Eric Boissau
16 août, 20:15
Je l’ai trouvé cet après midi à mon retour de vacances… que de beau monde ! fier d’y avoir participé ! Merci Philippe Ward !!!
Les Blue Jays de Toronto ont évité d’être balayés par les Yankees de New York, défaisant leurs rivaux de la section Est de la Ligue américaine au compte de 3-1, dimanche après-midi.
Les Bombardiers de Bronx détiennent une mince avance d’un demi-match sur la formation ontarienne au sommet de la division.
Les favoris de la foule ont inscrit tous leurs points en troisième manche.
Troy Tulowitzki a d’abord claqué un haut ballon au champ droit, mais Carlos Beltran a perdu la balle de vue en raison du soleil. L’ancien des Rockies du Colorado s’est rendu au deuxième coussin sur le jeu. Josh Donaldson a ensuite réussi un simple opportun permettant à son coéquipier de croiser la plaque.
Le frappeur suivant Jose Bautista a quant à lui expédié la balle dans les gradins.
De son côté, Russell Martin a conclu le duel avec une passe gratuite. Le Québécois présente une moyenne de ,246 en 2015.
Edwin Encarnacion a été retiré trois fois sur des prises, tout comme Tulowitzki.
Drew Hutchison (12-2) a savouré son 12e gain de la campagne, n’ayant permis qu’un point et trois coups sûrs en six manches et deux tiers. Brett Cecil, Aaron Sanchez et Roberto Osuna ont fait le boulot en relève, le dernier méritant son 13e sauvetage de la saison.
Dans le camp adverse, la recrue Luis Severino (0-2) avait la lourde tâche de se mesurer à la meilleure attaque du circuit. L’athlète de 21 ans a concédé trois points, cinq coups sûrs et trois buts sur balles en six manches de travail. Le droitier a également passé neuf rivaux dans la mitaine.
Jacoby Ellsbury a produit l’unique point des visiteurs à l’aide d’une longue balle en solo à la sixième reprise.
Alex Rodriguez a soutiré un but sur balles et été passé trois fois dans la mitaine.
La troupe du gérant John Gibbons bénéficiera d’une journée de congé lundi, avant d’amorcer une série de deux matchs contre les Phillies de Philadelphie.
Par ailleurs, une foule légèrement inférieure à 47 000 spectateurs a assisté à la rencontre au Rogers Centre.
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Grandeur et décadence de Morgan House
Elsa Conesa / Correspondante à New-York | Le 17/08 à 07:00
En plein coeur de Wall Street, ce bâtiment de trois étages fut pendant près d’un siècle l’épicentre de la finance mondiale.
Il est aujourd’hui laissé à l’abandon, au grand dam des New-Yorkais.
Il est si petit qu’on le surnomme le « coin ». Difficile d’imaginer que ce modeste bâtiment de trois étages au style néoclassique, curieux polygone coincé entre des tours qui lui cachent la lumière, fut un temps l’épicentre de la finance mondiale. Son histoire fait pourtant partie du patrimoine de Wall Street : le 23 Wall Street fut pendant presque tout le XXe siècle le siège de la banque la plus célèbre et la plus puissante d’Amérique, celle de John Pierpont Morgan. Ce qui lui valut un autre patronyme, celui que les New-Yorkais préfèrent, la « maison de Morgan » (Morgan House). Un blason si puissant que les architectes n’ont même pas jugé utile de l’inscrire sur le fronton du bâtiment.
Erigé à la fin du XIXe siècle, ce minuscule morceau de rue n’est pas le plus ancien de Wall Street, ni même le plus spectaculaire d’un point de vue architectural. Pourtant, sa légende dépasse de loin celle de ses prestigieux voisins. En 1882, Thomas Edison alluma dans ce qui était un modeste bureau de courtage la toute première lampe alimentée par une centrale électrique au charbon qu’il venait d’installer quelques rues plus bas. On raconte aussi que lorsque John Pierpont Morgan racheta le site en 1912, il paya le prix au mètre carré le plus élevé jamais versé à New York. Il faut dire que l’emplacement était stratégique : en plein coeur de Wall Street, le bâtiment fait face, d’un côté, à la Bourse, de l’autre, à Federal Hall, premier hôtel de ville de New York et premier Parlement du pays.
John Pierpont Morgan investit beaucoup d’argent dans ce qui devait devenir sa nouvelle vitrine. Il fit reconstruire le bâtiment, volontairement plus bas que le précédent – une provocation pour l’époque ! Et prit soin d’aménager un intérieur cossu, avec un imposant lustre Louis XV en cristal et des lambris en chêne. JP Morgan est déjà la banque des grandes fortunes américaines.
Un symbole
Le lieu devient vite un symbole. Le 16 septembre 1920, une bombe cachée dans un fiacre explose devant le bâtiment, tuant 38 personnes et blessant 143 autres. Le souffle est tel qu’il projette un véhicule qui circulait deux rues plus loin. On soupçonne les Russes. « Il n’y a aucun doute, c’est un coup des bolcheviques », lance au « New York Times » John Markle, un magnat du charbon présent au moment de l’explosion. Soucieuses de ne pas perturber les marchés, les autorités décident de rouvrir la Bourse dès le lendemain, effaçant les traces qui auraient permis d’identifier les auteurs du tout premier attentat à Wall Street. Bien plus tard, une enquête conclut à la responsabilité d’anarchistes italiens, mais ceux-ci ne seront jamais arrêtés. Les entailles dans le marbre de la façade provoquées par l’explosion, elles, sont encore visibles aujourd’hui.
La banque prospérant, elle s’agrandit. En 1957, un immense building est élevé à l’arrière de la « maison de Morgan », donnant sur Broad Street, pour abriter les nouvelles activités. Puis, à la fin des années 1980, une page se tourne ; JP Morgan déménage pour une tour plus moderne, un peu plus haut dans la rue. Pendant quelque temps, l’établissement conserve le « coin », qui a entre-temps été classé, pour y organiser des conférences et des événements. Et finit par céder l’ensemble à un fonds d’investissement lié au diamantaire Lev Leviev, qui investit alors à tour de bras dans l’immobilier à Manhattan. Mais tandis que le grand bâtiment de Broad Street est aménagé en appartements de luxe, le 23 Wall Street est, lui, laissé de côté. En 2008, il fait les frais des difficultés financières du fonds et atterrit dans le giron d’un conglomérat sino-angolais, dans des conditions qui restent mystérieuses. China Sonangol tire, en effet, sa richesse du pétrole d’Angola et de l’or du Zimbabwe, et le 23 Wall Street est son seul bien immobilier aux Etats-Unis. Depuis qu’il en est le propriétaire, il n’a jamais évoqué le moindre projet et n’a pas investi un seul dollar dans son actif, de sorte que le lieu est aujourd’hui à l’abandon.
Pistes d’aménagement
Pourtant, l’adresse continue de faire rêver les grandes marques et les promoteurs immobiliers. De nombreuses pistes d’aménagement ont été évoquées – un Apple Store, une galerie marchande, le nouveau siège de la Bourse. Tous restés sans suite. Le « coin » sert épisodiquement de décor pour des séances de photo, des défilés de mode ou pour le tournage de films. Il a ainsi incarné le siège de la Bourse de Gotham City, dans le dernier opus de Batman. Mais son triste état et ses fenêtres noircies désolent les amoureux de la ville. « C’est l’un des plus grands mystères de l’immobilier à New York. Pourquoi le 23 Wall Street, bâtiment historique magnifique mais négligé, est-il vide ? », s’interrogeaient ainsi les chroniqueurs du « New York Post » en fin d’année dernière, exhortant ouvertement des investisseurs américains à faire une offre de reprise. Aux dernières nouvelles, un projet de centre commercial pourrait y ouvrir ses portes l’année prochaine, avec des restaurants, des magasins, et… un bowling. Un bowling dans la maison de Morgan ? Les New-Yorkais, eux, n’y croient pas.
Elsa Conesa, Les Echos
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/journal20150817/lec2_finance_et_marches/021258710855-grandeur-et-decadence-de-morgan-house-1144822.php?R3s4hXhdX7hrsK5y.99
Les Pirates coulent les Mets
Agence QMI
Publié hier à 17h43 | Mis à jour hier à 17h44
Aramis Ramirez a totalisé quatre coups sûrs et trois points produits dans un gain écrasant de 8-1 des Pirates de Pittsburgh contre les Mets de New York, dimanche.
Pedro Alvarez a cogné un circuit en deuxième manche, terminant le duel avec deux coups sûrs et autant de points produits.
Gregory Polanco et Starling Marte ont aussi obtenu deux coups sûrs, produisant un point chacun.
Le partant Jeff Locke a alloué un point et quatre frappes en lieu sûr en cinq manches et un tiers. Arquimedes Caminero (4-1) a mérité la victoire, ayant été parfait en deux tiers de manche.
Dans le camp adverse, Matt Harvey a concédé un point en six tours au bâton. Bobby Parnell (1-3) a subi la défaite.
Travis d’Arnaud a claqué une longue balle à la deuxième reprise.
Les perdants ont commis une erreur en défensive.
L’affrontement a été interrompu pendant plusieurs minutes en raison de la pluie.
Knicks : Phil Jackson s’intéresserait à Ricky Rubio
Décevant depuis son arrivée à Minnesota, le nom de Ricky Rubio circule dans des rumeurs de transferts depuis quelques semaines, Flip Saunders voulant jouer le pari Tyus Jones à fond et offrir son meneur espagnol au plus offrant. Et ce « plus offrant » pourrait bien être Phil Jackson. Le président des opérations basket des Knicks serait en effet intéressé pour récupérer Rubio. Excellent passeur, défenseur pot de colle, l’ancien du Barça serait évidemment une très bonne pioche pour New York dont la base arrière paraît encore un peu frêle pour le niveau NBA. Ce n’est pour l’instant qu’une rumeur, loin de pouvoir se vérifier, tant les faiblesses chroniques au shoot du meneur de jeu des Wolves feraient tâche dans le jeu en triangle.
Le trio Grant-Calderon-Galloway en danger ?
Mais selon ESPNNewYork.com, le Zen Master serait mécontent du trio Grant-Calderon-Galloway et c’est pourquoi il envisagerait de réaliser un move pour faire venir l’Espagnol dans la Grande Pomme. Rubio pourrait ainsi rejoindre son compatriote, à moins que celui-ci soit directement impliqué dans le trade
Read more at http://www.sport365.fr/basketball/knicks-phil-jackson-s-interesserait-a-ricky-rubio-1259008.shtml#VdESzh57jS163g2s.99
début de l’article de Wikipedia
La Liberté éclairant le monde[1] (Liberty Enlightening The World), plus connue sous le nom de Statue de la Liberté (Statue Of Liberty), est l’un des monuments les plus célèbres des États-Unis. Cette statue monumentale est située à New York, sur l’île de Liberty Island au sud de Manhattan, à l’embouchure de l’Hudson et à proximité d’Ellis Island.
Elle fut construite en France et offerte par le peuple français, en signe d’amitié entre les deux nations, pour célébrer le centenaire de la Déclaration d’indépendance américaine. La statue fut découverte au grand jour le 28 octobre 1886 en présence du président des États-Unis, Grover Cleveland. L’idée venait du juriste et professeur au Collège de France Édouard de Laboulaye, en 1865. Le projet fut confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l’architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l’idée de la technique du repoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l’ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagina un pylône métallique supportant les plaques de cuivre martelées et fixées.
La statue fait partie des National Historic Landmarks depuis le 15 octobre 1924 et de la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1984[2].
La statue de la Liberté, en plus d’être un monument très important de la ville de New York, est devenue l’un des symboles des États-Unis et représente de manière plus générale la liberté et l’émancipation vis-à-vis de l’oppression. De son inauguration en 1886 jusqu’au Jet Age[3], la statue a ainsi été la première vision des États-Unis pour des millions d’immigrants, après une longue traversée de l’océan Atlantique. Elle constitue l’élément principal du Statue of Liberty National Monument qui est géré par le National Park Service. La création de la Statue de la Liberté se place dans la tradition du Colosse de Rhodes, dont certaines représentations ont sans doute été une inspiration pour Bartholdi[4],[5],[6].
Après les attentats du 11 septembre 2001, l’accès a été interdit pour des raisons de sécurité : le piédestal a rouvert en 2004 et la statue en 2009, avec une limitation du nombre de visiteurs autorisés à accéder à la couronne. La statue (y compris le piédestal et la base) a été fermée pendant une année jusqu’au 28 octobre 2012, pour qu’un escalier secondaire et d’autres dispositifs de sécurité puissent être installés (l’accès à l’île est cependant resté ouvert). Un jour après la réouverture, l’accès a été de nouveau interdit en raison des effets dévastateurs de l’Ouragan Sandy. Les accès à l’île et à la statue ont été rouverts le 4 juillet 2013[7]. L’accès du public au balcon entourant la torche est toujours interdit, pour des raisons de sécurité, depuis 1916.