The imaginairum

Une nouvelle critique de Manhattan Marilyn

L’oeil cannibale

une autre critique de Manhattan Marilyn

Azinat

un roman sur New York

Daily Book

Une critique de Manhattan Marilyn

La tête en noir

La tête en noir parle de Manhattan Marilyn

Culture chronique

Un avis sur Manhattan Marilyn

Henri Bademoude

Henri Bademoude parle de Manhattan Marilyn

La dépêche

Un roman sur New York : Manhattan Marilyn

Klibre & Laurent Greusard

Laurent Greusard parle de Manhattan Marilyn

Noé Gaillard

une nouvelle critique de Manhattan Marilyn

Paul Maugendre

un avis sur le roman Manhattan Marilyn par Paul Maugendre

Fantasio

un avis sur Manhattan Marilyn

Actu SF parle de Manhattan Marlyn

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Et si Marilyn Monroe n’était jamais morte ? Et si sa disparition était en étroite relation avec un secret d’Etat si crucial qu’elle devait faire croire à sa mort ?

Paru en mai 2016 aux excellentes éditions Critic, Manhattan Marilyn est un thriller signé Philippe Laguerre.
Peut-être connaissez-vous déjà l’auteur grâce à ses très nombreux écrits sous le pseudonyme de Philippe Ward ? La série Lasser (également chez Critic – voir ici la chronique de Lasser, un privé sur le Nil), c’est lui ! C’est également lui le directeur de la fameuse collection Rivière Blanche.

Avec Manhattan Marilyn, l’auteur nous entraîne dans un thriller très efficace, où vous pourrez tomber amoureux de deux choses, tout comme lui : New York, et Marilyn Monroe.

Un démarrage sur les chapeaux de roue

Tout débute très vite dans ce roman noir : nous sommes en train d’assister à ce qui sera les dernières heures de Marilyn Monroe… Elle planifie sa disparition brutale et définitive, car après ce que lui a confié Kennedy sur l’oreiller lors de leur dernière nuit ensemble, il n’y a qu’une mort simulée qui pourrait la sauver d’un réel anéantissement…

Mais cette décision va voir une influence sur la vie de l’ex-Marine Kristin Arroyo, de nos jours. Son grand-père décédé depuis longtemps était un photographe de renom, et lorsqu’elle va tomber sur des clichés inédits de l’actrice, Kristin se retrouve entraînée dans une histoire qui la dépasse totalement et où les services secrets tirent toutes les ficelles…

Se dévore… du début à la fin !

Si vous cherchez un polar efficace, bien écrit, et aux personnages extrêmement bien campés, c’est sur cet ouvrage que vous devriez vous pencher. Plus que la découverte d’un roman, c’est la rencontre avec un nouvel auteur que vous ferez. Et pour une fois, ça n’est pas un auteur anglo-saxon !

Les chapitres s’enchaînent sans accroc, l’intrigue avance efficacement, et on pardonne même à l’auteur le côté parfois stéréotypé de ses personnages. Mais quel est donc ce fameux secret d’État qui met en danger la vie de Marilyn Monroe ? Vous verrez, il est très bien trouvé, mais on aurait apprécié que l’auteur en développe plus tous les enjeux et les conséquences qu’il aurait entraînées s’il avait été divulgué…

On voit que l’auteur s’est beaucoup documenté sur Marilyn, sa vie, son œuvre, sa psychologie, certaines anecdotes très précises de sa vie… Et même s’il s’agit d’un roman, la théorie du complot qui nous est ici servie est très séduisante. On adore, et on plonge dedans sans un regard en arrière…

Que vous soyez fans ou non de cette actrice emblématique n’est pas ici la question, vous pourrez tout à fait apprécier le roman sans être versé dans la culture hollywoodienne et tout ce qu’elle représente.

Ici, vous avez affaire à une histoire qui en raconte beaucoup d’autres. À la fois critique sociétale et politique, thriller, mais aussi roman d’action, Manhattan Marilyn vous séduira très certainement… en tout cas, c’est chose faite ici !

Soccer : New York City FC

Pour lire l’article cliquez iciLe Toronto FC a éliminé le New York City FC

NEW YORK – Sebastian Giovinco a enregistré le quatrième tour du chapeau dans l’histoire des éliminatoires de la MLS et le Toronto FC a écrasé le New York City FC 5-0, dimanche, pour atteindre la finale de l’Est.

Avec un gain de 7-0 au total des buts, le TFC a établi un record de la MLS pour la victoire par la plus importante marge dans une série de deux matchs depuis l’instauration de ce format en 2003.

Toronto affrontera l’Impact dans la série qui s’amorcera le 22 novembre à Montréal. Ce sont les premières équipes canadiennes à atteindre la finale d’association dans l’histoire de la Ligue.

Giovinco a marqué deux fois dans les 20 premières minutes et Jozy Altidore a ajouté un autre but avant la mi-temps. Jonathan Osorio a touché la cible à la 50e minute et Giovinco a complété la marque à la 91e minute avec son septième but en six matchs.