une idée pour votre voyage, le dimanche matin messe à Harlem et ensuite journée à Central park, prenez votre pique nique, un rayon de soleil et regardez. Vous verrez NY
Archives mensuelles : janvier 2015
Central ¨Park : Hommage à John Lennon
Aujourd’hui c’est Central Park
Après le pont de Brooklyn, un autre endroit mythique de New York : Central Park. Ce qui m’a le plus frappé lors du survol en hélicoptère c’est l’étendu de CP, à pied on ne s’en rend vraiment pas compte, on marche, on s’arrête on regarde, mais vu du ciel, c’est une immense tache verte au milieu des buildings.
Le métro New Yorkais
Après l’aéroport Kennedy c’est la deuxième chose que j’ai vu de NY. Et je me suis demandé si j’allais arriver à bond port. Tellement il fait du bruit, il semble vieillot, mais il marche 24 h / 24 7 jours sur 7 sauf quand il y a des ouragans ou de la pluis, là il est innondé.
Attention en été il parait qu’il fait très chaud sur les quais et la clim est à fond dans les waggons.
En direct de New York : nos 10 magasins coup de cœur
En marge du Retail’s Big Show 2015 de la NRF, qui se tenait du 10 au 14 janvier, LSA mène un vaste « retail tour » dans New York, en partenariat avec l’éditeur de logiciels dédiés au retail, Aurea. Ensemble, nous avons visité plus de 80 magasins, ouverts ou rénovés dans l’année. En attendant davantage de détails dans de prochaines parutions, LSA vous livre ses coups de cœur d’une année 2015 riche en surprises, voire en révélations. Aperçu de notre top 10 en images.
A New York, notre sélection des nouveaux concepts de magasins les plus intéressants mêle les grandes tendances du moment dans une ville qui constitue un incomparable laboratoire du commerce : des magasins spectaculaires qui font une large place à l’art, mais aussi à la fabrication en live, aux ateliers installés au cœur des points de vente, aux technologies et aux réseaux sociaux. « Cette année plus que jamais, les concepts store newyorkais illustrent le retour aux fondamentaux du commerce : de l’humain, du conseil, de l’expertise, de la spécialisation et une juste dose de technologie et de digital, mais uniquement au service de l’usage et de l’expérience client », commente Mike Hadjadj, vice-président marketing Europe d’Aurea.
10. Uniqlo joue la carte du Moma
Le magasin Uniqlo de la 5e avenue a encore innové cette année avec un partenariat noué avec le fameux musée d’art moderne de la ville, le Moma. Ce partenariat lui permet de proposer une offre impressionnante de produits inspirés de quelques-uns des grands artistes exposés par le musée : Keith Haring, Andy Wharol, Jean Michel Basquiat… qui donne une nouvelle dimension au magasin.
L’offre inspirée du Moma est déployée sur une grande partie du premier étage de cet immense magasin de 5000 m² qui sait très bien jouer de cet espace, alternant des zones chaudes d’offres très denses et extrêmement colorées, avec des zones plus calmes et aérées. Une œuvre d’art contemporain à lui tout seul.
9. Restoration Hardware tout en symétrie et en conseils
Cette enseigne de meubles plutôt haut de gamme constitue l’une des très belles surprises de notre retail tour. Elle propose un magasin étonnant près de Flat Iron sur 3 étages qui exploite avec une science consommée le principe de symétrie dans chaque espace du site, les salons et les chambres à coucher se font face, les meubles sont couplés deux à deux, donnant une vraie cohérence à l’ensemble.
Autre réussite : des vendeurs aux petits soins qui accompagnent leurs clients, tablettes à l’appui, dans leurs choix, même si le service et l’écoute sont une constante dans tous les magasins de Big Apple et constituent une vraie surprise pour un Français plus habitué à des vendeurs revêches qu’à un personnel sympa, souriant et très compétent.
8. Galeria Melissa NY ou l’art au service du commerce
Créée en 2012, l’enseigne Galeria Melissa NY ne vend que des chaussures en caoutchouc et change de décor (d’artistes en fait) tous les 3 mois. Cela en fait un magasin mixte, entre galerie d’art et boutique chic, du plus bel effet. Une fois la porte franchie on s’y sent bien. La petite odeur de bonbon qui vous accueille (la plupart des concepts visités ont visiblement travaillé leur marketing olfactif avec la plus grande attention) et la série d’œuvres très colorées exposées à l’entrée y sont sans doute pour beaucoup…
Pour le reste rendez-vous dans quelques semaines avec un nouveau décor. Quelle belle idée en tout cas de renouveler sa copie régulièrement pour surprendre ses clients.
7. Harman, le son en majesté
Chez le spécialiste du son installé sur Madison les écrans se font interactifs avec une table digitale pour rechercher ses produits, en fonction des styles de vie notamment, ou encore une formidable table d’écoute pour casques, une sorte de « lab » ou de bar à casques. On y trouve aussi un cube acoustique pour écouter sa musique dans un isolement complet. « Great » comme disent les Américains, Géant quoi !
6. Under Armor, l’enseigne de sport qui monte
Le rayon chaussures au sous-sol est un bijou avec un mobilier en bois et de nombreux fauteuils intégrés pour essayer des baskets aussi colorées que confortables. La marque connaît une croissance fulgurante et vient de prendre la place de numéro deux américain à Adidas…
5. Rebecca Minkroft surfe sur les vitrines interactives d’ebay
Le lieu pourrait ressembler à un magasin de mode branchée et chic assez classique s’il n’y avait en son sein ce fameux miroir interactif doublée de cabines elles même interactives qui ont fait sensation à lors du retail big show 2015 organisé par la fédération américaine du retail, le NRF. Ces outils développés par Ebay Enterprise sont bluffant, le client peut choisir ses articles, sa taille, se les faire porter dans une cabine tout en commandant un café ou un thé et ensuite continuer son essayage en s’appuyant sur la vitrine interactive de la cabine où il retrouvera la recherche entamée dans le magasin…
L’enseigne qui ne compte que deux magasins, à New York et San Francisco, va ouvrir un troisième site à Los Angeles. Durant salon de la Nrf, les responsables d’Ebay se disaient très optimistes sur le développement de cette technologie encore à l’état de pilote mais dont les coûts pourraient baisser assez vite, avec un prix estimé de 5000$ par exemple pour un miroir en cabine.
4. T2 redonne des couleurs au thé
Ce concept de magasin de thé d’origine australienne a également fait un gros buzz à New York durant le salon. Tout en orange et en couleurs flashys, il rompt avec bonheur avec les codes sombres des principales enseignes du marché. Les petites boîtes carrées et oranges qui accueillent les quelques 200 références de thés de l’enseigne forment un superbe mur sur l’un des côté de la boutique qui n’est pas sans rappeler ceux composés dans les boutiques Nespresso.
T2 propose également une large gamme d’articles pour faire et boire le thé, eux aussi fun et colorés, désacralisant une tradition que beaucoup d’usagers ne considèrent pas forcément comme un art, le thé… Bien vu. Vivement son arrivée en France !
3. The Apartment révolutionne le show room
« The apartment » est l’étonnant concept du pure payer the Line. Le site a aménagé un appartement dans Soho où il propose toute son offre en ligne présentée comme dans un appart ; cuisine, ustensiles, tableaux, meubles, déco, vêtement, linge de maison, cosmétiques… Tout est à vendre, tableaux compris. The « apartment » n’est ouvert au public que deux jours par semaine, le reste du temps, ce sont des personal shopper qui reçoivent les clients sur rendez-vous. Le tout donne à la fois un côté exclusif mais en même temps simple et chaleureux (on vous reçoit chez vous) très réussi et différent des shows room souvent figés et froid.
2. Peloton fONCE sur le vélo d’appartement
L’entreprise créée il y a quelques mois a déjà ouvert plusieurs boutiques à Manhattan. Elle surfe sur l’activité physique à succès du moment, le vélo d’appartement fitness en vendant un modèle unique de ce type de vélo (1.999$) avec une tablette ou les cyclistes de salon peuvent suivre leurs performances mais aussi et surtout des cours diffusés en direct sur internet depuis le studio du principal magasin de l’enseigne, non loin de Flat Iron.
Ce magasin propose un coin café et une offre de vêtements et chaussures au nom de l’enseigne qui annonce avoir déjà vendu un peu plus de 2000 vélos en 3 mois.
1. Normal chouchoute vos oreilles et vos tympans
Bluffant ! Ce concept hyper spécialisé propose des écouteurs et rien que des écouteurs, mais sur mesure, au prix unique de 199$ dans une étonnante boutique design où l’on voit, derrière une immense baie vitrée, le laboratoire où sont fabriquées les précieuses oreillettes avec des imprimantes 3D.
Le son et le confort sont exceptionnels selon les personnes qui ont tenté l’expérience. Le process est très simple : le vendeur prend l’empreinte avec une application dédiée sur un simple smartphone, le client choisi les couleurs des oreillettes, la longueur du câble il paye sur la tablette et le tour est joué, il n’a plus qu’à venir chercher ses écouteurs sur mesure dès le lendemain ou se les faire livrer. Ouvert en août le magasin aurait déjà vendu plus de 6000 écouteurs selon l’un des vendeurs. Normal on vous dit…
Et toujours du spectacle !
Last but not least, pour le fun, impossible de ne pas vous montrer deux théatralisations particulièrement réussies. La première est la tête de mort réalisée en Converse dans le flagship désormais bien connu de la marque à Soho. Elle fait face au fameux drapeau américain qui symbolisait le magasin lors de son inauguration il y a trois ans.
Second élément de décor particulièrement spectaculaire, la véritable rame de métro new-yorkais qu’Asics a placé dans son tout dernier flagship à New York, toujours plus fort…
NRF Retail’s Big Show 2015 : en direct
Le Edgar Allan Poe Cottage, dans le Bronx
où le « poète maudit » a terminé sa vie.
Les mots ont bercé sa vie, sa fragilité a bercé celle de ses proches, ses histoires continuent de bercer ses lecteurs… Artiste discret mais au talent tonitruant, Edgar Allan Poe était un écrivain d’une grande sensibilité, intelligent et consciencieux, et ses écrits ont à jamais marqué le paysage littéraire américain. Pour en savoir plus sur ce poète de génie, rendez-vous dans le cottage du Bronx où il a passé ses dernières années.
Le vilain petit corbeau
Orphelin dès les premières années de sa vie, Edgar Allan Poe est recueilli par un riche couple, avant de se disputer avec son père adoptif et de se réfugier chez sa tante, dont il épousera la fille (sa cousine donc).
Cet article vous est présenté par…
Vivian Jacobs, Psychothérapeute de famille
Quittant rapidement l’armée après s’y être enrôlé, Edgar Allan Poe passe une grande partie de sa vie à déménager, cherchant avidement la reconnaissance littéraire et la sécurité financière. En 1944, il part enfin s’installer à New York avec sa femme, alors malade.
Le couple s’établit dans un charmant cottage, où le bon air et les environs bucoliques convainquent Edgar Allan Poe qu’ils vont guérir son épouse. Elle décédera malheureusement de la tuberculose quelques mois plus tard, avant la mort de l’écrivain, retrouvé mort dans la rue à Baltimore en 1849.
Poe comme Poète
Artiste complet, Edgar Allan Poe est autant un écrivain qu’un critique littéraire, autant un poète qu’un romancier, autant un dramaturge qu’un éditeur, et il est souvent considéré comme le père du roman policier.
Son quotidien de littéraire commence au début des années 1830, lorsqu’il publie ses premiers recueils de poèmes, qui seront suivis de deux romans, de nombreux contes et d’autres poèmes – souvent traduits par Mallarmé et Baudelaire – d’essais ou encore de critiques littéraires.
Après ses premiers essais poétiques guère récompensés, Edgar Alla Poe se lance dans la prose avant d’être rédacteur-assistant pour un quotidien, puis rédacteur et critique littéraire pour deux magazines.
Après avoir déménagé à New York en 1944, Edgar Allan Poe travaille pour un magazine, avant de se remettre à l’écriture de poèmes, notamment du tourmenté « Le Corbeau ».
Comme les ailes noires de cet oiseau, son âme semble toujours glisser le long des murs de la maison où il a fini ses jours, dans le Bronx. Edgar Allan Poe termine sa vie dans la solitude et la tristesse, suite au décès de sa femme, et il est retrouvé mort, seul, dans la rue, à l’âge de 40 ans.
Edgar Allan Poe Cottage dans le Bronx
Construit en 1912, le cottage a accueilli Edgar Allan Poe, sa femme et sa belle-mère (et tante) de 1844 à 1849, l’année de la mort du poète. Peu après, sa tante le vendait, et la maison a ensuite été sauvée in extremis de la destruction en 1913. Sur l’impulsion de la New York Shakespeare Society, la résidence était préservée et élevée au rang de « Historic House Trust », plantée au milieu d’un parc public.
Le cottage a été restauré et les pièces et les meubles sont tous d’époque. Vous pourrez y voir le bureau et le rocking chair que Edgar Allan Poe utilisait, le lit où sa femme est décédée et le miroir qui reflétait sa pâle silhouette, ou encore la table où la famille prenait ses repas.
La visite des jardins est très agréable, et vous pouvez pousser la visite à la Fordham University où Poe traînait souvent, à quelques minutes de là. Une vidéo qui tourne en continue vous en dévoile un peu plus sur la vie de cet incontournable auteur romantique.
Bon à savoir
Si vous souhaitez (re)lire l’entière œuvre littéraire d’Edgar Allan Poe, rendez-vous sur
LiteraturePage.com
Infos pratiques
Edgar Allan Poe Cottage
2640 Grand Concourse
New York, NY 10458
Adultes : 5$
Enfants, étudiants et seniors : 3$
Pour plus d’informations sur le Edgar Allan Poe Cottage :
BronxHistoricalSociety.org/PoeCottage
Source: http://frenchdistrict.com/new-york/articles/poete-edgar-allan-poe-cottage-bronx/#ixzz3Oy14ygbg
Elle incruste ses dessins dans les paysages new-yorkais
C’est superbe
Eliska Podzimkova est une jeune illustratrice tchèque qui incruste ses dessins dans des photos de New-York. La jeune femme de 21 ans rêvait tant de vivre dans cette ville, si loin de sa Prague d’origine, qu’elle en a bricolé les images sur son compte Instagram. Après avoir étudié un été à la New York Film Academy en 2012, elle transforme aujourd’hui son rêve en réalité. Voici quelques-uns de ses plus beaux dessins : Instagram
New York : un loyer à… 500 000 dollars par mois !
A New York, dans le quartier de l’Upper East Side, un appartement situé au 39e étage de l’hôtel The Pierre se loue 500 000 dollars par mois. Il s’agit tout simplement de la location la plus chère de la ville américaine, selon le « Wall Street Journal ».
Une suite présidentielle transformée en appartement
En octobre dernier, la chaîne hôtelière indienne Taj a proposé à la location un appartement de 440 mètres carrés situé au 39e étage de l’hôtel de luxe The Pierre, au bord de Central Park à New York. Cet appartement correspond à la suite présidentielle, la Presidential Tata Suite, à laquelle d’autres chambres ont été ajoutées pour en faire un bien louable au mois.
L’appartement de luxe offre une vue imprenable sur Central Park et contient notamment six chambres, six salles de bain en marbre et une table à manger recouverte de feuilles d’argent. La cuisine est un peu petite, précise l’annonce, mais le locataire peut se rendre au restaurant de l’hôtel s’il le souhaite. De plus, un majordome, une Jaguar avec chauffeur, des femmes de chambre et un service de conciergerie sont compris dans la location.
Un locataire a signé sans négocier
Le loyer de cet appartement était fixé à un demi-milliard de dollars par mois, soit six milliards de dollars à l’année. L’annonce a été passée fin octobre et en décembre, un homme dont l’identité n’a pas été dévoilée a signé le bail sans même négocier !
Il faut dire que l’argent ne semble pas poser problème à ce locataire, qui peut maintenant se targuer de payer le loyer le plus cher de New York. Et puisqu’il avait peur d’être trop à l’étroit dans 440 mètres carrés, l’homme a également loué, dans le même hôtel et pour 150 000 dollars par mois, une suite de 95 mètres carrés uniquement pour ses invités.
New York – Cabu
« À New York, tu dois avoir une histoire, un scénario.
Si tu n’as pas d’histoire, tu n’intéresses personne. »
Une semaine après les tragiques événements survenus à Charlie Hebdo et les deux journées cauchemardesques qui ont suivi, la blogosphère se mobilise aujourd’hui pour rendre ensemble un dernier hommage à Cabu, Charb, Honoré, Tignous et Wolinski. Une façon de rappeler que si petit à petit la vie reprend ses droits, nous n’oublions pas. Pour cette chronique un peu particulière, de mon côté j’ai choisi le New York de Cabu.
NY – Cabu 03
Après ses divers reportages au Japon, en Chine ou en Inde, et surtout après le franc succès rencontré par Cabu et Paris, l’illustrateur a pris ses crayons et son carnet à dessins et il s’est envolé pour les Etats Unis, puisque comme il le dit si bien, c’est « un pays de cocagne pour un caricaturiste… C’est plein de caricatures ici. » Dès la première page, le ton est donc donné !
Divisé en quinze parties : Welcome, Archi, Rues, Trafic, Subway, Lieux Cultes, Gens, Bouffe, Sport, Religion, Argent, Nuit, Jazz, ONU et DSK, New York est ici dessiné et même disséqué par notre caricaturiste français. C’est avec un trait brut qu’il croque les paysages, les personnages, ou les situations prises sur le vif, qu’il accompagne ou non de petites légendes humoristiques. Et au fil des pages, ce qui frappe le lecteur c’est qu’au final le New York de Cabu n’est ni caricatural, ni satirique. C’est vraisemblablement un reportage humaniste que livre ici l’illustrateur, et c’est ce qui fait toute la beauté de cette oeuvre.
Un livre à offrir à tous les amoureux de Cabu, et à tous les amoureux de New York, puisque le dessinateur y fait une bien jolie déclaration d’amour à la ville qui ne dort jamais…
NY – Cabu 02
Aujourd’hui, ils sont tous aussi un peu Charlie : Bouma, Caro, Faelys, Hélène, Karine, Melo, Noisette, Noukette, Sandrine, Violette et Yaneck.
Une année exceptionnelle pour l’immobilier à Manhattan
Une année exceptionnelle pour l’immobilier à Manhattan
Par Aurélie Blondel, publié le 14/01/2015 à 17:14
Ce qu’il fallait débourser en 2014 pour acheter un appartement à Manhattan avoisine les 2 millions d’euros. Un nouveau record, souligne le NewYorkTimes.
Pour 2015, certains observateurs du marché immobilier prédisent une accalmie. On annonce en effet cette année l’arrivée sur le marché immobilier de Manhattan de deux fois plus de nouveaux immeubles qu’en 2014.
REUTERS
A Manhattan, le marché immobilier a connu une année exceptionnelle, relate le New York Times. Prix moyen d’un appartement vendu en 2014 dans le plus célèbre arrondissement de New York : 1,72 million de dollars, soit environ 1,46 million d’euros. Le record de 2008 a ainsi été dépassé, selon l’article. Les deux appartements les plus chers de l’année se sont vendus respectivement 71,3 et 70 millions de dollars – environ 60,4 et 59,3 millions d’euros.
Une accalmie en 2015 ?
En cause : d’une part, une demande boostée par « une économie locale forte, un marché boursier haussier et un intérêt soutenu des étrangers », d’autre part, une offre qui reste insuffisante, explique le journal américain sur son site.
Pour 2015, certains observateurs prédisent une accalmie car on annonce cette année l’arrivée sur le marché immobilier de Manhattan de deux fois plus de nouveaux immeubles qu’en 2014. Mais il ne faut pas s’attendre, non plus, à de bonnes affaires, d’autant que les nouveaux logements construits sont généralement grands et chers, indique l’article.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/immobilier/une-annee-exceptionnelle-pour-l-immobilier-a-manhattan_1639859.html#poympKgcHXqycUEL.99