Archives mensuelles : août 2015

Histoire des Knicks

http://trashtalk.co/2015/08/10/john-starks-combien-de-temps-de-retirer-le-numero-3-aux-knicks/

John Starks : combien de temps avant de retirer le numéro 3 aux Knicks ?

par : David dans One-on-One, ZSlider 1 heure ago

C’est l’histoire d’un gars né dans l’Oklahoma dont la carrière NBA n’a pas tenu à grand chose. L’histoire d’un mec qui entre vol et cannabis ne s’est pas attiré les faveurs des scouts lorsqu’il était à l’université. De Roger State CC à Oklahoma State en passant par Northern Oklahoma CC et Tulsa JC, difficile d’imaginer John Starks faire son trou chez les professionnels. Et pourtant, avec une part de chance à ses débuts, beaucoup de hargne et de culot par la suite, il s’est imposé dans le cœur des fans des Knicks. Il est temps aujourd’hui de lui rendre hommage en réclamant le retrait du jersey numéro 3 à New York.

Non, pas le numéro 3 de Dennis Scott, celui de « Starbury », de Shawne Williams, Kenyon Martin ou Jose Calderon. Celui de John Starks, un joueur dont le palmarès est loin des meilleurs joueurs de sa génération, puisqu’il n’a pris part qu’à un seul All Star Game et été élu une unique fois dans une All Defensive Team. Son plus grand fait d’armes en terme de récompense se limite – le mot est volontairement dur – à un titre de meilleur sixième homme en 1997. Certes, de nombreux joueurs aimeraient pouvoir en dire autant. Mais lorsqu’on a croisé régulièrement la route de Michael Jordan, Mitch Richmond, Reggie Miller, Latrell Sprewell, Clyde Drexler, Joe Dumars ou plus tard Kobe Bryant et Penny Hardaway, cela ne pèse pas lourd. Pourtant, la marque qu’il a laissée sur les années 1990, en particulier du côté de New York, dépasse largement les honneurs distribués par la Ligue.

De tous les arrières qu’il a affrontés, Reggie et Michael ont été ses principaux rivaux. Si le joueur des Pacers et celui des Bulls avaient sans aucun conteste plus de talent que John Starks, jamais le shooting guard des Knicks n’a baissé les bras ou les yeux devant le challenge de devoir les contenir. Il savait qu’ils étaient meilleurs que lui, mais il voulait les gêner, leur rendre la vie horrible sur le parquet. Par tous les moyens : défense, attaque agressive, parole, coup vicieux… De quoi ajouter encore plus à l’intensité de ces confrontations. Et c’est ça que le Madison Square Garden aimait chez Starks : il donnera tout, rendant ces rivalités historiques. L’arrière new-yorkais rentrait chaque soir avec l’écume à la bouche, comme si sa vie dépendant de l’issue de sa match-up.

Il faut dire que son parcours justifie sa hargne. Non drafté en 1988, il gratte quand même un contrat à Golden State avant de partir s’aguerrir en CBA (Continental Basketball Association) et WBL (World Basketball League). Suffisant pour que les Knicks lui proposent un essai. Comme à son habitude, John Starks va au bout de lui-même et toise ceux qui seront ses coéquipiers lors des entrainements. Dans sa volonté de marquer les esprits, il tente un dunk sur Patrick Ewing. Sérieux mec ? Le pivot le scotche et Starks se tort le genou, direction la case infirmerie. Ce qui aurait dû être un coup dur sera finalement sa chance. Alors que les Knicks souhaitaient le couper, ils ne peuvent mettre fin à son contrat tant qu’il est blessé. A son retour, le staff médical doit s’occuper du cas d’un autre arrière de l’effectif, offrant une opportunité unique au #3 de prouver ce qu’il vaut en saison régulière. Il saisira la perche tendue pour gravir les échelons dans le roster. La porte était entrouverte, il a glissé le pied et ne va pas la laisser se refermer. Avec l’arrivée de Pat Riley, il va être comme un poisson dans l’eau dans une équipe composée majoritairement de guerriers. A l’instar de feu Anthony Mason, John Starks va profiter des conseils du coach gominé pour atteindre un nouveau palier et s’imposer comme un titulaire, principal lieutenant de Patrick Ewing, chargé de défendre sur le meilleur extérieur adverse tout en allumant les mèches en attaque.

Cette agressivité, c’est sa marque de fabrique. Quand certains ont le talent, lui avait le coeur. Quand d’autres ont la technique, lui avait la rage. Et quand beaucoup étaient à la recherche des dollars, lui avait le basket et New York qui coulaient dans ses veines. Il considérait Big Apple comme les New-Yorkais voient leur ville : unique, exceptionnelle. Le petit gars sorti de nulle part (non, Tulsa n’est pas l’endroit le plus hype des USA) sur qui personne ne misait a fait sa place sur la plus belle scène du basket au monde, le Madison Square Garden. Pas parce qu’il était doué, mais parce qu’il en voulait plus que les autres. Un « American Dream » qui plait toujours autant au pays de l’Oncle Sam. N’oubliant jamais d’où il venait, il n’a cessé d’aborder les matches le couteau entre les dents.

Aujourd’hui, beaucoup de joueurs dans la Ligue ont reçu les acclamations de la foule au lycée et à l’université, peu importe où ils allaient. Je n’ai jamais connu ça. J’étais juste content que quiconque m’applaudisse quand je suis arrivé en NBA. – John Starks.

Un jour, ce n’est pas une personne qui s’est levée pour acclamer John Starks, mais un stade entier. En ce 25 mai 1993, les Knicks ont la possibilité de mener 2-0 face aux Bulls en finale de Conférence Est. Alors qu’il reste moins d’une minute à jouer dans un match serré, l’arrière remonte la balle. Au niveau de la ligne des 3 points, il profite d’un écran « Kevin Garnett » de Patrick Ewing pour prendre le dessus sur B.J. Armstrong. Starks plonge alors vers le cercle, et tandis que Michael Jordan et Horace Grant se dressent devant lui, il s’élève. Repense-t-il à ses débuts à NY quand « The Beast of the East » le scotchait et l’envoyait à l’infirmerie ? Certainement pas, le doute n’a pas sa place dans le jeu du #3. Boum, il fracasse le cercle main gauche, sur le museau de MJ et les goggles de Grant, pourtant deux défenseurs réputés. Le Madison Square Garden exulte, les Bulls sont battus. Mais s’ils perdent cette bataille, ils remporteront une fois de plus la guerre. Dans cette action, Starks a symbolisé une décennie de basket chez les Knicks. Un joueur loin d’être le plus brillant de tous qui met toute son envie au service du collectif. Un travailleur qui dépasse les espérances placées en lui pour imposer le respect. Un pur moment de NBA qui justifie à lui tout seul que John Starks soit dans la légende des Knickerbockers. Une élévation qui n’aurait dû être que l’introduction à un envol encore plus majestueux, celui du numéro 3 floqué du nom « Starks » dans les airs du MSG pour toujours.

A quoi ça tient la postérité ? A une phalange d’Hakeem Olajuwon ? Si le pivot des Rockets n’avait pas touché l’ultime shoot de John Starks lors du Game 6 des Finales NBA en 1994, la question ne se poserait même pas. Avec 3 points supplémentaires, il apportait sur un plateau la victoire aux Knicks au terme d’un match qu’il a pris à son compte. Avec 3 points supplémentaires, il donnait le titre tant attendu à Big Apple. Avec 3 points supplémentaires, il s’évitait la pire rencontre de sa carrière, ce 2/18 lors du Game 7 qui a fait de lui un héros maudit. Avec 3 points supplémentaires, il terminait meilleur marqueur de la série pour New-York et avait l’opportunité d’être MVP des Finales. Avec 3 points supplémentaires, son maillot serait déjà aux côtés de ceux de Walt Frazier, Dick Barnett, Dick McGuire, Earl monroe, Willis Reed, Dave DeBusschere, Bill Bradley et Pat Ewing.

Malgré ces 3 points qui lui manquent tant aujourd’hui, John Starks n’en reste pas moins le joueur des Knicks ayant rentré le plus d’ogives depuis le parking, à faire palier un « Gérard » Smith. Ses 982 réussites de loin sont toujours sur les tablettes et ne vont pas être délogées de si tôt. A cette menace extérieure, il a également ajouté une bonne dose de collectif, puisqu’il est le 8ème meilleur passeur de l’histoire de New York avec 2394 offrandes, et une défense acharnée, comme en attestent ses 711 interceptions, 7ème marque à Gotham. En 8 saisons, il aura apporté 14,1 points à 42,3% dont 34,5 derrière l’arc, 2,7 rebonds, 4,0 assists et 1,2 steal en 28,7 minutes de jeu. Auxquels on peut rajouter du coeur, des tripes et des cojones. Vite, retirons son maillot.

Dimension New York

Philippe Lemaire
8 août, 15:18

Un imposant pavé de 560 pages où, comme d’autres auteurs, j’ai reçu l' »ordre » d’écrire une nouvelle sur New York (si, si, Philippe Ward peut être un tyran parfois ^^). Suis pas mécontent de mon coup dans le sens où je suis parvenu à ne pas parler de buildings, de Wall Street, de hamburgers, ni même du groupe Kiss ! Il faut dire que si le thème était imposé, j’avais toute latitude pour choisir l’époque de mon récit, quitte à ce que New York ne s’appelle pas encore New York à l’époque choisie.

un penthouse à vendre à New York

New York : Donald Trump revend son penthouse

Découvrez les photos ici

Par Bastien Lepine – 9, août 2015

À lui seul, Donald Trump incarne aux yeux de tous le rêve américain. D’origine européenne, l’homme a bâti son empire aux États-Unis et possède aujourd’hui de nombreux bâtiments à son nom. Il est également connu pour avoir créé sa propre émission de télévision, et désormais pour être candidat à la Maison Blanche.

Situé au 24ème étage de la Trump Park Tower, ce penthouse de plus de 1800 mètres carré une propriété d’un luxe indécent. On y dénombre cinq chambres spacieuses pour un total de sept salles de bain et demi. La suite principale en elle-même comporte deux chambre, deux penderies ainsi qu’un bureau privé.

La décoration d’intérieur est élégante et raffinée, grâce à des sols en marbre et des hauts plafonds. Les nombreuses fenêtres offrent une vue imprenable sur les plus beaux paysages de NYC. La demeure regorge également de détails qui ne trompent pas sur son standing, à l’instar des poignées de porte en cuivre italien, ou des moulures artisanales qui agrémentent les pièces.

Après avoir acquis ce penthouse, Donald Trump n’y a jamais séjourné. L’unique objectif est d’en tirer profit, et l’Américain a même refusé de le louer pour 80000 dollars par mois. Après l’avoir proposé pour 35 millions de dollars en 2013, le milliardaire spécialiste de l’immobilier a finalement baissé le prix à 21 millions de dollars. Même si cette somme reste élevée, la réduction s’avère considérable.

Découvrez le penthouse new-yorkais de Donald Trump plus en détails au travers de la galerie de photos ci-dessous.

soccer a New York :

Les Red Bulls battent le New York City FC 2-0
HARRISON, États-Unis – Bradley Wright-Phillips et Felipe Martins ont touché la cible, Luis Robles a réalisé trois arrêts et les Red Bulls de New York ont défait le New York City FC 2-0, dimanche.

Wright-Phillips a accepté la remise de Kemar Lawrence avant de marquer d’une frappe de la droite du haut de la surface à la 21e minute.

Felipe a procuré une avance de 2-0 aux Red Bulls à la 85e minute grâce à un tir du côté extérieur.
Robles a frustré Mix Diskerud en début de match et a effectué un arrêt en plongeant à la 70e minute pur signer son sixième jeu blanc de la saison.

Les Red Bulls sont invaincus à leurs cinq dernières rencontres et ont gagné leurs trois duels contre le New York City FC.

Les ordures à New York

http://www.voaafrique.com/content/net-effort-de-new-york-pour-recycler-les-ordures/2909930.html

Net effort de New York pour recycler les ordures
Les New Yorkais sont encouragés à trier les bouteilles et les canettes.

Selon les Nations Unies, la planète compte plus de 7 milliards d’habitants et pourrait en recenser environ 11,2 milliards d’ici à 2100. Tout ce bon monde créé des déchets, notamment dans les mégapoles telles que New York.

Le bureau du recensement des Etats-Unis chiffre à environ 8,5 millions le nombre d’habitants de New York, sans inclure sa banlieue. Ils produisent quotidiennement des montagnes de déchets qui dans le passé, étaient expédiées dans des décharges. Notamment celles de Staten Island.

Aujourd’hui, la municipalité de New York se charge d’évacuer les ordures et de les recycler au besoin. En ce qui concerne le recyclage, les détritus sont expédiés au Centre de recyclage municipal Sims du quartier de Brooklyn, un centre hypermoderne. Chaque mois, il transforme 20 mille tonnes de métaux, plastiques et verres.

Les New Yorkais sont encouragés à trier les bouteilles et les canettes, mais seulement 20 pour cent d’entre eux se fatiguent à le faire. Pourquoi ce manque d’enthousiasme? C’est entre autre parce que la métropole reste un point de transit, plutôt que de résidence, pour des dizaines de milliers de personnes aux traditions les plus variées, qui n’incluent pas nécessairement le recyclage des ordures, explique Tom Outerbridge, manager du Centre Sims.

« Pour nos programmes de recyclage, cela représente des défis qu’on éviterait au sein d’une société plus homogène. Mais compte-tenu de ces défis, la ville se débrouille assez bien », déclare Tom Outerbridge.

Une machine surnommée «Le Libérateur » déchire les sacs en plastique et libère les détritus pour le triage. Un aimant gigantesque capte tous les objets contenant du fer et les expédie vers un autre convoyeur. Une autre machine brise les objets en verre qui partent dans une autre direction.

Des scanners optiques, qui coûtent environ 100 mille dollars pièce, sont programmés pour identifier certains types d’objets, comme les bouteilles en plastique d’eau
et de lait. Lorsque le scanner détecte un de ces objets, il déclenche des jets d’air sur le convoyeur, pour les expédier dans la bonne direction. « Les gens dissent qu’on travaille avec des ordures, mais ce sont des objets recyclables », explique Marcus, un employé du centre de recyclage SIMS.

Une fois triées, les ordures arrivent à la presse, qui fabrique des balles de plastique ou de métaux, pesant jusqu’à une demie-tonne. Le centre SIMS les revend à des usines ou elles servent à fabriquer des produits neuf.

« On fait en sorte que la planète aille mieux. On s’aide mutuellement à survivre. C’est ce qu’il y a de mieux », affirme Monica, une employée du centre de recyclage SIMS.

Le centre SIMS donne l’exemple d’autres façons. Il s’est doté de panneaux solaires sur son toit, et utilise même une éolienne. Des énergies renouvelables qui lui fournissent vingt pour cent de son électricité

LA gastronomie française à New York

http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/08/2156794-en-30-ans-ariane-daguin-a-conquis-l-amerique.html

En 30 ans, Ariane Daguin a conquis l’Amérique

Fin septembre, Ariane Daguin fêtera à New York le 30e anniversaire de sa société «D’Artagnan». Sa réussite : avoir imposé le foie gras au pays du hamburger, sans faire aucun compromis sur la qualité.

La fille prodigue est de retour en Gascogne. Ariane Daguin passe quelques jours chez ses parents, à Auch, avec sa fille Alix. Dimanche, elle ne manquera pas le festival d’Artagnan à Lupiac. D’Artagnan, c’est le nom de la société qu’Ariane Daguin a créée, en 1985, à New York. Un 30e anniversaire qui sera dignement fêté, du 24 au 28 septembre, avec les Gascons de France et d’Amérique.

Dans quelles circonstances avez-vous créé votre entreprise ?

En 1978, je suis partie aux États-Unis comme jeune fille au pair. J’avais dans l’esprit d’être journaliste alors, je me suis inscrite à l’université de Columbia. Pour financer mes études, l’été, je travaillais dans une petite charcuterie de New York, Les trois petits cochons. Finalement, j’y suis restée cinq ans. Un jour, deux Israéliens sont arrivés au magasin avec un foie gras sous le bras. Ils avaient tout prévu pour se lancer dans l’élevage de canards en Amérique, sauf la commercialisation.

Et c’est vous qui leur avez trouvé la solution ?

Oui. Quand j’ai compris que mes deux patrons ne voulaient pas les suivre, je me suis dit qu’il fallait que je monte ma boîte. C’est ce que j’ai fait avec George, un copain d’université. On avait deux mois pour s’équiper, avec 15 000 $ d’investissement. Le jour où on a ouvert, en 1985, on n’avait plus que 30 $ sur le compte en banque.

30 ans plus tard, comment se porte la société d’Artagnan ?

Très bien. Cette année, je pense qu’on va atteindre les 100 millions de dollars de chiffre d’affaires. J’ai 190 salariés. 100 travaillent au siège. On a déménagé le week-end dernier à Union City, dans le New Jersey. On dispose d’une superficie de 87 000 pieds-carrés (1), l’équivalent de deux terrains de rugby. J’ai aussi un entrepôt avec bureaux à Chicago et depuis janvier, on loue un bâtiment à Houston. Il nous manque le Sud-Est : j’aimerais bien m’implanter autour d’Atlanta. L’idée est de pouvoir livrer nos clients avant midi, en se fixant comme limite la distance de 5 heures de route.

Quelles sont les recettes de votre succès ?

Je n’ai jamais transigé sur la qualité. Le foie gras et la valorisation de la viande de canard, je connaissais. J’étais née dans la marmite. Quand j’ai vu le poulet que mangeaient les Américains, je me suis dit qu’il y a avait un créneau pour produire des volailles de qualité. Puis, je me suis lancée dans le gibier à plumes et à poils. Je commercialise aussi du bœuf. Toutes ces viandes sont élevées sans médicaments et sans hormones de croissance.

Où en êtes-vous de votre combat contre le lobby anti foie gras aux USA ?

Une injustice terrible a été réparée en Californie, suite à la décision rendue le 7 janvier. Je voulais le crier sur tous les toits mais c’est mal tombé, le jour des attentats à Paris. A nouveau, on a le droit de produire du foie gras en Californie. Même si l’association PETA a fait appel de ce jugement, je suis confiante sur l’issue. En fin de compte, cette interdiction nous a fait une grande publicité. On n’a jamais autant vendu de foie gras en Californie que pendant son interdiction.

(1) Le pied-carré (square foot), est l’unité anglo-saxonne de surface. 87 000 pieds-carrés correspondent à un peu plus de 8 000 m2.

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un restaurant de desserts à New York

http://www.lamontagne.fr/auvergne/mag/art-de-vivre/cuisine-gastronomie/2015/08/06/le-patissier-dominique-ansel-signe-un-menu-tout-sucre-a-new-york_11543183.htm

Mon rêve, là il faut que je retourne à New York. JE rêve d’un restaurant avec que des desserts

Le pâtissier Dominique Ansel signe un menu tout sucré à New York

(Relaxnews) – Le créateur français du cronut, la viennoiserie mi-donut, mi-croissant, vient d’ouvrir un minuscule restaurant de seulement huit places au-dessus de sa boutique à New York, dans le quartier de West Village. Le pâtissier-star y dévoile un menu entièrement à base de desserts.

Un pavé de boeuf qui n’en est pas un, un verre de vin pour chaque plat… Le menu dégustation de Dominique Ansel, dans son premier restaurant du genre baptisé « UP » pour « unlimited Possibilities », emprunte les codes d’un repas habituel pour déployer son talent sucré. La toque a recours au trompe-l’oeil, création dont s’amuse souvent l’univers de la pâtisserie. Ansel utilise par exemple du beurre noisette pour construire un soit-disant morceau de viande, flanqué au milieu d’une sauce de cassis, qui pourrait passer pour du vin rouge. Les crêpes sont quant à elles coupées en lamelles pour ressembler à de jolies tagliatelles, revenues dans une sauteuse avec du café fumé, un peu de zeste de citron et de l’anis.

De l’entrée jusqu’au dessert, le menu dose avec justesse le sucre pour construire un repas complet. Le concept de Dominique Ansel consiste surtout à interpréter les différentes émotions qui marquent la vie, comme le premier chagrin d’amour. Pour ce plat, le pâtissier n’hésite pas à mettre le feu à son pain de Gênes au chocolat, servi avec de la crème glacée à la bergamote et des meringues en forme de pétales de fleur. Le chef Ansel a aussi voulu ressusciter la sensation du tout premier baiser, avec un dessert à boire. Il a fait appel à un ami designer qui a imaginé une boule de céramique imitant la peau douce d’une femme ou celle d’un homme. Les convives n’ont plus qu’à porter à la bouche l’accessoire pour revivre le souvenir.

Le restaurant UP se réserve à deux services les vendredis, samedis et dimanches. Compter 75 dollars (environ 68 euros) le menu et 35 dollars (environ 32 euros) pour l’accords mets et vins. Les réservations sont uniquement possibles via Internet. Il convient surtout de surveiller l’ouverture des prochaines sessions. Tenez-vous prêts le 10 août à l’adresse Dominiqueanselkitchen.com…

Le menu desserts, une tendance qui monte

Ce type de création est symptomatique d’une époque où les pâtissiers gagnent davantage en popularité et en visibilité. Longtemps dans l’ombre du chef d’un grand restaurant, les professionnels montrent désormais l’étendu de leur art et de leur maîtrise.

Au restaurant Lasserre, à Paris, c’est justement ce qu’a mis en oeuvre Claire Heitzler. Les gastronomes réservent une table auprès de la prestigieuse adresse pour goûter au talent de la jeune alsacienne (qui voguera vers de nouvelles aventures culinaires à partir de septembre). L’ex-élève de Thierry Mulhaupt a été l’une des premières à imaginer un menu tout sucré. Elle ruse en associant la vanille au vinaigre de xérès ou en servant de la tomate avec des blancs d’oeufs à la noix de coco, ou encore des artichauts rôtis à l’amande torréfiée.

New York Mets

http://www.rds.ca/baseball/mlb/mlb-jerry-blevins-des-mets-de-new-york-se-fracture-a-nouveau-le-bras-et-sa-saison-est-terminee-1.2516328

Jerry Blevins se fracture à nouveau le bras

NEW YORK – Le lanceur des Mets de New York Jerry Blevins s’est à nouveau fracturé le bras, en glissant en débarquant d’un trottoir, et il devrait rater le reste de la saison.

Les Mets ont annoncé la nouvelle jeudi, précisant que Blevins allait être opéré à Boston la semaine prochaine au radius qu’il s’était fracturé une première fois le 19 avril dernier, quand il avait été atteint par une balle frappée en flèche.

Blevins avait recommencé à lancer, mais il a chuté lundi.

En sept matchs cette saison, il affichait un dossier de 1-0 et n’avait pas concédé de point en cinq manches de travail.

New York knicks

http://www.basketsession.com/actu/thanasis-antetokounmpo-knicks-3-289572/

Le frère de Giannis Antetokounmpo, Thanasis Antetokounmpo, pourrait évoluer lui aussi en NBA la saison prochaine. Il a signé avec les Knicks.

Les New York Knicks disposent des droits de Thanasis Antetokounmpo depuis l’an dernier, lorsque la franchise de la grosse pomme a sélectionné le frère de Giannis, star prometteuse des Bucks, au second tour de la draft. Le Grec évoluait en D-League la saison dernière et il a participé à la Summer League avec les Knicks cet été, sans séduire. Cela ne devrait pas l’empêcher de se faire une place au sein de l’effectif coaché par Derek Fisher. Selon David Pick, les dirigeants new-yorkais et Thanasis Antetokounmpo ont trouvé un accord sur un contrat partiellement garanti sur deux saisons.

Knicks and Thanasis Antetokounmpo finalizing two-season, partial-guaranteed deal, source said.

— David Pick (@IAmDPick) 5 Août 2015

Thanasis Antetokounmpo est le quinzième joueur de l’effectif. Il sera sans doute en concurrence avec des invités de dernière minute au camp d’entraînement mais il a, à priori, une chance de rejoindre l’équipe et de faire ses débuts en NBA cette saison.

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Manger à New York – un article du Parisien

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Destination Gastronomie : Bon Appétit à New York

Durant tout l’été, Relaxnews vous emmène en voyage pour vous guider vers les destinations gastronomiques du monde entier. Après la plage, mettez-vous sur votre 31 : vous allez dîner chez les chefs les plus en vogue du moment. Ce soir, vous croquez la grosse pomme.

Grimper jusqu’au 86e étage de l’Empire State Building, se recueillir à Ground Zero, se ressourcer à Central Park.

.. Et réserver dans un restaurant gastronomique. Depuis quelques années, une immersion new-yorkaise ne serait pas complète sans un dîner tiré à quatre épingles, et référencé dans les meilleurs guides.

La grosse pomme est l’une des trois villes américaines, avec Chicago et San Francisco, où Michelin a posé ses valises. Et ce n’est pas un hasard. Si New York ne peut se vanter de rassembler autant d’adresses étoilées que Paris ou Tokyo, elle abrite pourtant bel et bien une communauté de grands chefs en devenir où les gastronomes s’empressent de dévorer les dernières créations. Le succès du pâtissier français, Dominique Ansel, auteur du cronut, une viennoiserie mi-croissant, mi-donut, en est la preuve.

Pour sortir des sentiers battus, et être à la pointe des tendances, vous devez traverser le pont de Brooklyn. Le quartier, qui jadis souffrait d’une image désastreuse en raison des rivalités entre gangs, est devenu le centre d’intérêt des critiques gastronomiques. Allez donc réserver chez Carlo Mirarchi, dont l’adresse se nomme Blanca, qui a reçu deux étoiles du Bibendum en octobre dernier. Vous vous installerez autour d’un bar donnant vue sur les fourneaux. Vous serez aux premières loges pour apprécier la cuisine minimaliste du chef.

Et si l’envie vous prend de partager l’Histoire durant votre séjour dans la mégalopole, ne tardez pas à déjeuner au River Café. Installée au pied du Brooklyn Bridge depuis 1977, l’adresse est une institution qui a pris son temps pour se remettre du passage de l’ouragan Sandy en octobre 2012.

Bien manger à la Française

De retour à Manhattan, si votre objectif de vacances était d’échapper aux stéréotypes de la cuisine tricolore en tentant une aventure gastronomique à New York, sachez que vous êtes sur le point de passer à côté d’une expérience. Car la grosse pomme fleure bon le foie gras, la truffe et le pigeonneau. New York, c’est la touche française en Amérique, avec sa flopée de chefs tricolores dont les restaurants sont des étapes touristiques incontournables.

L’un d’entre eux a construit un empire gastronomique depuis New York : Jean-Georges Vongerichten. Le restaurant qui porte son prénom s’est installé dans l’une des tours Trump, à côté de Central Park. La star alsacienne brûle le foie gras et associe les nouilles au thon cru, ce qui lui vaut trois étoiles au guide Michelin.

Si ce n’est pas Jean-Georges, peut-être reprendrez-vous un peu d’Eric Ripert. Le Bernardin du cuisinier originaire d’Antibes est considéré comme le « meilleur restaurant de l’année » par les lecteurs du très sérieux guide Zagat. Les New-Yorkais succombent à la façon dont le chef associe les crustacés et les fruits de mer.

Ou, sinon, vous souhaiteriez goûter à la cuisine de Daniel Boulud, un autre grand nom français dans la ville qui ne dort jamais ? Rétrogradé à deux étoiles dans la dernière édition du guide du Bibendum, la toque rhodanienne n’en est pas moins une pointure en matière d’huîtres glacées en gelée et de foie gras flambé.

Et dans le cas où le chef n’est pas gaulois, il cuisine tout de même comme ses cousins. Référence à David Bouley et son adresse de TriBecA qui rend hommage à ses pères auprès desquels il apprit à cuisiner : Paul Bocuse et Joël Robuchon.