Archives mensuelles : août 2015

New York Basket : Les Kniks

Les Knicks sont devenus trop nuls pour jouer le jour de Noël

La NBA a évincé les New York Knicks du fameux Christmas Day très suivi à la télévision américaine.
Les New York Knicks n’ont pas été sauvés par leur prestige ce coup-ci. La désastreuse saison de la franchise présidée par Phil Jackson a poussé la NBA à mettre fin à la série de six participations consécutives des New Yorkais au Christmas Day. Décevants presque à chaque fois, les coéquipiers de Carmelo Anthony n’auront pas l’honneur d’accompagner les Warriors, les Cavs, le Thunder, les Bulls, le Heat, les Pelicans, les Clippers, les Lakers et deux autres équipes à déterminer le 25 décembre prochain pour l’une des journées les plus suivies à la télévision par les fans.

Pour rappel, les Knicks débuteront leur saison le 28 octobre prochain sur le parquet de Milwaukee. Le calendrier complet sera connu ce mercredi soir pour l’ensemble des franchises de la ligue.

Faits divers à New York

Very Bad Blood dans un bar de New York pour des chansons de Taylor Swift

Créé : 12-08-2015 12:19
ETATS-UNIS – Dimanche soir, une jeune serveuse de Manhattan a subi pressions et insultes racistes dans don bar à tapas, de la part d’une bande de jeunes fêtards. La raison ? Elle ne diffusait pas les tubes de la chanteuse Taylor Swift, dans sa playlist.

Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour…

« Haters gonna hate, hate, hate », chante Taylor Swift. Dimanche soir dans un bar à tapas de Manhattan à New York, la ville dont la nouvelle reine de la pop célèbre l’ouverture dans son dernier album, ses propres fans ne se sont pas privés en effet d’exprimer leur ressentiment. Quand ils débarquent au Ballaro, petit restaurant de l’East Village, ces quinze jeunes gens fortement alcoolisés n’ont alors qu’une seule idée en tête : écouter la Taylor.

Remarquant que la barmaid a d’autres préoccupations que de leur pondre une playlist sur mesure (ou qu’elle utilise Spotify, dont Taylor Swift est absente, contrairement à Apple Music) ces « Swifties » – du nom des addicts de Tay-Tay – entreprennent de huer copieusement la serveuse, réclamant à cor et à cris leurs tubes favoris. « J’ai donc passé deux morceaux de Taylor Swift pour leur faire plaisir, raconte la jeune femme sur la page Facebook du bar, repérée par le journal en ligne Gawker. Ils se sont mis à danser et à chanter ensemble, je pensais que ça en resterait là ».

Le « Bad blood », le vrai

Mais à la fin des deux chansons, voilà que la bande de trublions en remet en couche. D’invectives en insultes, la situation devient vite hors de contrôle. « Cet endroit craint, les personnes et la musique ici craignent ! », lancent les fêtards hargneux. Mais le « Bad Blood », le vrai, arrive quand une remarque raciste est crachée au visage de la jeune barmaid : « Rentre dans ton pays, avec ta putain de tête d’immigrée ! »

C’en est trop. Les jeunes gens sont mis dehors, laissant derrière eux une ardoise impayée de 500 dollars. Sur le trottoir, devant le bar, ils prennent soin d’inscrire une dernière douce attention avant de partir : « Ces cons-là ne passent pas Taylor Swift ! Merci ! » Un petit mot qui a nécessité que la barmaid présente des excuses à ses voisins. Pas rancunière, la victime appelle néanmoins à l’apaisement. En lieu et place de son menu, elle a inscrit au feutre blanc, à l’entrée de son établissement : « Cher East Village, j’espère

Pour faire la fête à New York

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Un club imaginé comme une église ouvre ses portes à Manhattan

Publié le 11/08/2015 par Charles Binick

C’est le grand événement annoncé à Manhattan cet automne : l’ouverture du Flash Factory. Un club qui fait tout pour ressembler à une église de l’intérieur. Grande nef à piliers, voûtes, vitraux, éclairage mystique, tout y est pour la grande messe sur plus de 900 mètres carrés de surface. Dans un communiqué de presse, on peut ainsi lire qu’il a été conçu comme « un sanctuaire pour vivre une expérience musicale commune ». Les concepteurs sont les mêmes que pour les clubs Provocateur et Stereo de New York. 
 Avant d’être complètement réaménagé, l’endroit s’appelait le Shadow, un club qui a fonctionné pendant 17 ans avant de fermer. Après deux ans et demi de travaux de rénovation, le nouveau lieu accueillera à la fois des concerts et des DJ sets. « C’est le vestige d’une ère révolue, le type de salle de concert sur un seul étage qui n’existe tout simplement plus dans la ville, » peut-on encore lire sur son dossier de présentation.
 Le club s’inspire de célèbres clubs de la ville tels que le CBGB et le Filmore East. « Flash Factory est une salle de musique créative explique le gérant Michael Satsky. Nous avons construit cet endroit pour que des artistes puissent le faire vivre. Que vous soyez des fans de techno, rock, punk, ou hip-hop alternatif, c’est notre mission de produire un environnement ou tout, mais surtout la musique, se sente bien. » Un projet ambitieux qui pourrait attirer quelques grands noms tels que Marco Carola, Guy Gerber, Sven Vath, Seth Troxler ou encore Loco Dice – See more at: http://www.tsugi.fr/news/2015/08/11/club-imagine-comme-eglise-ouvre-ses-portes-manhattan-11173#sthash.JeQD4P5D.dpuf

Le métro de New York

New York nettoie son métro en enlevant les poubelles

VIE URBAINE – Le métro new yorkais est devenu plus propre depuis que la société chargée des transports a retiré les poubelles à disposition des voyageurs.

Une manière futée de rendre le métro new-yorkais plus propre porte ses fruits grâce à un peu de psychologie inverse. Le Metropolitan Transportation Authority (MTA), chargé des transports publics, a annoncé la semaine dernière que le retrait des poubelles dans le métro avait permis de diminuer la proportion de déchets sauvages. La mesure avait été prise quatre ans auparavant pour deux stations, rapporte le NY Post. Depuis, le programme pilote a été élargi à 39 des 468 stations de la ville.

Les avantages sont notables : moins de rats, moins de feux de poubelles à l’origine de retards de circulation et surtout moins d’incivilités. 85% des stations qui font partie du projet n’ont pas ou peu de déchets sur les quais et les rails, contre 80% pour celles équipées de poubelles. Plus globalement, les ordures sauvages ont diminué entre 36 et 66% grâce aux New-Yorkais qui prennent la peine de les conserver en attendant la fin de leur trajet. Compte tenu de ces résultats, l’expérience se poursuit, malgré les réticences de certains.

Nécessaire malgré les réticences

Des employés frustrés installent leur propres poubelles, las de ramasser des résidus sur les voies. Pour autant, le MTA n’est plus en mesure d’assurer la ramasse des 40 tonnes de déchets quotidiens. Selon un audit des autorités new-yorkaises publié en mai, les trains de collecte ne sont plus dans un état de marche satisfaisant. Entre juillet 2013 et juin 2014, seul 3% des voies de 276 stations ont été nettoyées.

Les nouvelles tours du New York

http://www.gqmagazine.fr/pop-culture/gq-enquete/articles/enquete-sur-limmobilier-a-new-york/27313

VUE CENTRAL PARK – 86 MILLIONS $ (HORS FRAIS D’AGENCE)

PAR FABRICE ROUSSELOT

La 57e rue fait exploser la skyline de New York. Ses nouvelles tours, démesurées, s’érigent en ghettos de luxe pour nantis, qui n’y séjourneront qu’une semaine par an. Les autres, eux, devront subir l’ombre de ces géants d’acier et la spéculation immobilière. Pour comprendre les enjeux de cette mue, GQ s’est hissé haut, très haut à Manhattan.

Après dix minutes d’ascension, casque de chantier vissé sur la tête, dans un ascenseur en ferraille brinquebalant, nous parvenons au 78e étage du 432 Park Avenue. 365 mètres plus bas, les taxis jaunes ne sont désormais pas plus gros qu’un demi-ongle. Sujets au vertige, s’abstenir ! Au-dessus des nuages, les règles de sécurité sont impitoyables et les visites, ultra-limitées. GQ est l’une des rares publications à avoir été autorisée à tutoyer le ciel. La « logique du luxe » que nous avait expliquée, pendant notre interminable ascension, Carol Willis, la directrice du Skyscraper Museum, nous explose au visage: une vue à 360 degrés sur Manhattan. L’étage entier sera occupé par un seul appartement de près de 800 mètres carrés, doté de 24 fenêtres ouvertes sur l’azur.

Le directeur des ventes qui nous accompagne, Richard Wallgren, fait remarquer, parfaitement sérieux: « À plusieurs centaines de kilomètres, tout au nord, la ligne d’horizon n’est pas droite mais concave. Comme si on observait la planète depuis l’espace. » Et il a raison ! Ici, le prix des appartements navigue entre 6,2 et 86 millions d’euros, pour le penthouse du 96e et dernier étage. Les futurs propriétaires de cette tour (des industriels chinois ou russes, des princes du golfe persique, une poignée d’Américains dont l’anonymat est jalousement protégé par des sociétés civiles immobilières) sont si riches que certains étages seront destinés à loger leurs femmes de chambre, majordomes ou cuisiniers.

Fièvre immobilière
Chaque jour, depuis des mois et jusqu’à cet automne, cet ascenseur hisse 500 ouvriers au sommet du « 432 ». On repense à la fierté de Michael Briody, le héros des Bâtisseurs de l’Empire, le roman de Thomas Kelly paru en 2007 sur le chantier de l’Empire State Building: « Même les plus jeunes d’entre eux savaient pertinemment que dans plusieurs décennies ils se retourneraient pour dire: “C’est moi qui l’ai construit.” » Inauguré le 1er mai 1931, « l’Empire » culmine à 381 mètres. Cet automne, le « 432 » va atteindre 425 mètres, et devenir la plus haute tour résidentielle du monde occidental.

Pour l’instant. Car une fièvre immobilière et architecturale semble s’être emparée de la ville. Comme la nature, le luxe a horreur du vide. Alors, même si de nombreux immeubles n’offrent encore que leurs parois de béton entourées d’une bâche orange et bleu, il faut séduire et vendre. Tout à l’est de la 57e rue, le « 252 East 57th Street » n’est encore qu’une esquisse d’immeuble dont seuls trois étages de verre sortent à peine de terre. Ses 65 étages, conçus par Skidmore Owings & Merrill, les architectes qui ont bâti la tour Burj Khalifa (828 mètres) de Dubaï, devraient être terminés fin 2016, mais les ventes ont déjà commencé depuis des mois.

Retrouvez l’intégralité de notre reportage dans GQ – Septembre 2015

Une BD Sur New York

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Art
The New-York Four : la BD pour jeunes filles modernes

Ce livre va vous donner définitivement envie d’aller faire un tour à New-York si vous n’y êtes jamais allé.
Brian Wood et Kelly Ryan donnent vie à une bande de filles dans la Grosse Pomme qui essaient de s’en sortir entre vie adolescente, colocation, découverte du monde adulte, amitié et conquêtes.
Le personnage principal Riley est une jeune fille chétive et intelligente qui entre à l’université et rencontre ses « roommates » comme on dit là-bas. Riley, Marissa, Lona et Ren chacune avec des caractères trés défins permettent à toutes les filles de se retrouver au moins dans l’une d’elles, d’autant plus que l’idée de génie des auteurs est d’avoir adapté les codes du comic-book de superhéros avec des fiches descriptives de chacune des filles, avec leurs compétences sociales, caractéristiques, statuts etc. Un mix parfait, moderne et ultra-pop rempli de références musicales avec New-York en toile de fond.
A découvrir sans attendre.

« The New York Four », de Brian Wood et Kelly Ryan. Ed. Urban Comics. Prix : 22,50 €

Hockey : New York Rangers

Jarret Stoll signe un contrat d’une saison avec les Rangers de New York

Les Rangers de New York ont annoncé lundi la signature de l’attaquant et joueur autonome sans compensation Jarret Stoll pour une durée d’une saison.

Le joueur de centre de 33 ans a disputé 792 rencontres dans la LNH, avec les Kings de Los Angeles et les Oilers d’Edmonton, l’équipe qui l’a repêché au deuxième tour en 2002.

Stoll a fourni six buts et 11 aides pour 17 points en 73 matchs la saison dernière, avec les Kings.

En avril dernier, Stoll a été arrêté à Las Vegas et accusé de possession de cocaïne. Il a plaidé coupable et a été sentencé à effectuer 32 heures de travaux communautaires.

Ne vous amusez pas à New York

condamnés pour avoir sauté du World Trade Center

Deux hommes qui avaient sauté en parachute de la nouvelle tour du World Trade Center à New York ont été condamnés lundi à une lourde peine de travaux d’intérêt général, accusés d’avoir « sali la mémoire » des victimes du 11-Septembre.

James Brady, 33 ans, métallurgiste, et Andrew Rossig, 34 ans, menuisier, devront respectivement effectuer 250 et 200 heures de travaux d’intérêt général, et ont été condamnés chacun à 2.000 dollars d’amende au tribunal de Manhattan.

Ils risquaient jusqu’à deux ans de prison, un an pour chacun des deux chefs d’accusation dont ils avaient été reconnus coupables le 22 juin dernier, pour leur saut de septembre 2013.

Leur action n’était pas héroïque, mais « égoïste et imprudente, et ils ont eu de la chance que leur opération ne tourne pas à la tragédie », a déclaré le juge Juan Merchan.

« Ils ont pris une très mauvaise décision. Ils ont sauté du One World Trade Center, aussi connue comme la Tour de la Liberté, un bâtiment emblématique construit sur un sol sacré ».

« En faisant cela, les accusés ont terni l’immeuble avant même son ouverture et sali la mémoire de ceux qui avaient sauté le 11-Septembre, non pour le sport, mais parce qu’ils le devaient », a ajouté le juge.

Avec un autre complice, Marko Markovich, dont la condamnation sera prononcée le 17 août, les deux amateurs de « base jump », sport extrême qui consiste à sauter en parachute d’une structure fixe, avaient grimpé sur la 1 WTC alors en construction le 30 septembre 2013. Et sauté vers 03H00 du matin.

Leur exploit avait été filmé avec une mini caméra fixée sur leur casque. La vidéo diffusée sur YouTube a été regardée plus de 3,5 millions de fois.

Ils avaient été arrêtés en mars 2014.

James Brady travaillait sur le chantier, ce qui leur avait permis de grimper en haut des 104 étages de la tour sans être inquiétés.

La facilité avec laquelle ils avaient pu entrer sur le chantier avait mis en lumière les carences dans la surveillance de la tour construite sur le site des attentats.

Les trois amateurs de base-jump avaient été reconnus coupables le 22 juin de mise en danger d’autrui et mise en danger d’une propriété.

Ils ont toujours contesté avoir mis qui que ce soit en danger lors de leur saut, soulignant qu’ils étaient très expérimentés.

Plus haute tour des Etats-Unis, la 1WTC a ouvert l’an dernier.