Archives mensuelles : décembre 2014

Immobilier : New York, New York !

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Le promoteur immobilier chinois Groenland Holding vient de présenter ce qui pourrait être le plus grand projet immobilier à New York depuis ces vingt dernières années.
Groenland USA a annoncé en début de semaine avoir développé le plan d’un logement abordable dans le centre de Brooklyn avec son partenaire américain Forest City Ratner Companies.
Le bâtiment de 18 étages qui sera construit au 535, avenue Carlton devrait comprendra 298 unités «100% abordable» pour les ménages à revenu faible et modéré ou intermédiaire.
Ce projet fait partie du projet multitower Pacific Park de Brooklyn, auparavant connu sous le nom de Atlantici Yards. Le groupe Groenland a évoqué un investissement de 4,9 milliards de dollars.
Avec un chiffre d’affaires de 41 milliards de dollars en 2013, la firme basée à Shanghai est l’un des plus grands conglomérats chinois portant sur l’énergie, la finance et l’immobilier.
Le promoteur est entré sur le marché américain en 2013, alors que des doutes frappaient le marché chinois. Après avoir notamment investi en juillet dernier 1 milliard de dollars dans le Metropolis à Los Angeles.
En vertu des règlements du programme de New York, pour de nouveaux développements ou agrandissements de surface au sol de plus de 50% dans les zones désignées qui allouent au moins 20% de la surface des zones résidentiel au logement abordable, les constructeurs pourront recevoir des bonus et subventions.
Le projet de logement abordable, qui devrait ouvrir à l’automne 2016, est le deuxième du genre pour Groenland et son partenaire au Pacific Park.
Sur les 6430 unités qui doivent être livrées, plus d’un tiers seront des logements à prix maîtrisés.
Pour Zhu Yiming, analyste senior chez China Real Estate information,étant donné que des projets similaires dans les économies développées ont été exploités avec profit, la rentabilité du projet de New York ne devrait pas être une cause majeure de préoccupation.
La position du Groenland dans le marché des capitaux pourrait stimuler la solidité financière de l’entreprise, a-t-il ajouté.
Une partie des activités de l’entreprise est cotée à Hong Kong, et la société s’apprête a répertorié l’ensemble de ses activités à Shanghai.
Yan Yuejin, chercheur à l’E-House (Chine),reste lui plus prudent, en déclarant que ce genre de loyers signifie qu’il faudra du temps pour récupérer l’investissement.
«La force du groupe chinois est davantage axé sur le développement de propriétés commerciales, et cela demandera également du temps à l’entreprise pour consolider et comprendre les pratiques locales».
Le président du groupe Groenland, Zhang Yuliang, a déclaré au Wall Street Journal que son entreprise doit continuer à s’activer pour alimenter son expansion mondiale, y compris se familiariser avec les taxes et les lois locales, et en ajustant ses ambitions en fonction du nombre de ses employés.
La société chinoise a été propulsée sur la scène mondiale, après avoir investi environ 20 milliards de dollars dans plusieurs projets d’outre-mer depuis 2013 et est présent aujourd’hui dans 13 villes de neuf pays, dont les Etats-Unis, l’Australie et la Grande-Bretagne.
Groenland s’attend à que son chiffre d’affaires à l’étranger à partir de préventes-ou de ventes d’unités avant une finalisation approche cette année les 4 milliards de dollars.

New York: un verre et plus à l’Algonquin

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Le blog de Gilles Pudlowski

 Les pieds dans le plat 

Entrée © GP

L’Algonquin? Cette espèce vieille chose historique, millésimée 1902, qui a vu passer, au moins, Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway, Gertrude Stein, James Thurber, William Faulkner, Sinclair Lewis, John Updike, Philip Roth et tant d’autres écrivains US, a su garder le cachet du passé. On vient là pour le charme feutré et discret du lieu, prendre place sur l’un des canapés rénovés de l’Oak Room, sous les fresques dédiées aux hôtes illustres – on s’amuse à reconnaître là Betty Grable, là Bette Davis, là les Marx Brothers – ou pour un cocktail à l’ancienne comme le Rye Manhattan.

La bonne petite surprise de ce lieu mythique est que l’on peut aussi y grignoter, à petits prix, un mini sandwich Reuben au pastrami, une salade Caesar, une pizza, une boule de mozzarella frite ou encore un empanada à la viande farcie et au guacamole, bref toutes sortes de nourritures vaguement exotiques, mitonnées sans génie certes, mais qui ne tirent guère à conséquence et ne ruinent guère, permettant simplement de prolonger le moment de nostalgie dans cette salle sombre et boisée, simplement hors du temps. Le piano-bar à côté est censée avoir lancé quelques carrières jazzy vers la gloire comme celle d’Harry Connick Jr.

Oak Room, à l’Algonquin Hotel, 59 West 44th Street (entre 5e and 6e avenues) New York. Tél. 212-840-6800. Carte: 25 $.

Site: www.algonquinhotel.com

Encore une défaite pour les knicks

New York se prend 20 points à domicile par Dallas

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Publié par : ClemFiz décembre 17, 2014 , 4:52 dans Knicks, Mavericks, Résumés et highlights NBA

Pour le retour de Tyson Chandler (8 points à 4/5 et 14 rebonds) au Madison Square Garden, les Knicks n’ont pas fait de miracle et s’inclinent 107-87. New York (5V-22D) fonce droit dans le mur dès le début du match et paye son premier quart-temps désastreux tout le long du match Dirk Nowitzki (qui ne joue même pas le quatrième quart-temps) termine tranquillement meilleur marqueur des Mavericks (18V-8D) avec 16 points (5/11, 5 rebonds, 5 passes).

Dallas (50.6% de réussite et 15/33 à 3-points) , équipe qui score le plus en NBA, s’est fait plaisir en démarrant son match sur un 34-15 et un joli 13/16 aux tirs. Dans les premières secondes, Chandler est immédiatement servi dans la peinture et plante le premier panier du match sur un dunk. Derek Fisher décide alors de sortir tout son cinq majeur du terrain alors qu’il reste 5″20 à jouer dans le premier quart-temps. Portés par Carmelo Anthony (26 points à 11/23, 5 rebonds 4 passes et 4 interceptions) et 14 de Tim Hardaway Jr (5/17), les Knicks (44% et 5/21 à 3-points) passent u 17-2 aux Texans pour revenir à 36-32 dans le deuxième quart. Mais Dallas récupère un avantage de plus de 10 points à la mi-temps et ne fera qu’accroître son avance dans la suite du match.

Monta Ellis apporte 14 points alors que Chandler Parsons, pur son retour après un match d’absence en raison d’un dos douloureux, score 13 points. Chandler signe lui son 12e double-double de la saison (il n’en comptait que 16 sur toute la saison avec les Knicks l’année dernière). À noter que Carmelo Anthony a passsé Mitch Richmond au classement des meilleurs scoreurs NBA (37e place avec 20 520 points). Le prochain sur la liste est George Gervin avec 20 708 points.

Prochain rendez-vous à Detroit pour les Mavericks mercredi. New York rendra visite à Chicago jeudi.

Vidéo : un OVNI survole la Statue de la Liberté à New York

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C’est une vidéo particulièrement étrange qui a été récemment mise en ligne sur Youtube. On peut y observer un phénomène mystérieux se dérouler dans les airs, juste au-dessus de la Statue de la Liberté. L’hypothèse d’un OVNI n’a pas tardé à être émise.
La séquence a été mise en ligne le 10 décembre par Scott Kensington, un utilisateur de Youtube où il partage régulièrement des vidéos anodines.
A priori, il ne s’agit pas là d’un individu farfelu. Aussi la courte scène qu’il a récemment partagée sur le réseau est-elle d’autant plus frappante.

Au-dessus de la Statue de la Liberté
Selon le vidéaste amateur, elle aurait été tournée à l’occasion d’une visite de New York (Etats-Unis) en compagnie de sa femme. Et on peut en effet y observer un très étrange phénomène.
Survolant la Statue de la Liberté, une « sphère » de couleur sombre évolue doucement, sans que sa forme réelle ne soit jamais vraiment identifiable.

Ballon, drône… ou autre chose
La piste d’un ballon à l’hélium a été évoquée, mais la trajectoire suivie par cette « OVNI » est trop linéaire pour qu’elle ne soit plausible. Quant à l’hypothèse d’un drone, elle demeure possible. Mais le cas échéant, la « sphère » de New York ne ressemble guère aux modèles connus.

Les New York Knicks s’enfoncent !

Le club de New York a une mentalité de « losers ». Même si nous sommes plusieurs à le penser, c’est Phil Jakson lui-même qui le dit

Rien ne va plus dans la big apple qui vit le pire début de saison de son histoire. Les knicks viennent d’enchainer 10 défaites de suite ! Phil Jackson, nouveau président des opérations, avait annoncé en début de saison qu’ils entamaient un nouveau projet et qu’il faudra être patient mais l’équipe est tout de même bien en dessous de nos attentes.

Leur bilan est plus que mauvais. Avec 4 victoires pour 20 défaites, la franchise est maintenant classée 13ème à l’est avec seulement une victoire de plus que la ridicule équipe de Philadelphie.

Phil Jackson est bien placé pour savoir ce qu’il faut faire pour gagner vu qu’il a gagné la bagatelle de 11 titres NBA. Pour lui, les Knicks ont perdu leur culture de la gagne et ont maintenant « une mentalité de perdants ». Ces mots sont forts mais l’ancien coach des Bulls de Jordan et des Lakers de Kobe nous explique que c’est la raison principale pour laquelle les knicks ne savent pas gagner en fin de match. Il a aussi sans doute voulu piquer au vif la fierté de ces joueurs mais sa tentative n’aura malheureusement pas marchée vu qu’ils ont perdu mercredi soir contre San Antonio privé de ces 4 stars. On s’aperçoit par contre que la culture de la gagne est bien encré à San Antonio qui peut jouer et gagner sans ces 4 meilleurs joueurs !

Il y a plusieurs raisons qui expliquent l’échec des Knicks. Même si ça semble tentant, Carmelo Anthony n’est pas le seul coupable. Avant de se blesser au genou, Carmelo s’est fait critiquer parce que comme à son habitude, il marque des points mais son équipe ne gagne pas. En plus, on l’a vu à la TV se disputer avec Tim Hardaway Jr qui lui aurait crié de prendre le rebond. L’ambiance est souvent de plus en plus tendue sur le terrain et dans le vestiaire quand on perd. Très rare sont les joueurs qui se remettent en question. Ils préfèrent critiquer le coach, l’arbitrage ou son coéquipier. Les Knicks sont en plein dedans et le leadership de Carmelo est remis en question. Sa saison individuelle n’est pas mauvaise puisqu’il tourne à 23 pts/match et 6,6 rebonds. Par contre pour un joueur de ce calibre, 3 passes décisives par match est faible. Amare Stoudemire que l’on pensait perdu fait également une saison correcte avec 13,3 pts et 7,5 rebonds en seulement 26 minutes. Il est vrai que si l’on regarde son salaire, Stoudemire est trop payé. Mis à part ces 2 joueurs, l’effectif de New York est trop faible.

Le public du légendaire Madison Square Garden est un public connaisseur et exigeant. L’équipe et Derek Fischer en paie les frais en se faisant huer de temps en temps. Le jeune coach est bien évidemment remis en question. L’équipe n’était pas construite pour gagner un titre mais devait tout de même s’accrocher pour les playoffs. Il a des excuses : un nouveau système à mettre en place imposer par Phil Jackson( le jeu en triangle), des blessures de joueurs importants(12 cinq majeurs différents depuis le début)etc..

La fameuse attaque en triangle mise en place à New York est pour le moment un échec. Le jeu offensif des Knicks n’est pas bon du tout. L’équipe prend beaucoup trop de jump shoots et ne provoque presque pas de fautes. On ne sait pas si ce système a eu du succès avec les Bulls et les Lakers parce qu’il est efficace ou parce qu’il y avait de très forts joueurs. Dans tous les cas il ne convient pas à l’équipe des knicks d’aujourd’hui.

Un agent me racontait cette semaine avoir assister au training camp des knicks. Pendant l’entrainement, il a vu Jackson appelé l’assistant coach, lui parler dans l’oreille. L’assistant est ensuite allé parler à l’oreille de Derek Fisher qui arrêta le jeu pour corriger ces joueurs. Vous l’avez compris, Phil jackson coach indirectement. J’ai énormément de respect pour Phil Jackson et ses 11 bagues mais du coaching indirecte n’est pas une solution pour moi. Ça ne permet pas à l’entraineur d’imposer sa philosophie à lui et de se développer complètement. Bien sur que Derek Fisher a besoin d’être assisté mais ça devrait se faire avec les assistants coaches.

On sait que devenir coach ne se fait pas du jour au lendemain. New York a pris le risque en faisant ce que les Brooklyn Nets ont fait la saison précédente avec Kidd. Il a fallu 3 mois à Kidd pour devenir bon coach, espérons que ça viendra rapidement aussi à Fisher mais il n’a malheureusement pas un effectif aussi riche que les Nets de la saison dernière.

Nous sommes seulement le mois de Décembre mais il semblerait que la saison de New York soit terminée. Magic Johnson a dit qu’il souhait voir les Lakers perdre pour avoir un bon tour de draft la saison prochaine. Il semblerait que les Knicks vont faire de même et se laisser couler. C’est vraiment désolant de voir ce qui arrive à une franchise qui vit dans une ville de passionnés de basket. On a hâte que NY retrouve de la gloire comme les années avec Patrick Ewing, Latrell Sprewell et Allen Houston mais j’ai bien peur que se ne

New York accueille une tour aux allures de cascade

La tour One 57 vient de rejoindre la skyline new-yorkaise. Se dressant sur plus de 306 mètres, elle détient le record du plus haut gratte-ciel résidentiel de la ville. Imaginée par l’architecte français Christian de Portzamparc, elle se distingue par sa forme de cascade !

Voici un projet qui aura mis presque dix ans à voir le jour. La tour One 57, située comme son nom l’indique sur la 57ème rue à New York, fait aujourd’hui partie de la célèbre skyline de la Grosse Pomme.

Après quelques dizaines de maquettes, et plusieurs scénarii de programmes de volumes de grande hauteur allant jusqu’à 400 mètres, le projet définitif fut finalement lancé en 2009 juste après la première crise immobilière. Conçu par Christian de Portzamparc, ce gratte-ciel se hisse sur 306 mètres et 75 étages, pour une surface totale de 74.353 m2. Tutoyant les nuages new-yorkais, l’immeuble a su défier les contraintes du site dont la plus importante était le plan en angle sur lequel elle se glisse. « Les parcelles, acquises par le promoteur, dessinaient une forme de « L ». Christian de Portzamparc tira parti de cette complexité pour donner à cet élancement des lignes de force », souligne l’agence d’architecture dans sa note de présentation. Au final, la construction se joue de la complexité de son emplacement et tourne la réglementation des alignements et des droits aériens propres au site à son avantage !

Evocation de Klimt
Côté architecture, Christian de Portzamparc a imaginé une façade sud ornée d’une trame verticale de bandes contrastées, composées de deux teintes de verre différentes, ayant la même apparence de l’intérieur. Cette façade « exprime l’énergie d’une cascade dans la verticalité de New York et relie tous les corps de volumes par des surfaces de transitions incurvées abritant des terrasses habitées », relève l’agence. A l’est et à l’ouest de la réalisation, le travail de l’architecte continue avec des motifs pixellisés rappelant les peintures de Gustave Klimt. Ce petit bijou architectural abrite, depuis quelques temps, un hôtel Park Hyatt 5 étoiles, mais aussi des logements luxueux avec vues sur Central Park en étages supérieurs.

Après la tour LVMH en 1999, celui qui a raflé le prix Pritzker en 1994 signe donc ici son deuxième projet dans la Grosse Pomme. Christian de Portzamparc est définitivement « The french man in New York » !

Fiche technique
Maître d’ouvrage : Extell Development Company
Architecte : Christian de Portzamparc
Architecte d’exécution : SLCE architect LLP
Architecte d’intérieur – Logements : Thomas Juul-Hansen LLc
Architecte d’intérieur – Hôtel : Yabu Pushelberg
BET : Structure WSP Cantor Seinuk, fluides : AKF, façades : IBA Israël Berger & Associates NY, Paysagiste Terrain NYC
Surface : 74.353 m2
Hauteur : 306 mètres

En 2009 Stephen Curry rêvait d’être drafté par les Knicks

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Publié par : Christophe Brouet décembre 14, 2014 , 10:52 dans Infos

Le New York Times revient sur la draft 2009 à laquelle Stephen Curry s’est présenté et où les New York Knicks possédaient le 8ème choix. Dans une interview le père du meneur des Warriors révèle que son fils rêvait d’être choisi par les Knicks.
Les Warrior avaient quelques joueurs au caractère douteux dans leur équipe, et les Knicks avaient vraiment besoin d’un meneur et nous avions le sentiment que Stephen correspondait parfaitement à un coach comme Mike D’Antoni qui joue aussi vite.Il adorait l’idée de jouer au Madison Square Garden.

Et ça tombait bien puisque les Knicks souhaitaient le drafter. A l’époque Donnie Walsh et Larry Riley dirigeaient respectivement les Knicks et les Warriors et ils adoraient Curry.
Il recevait le ballon dans son camp et boom en un clin d’œil il était parti. Ce n’était pas seulement sa vitesse, il voyait tout. Je me disais ‘nous avons D’Antoni comme coach et ce gamin serait parfait’. Walsh
Vous savez quoi ? Ce soir là je me disais qu’il serait un très bon joueur NBA pour 10 ans. Je ne m’inquiétais pas de son shoot. Je savais qu’il pouvait shooter. La raison pour laquelle je l’aimais vraiment c’est qu’il ne reculait jamais. Nelly (Don Nelson) jouait toujours small ball et nous nous disions que si ça ne fonctionnait pas nous pourrions toujours effectuer un transfert. Riley
Et l’agent de Curry, Jeff Austin, a admis avoir tout fait pour que son joueur puisse atterrir à New York.
Riley m’a appelé et m’a dit ‘est-ce que je peux voir un workout ?’ Je lui ai dit ‘Non, tu ne peux pas’. Il m’a demandé ‘Je peux lui parler ?’ Je lui ai dit ‘Non tu ne peux pas’ Je lui ai dit que Stephen voulait jouer à New York et de rester loin de lui. Larry me disait ‘je le prends quand même ‘ Je ne pouvais rien faire pour le dissuader.

Si les Knicks avaient eu un choix plus élevé où en seraient-ils actuellement ? Cela montre que peu importe le temps et l’énergie que vous y consacrez, la draft est une science qui n’est pas exacte. C’est beaucoup de chance.

Finalement les Warriors ont choisi Curry et derrière les Knicks ont drafté Jordan Hill.

Via Harvey Araton/New York Times

Futur. New York à un jet d’avion, c’est pour demain?

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Depuis le Concorde, des équipes planchent, dans le monde entier, sur le nouvel avion de ligne supersonique. Biplan, avions fusée, jolis profilés… à vitesse grand V.

Londres – New York en trois heures; Paris – Sydney en quatre… Le monde va bientôt rapetisser. Les avions de ligne, qui ne dépassent guère à 900km/h, pourraient bientôt franchir le mur du son, donc voler à plus de 1224km/h.

Des projets d’avions américains ou anglais sont à l’étude, avec des entreprises d’aéronautique prestigieuses, comme EADS et Airbus. S’ils se concrétisent un jour, les places seront chères, bien-sûr, et s’adresseront surtout à des passagers en déplacement professionnel.

Le futur des Knicks

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Les Philadelphie Sixers et les New York Knicks sont mal en point. Mais laquelle des deux franchises a le plus de chances de se relever rapidement et de retrouver les sommets à l’Est ?

Fans, médias… on aime imaginer la NBA de demain. On aime se projeter et deviner quelles seront les prochaines superstars à nous faire rêver, les prochaines armadas censées tout raser sur leur passage, etc. Au sein d’une ligue fermée sans relégation, l’espoir d’imaginer un avenir radieux est tout ce qu’il reste aux supporteurs des franchises en perdition. La saison régulière est un long cauchemar au cours duquel les équipes en question perdent une cinquantaine de matches. Cette simple pensée d’imaginer de meilleurs lendemains aide les fans à évacuer la frustration liée à la situation. Il en va de même pour les dirigeants, les joueurs, les coaches, etc.

« Si Embiid se rapproche plus d’Olajuwon que de Greg Oden, Philly a un avenir plus brillant. » Un dirigeant NBA
Les New York Knicks et les Philadelphie Sixers n’ont pas fixé les mêmes objectifs avant le coup d’envoi de la saison. La franchise de la grosse pomme espère retrouver les sommets de la Conférence Est sous la houlette de Phil Jackson. Les Sixers sont eux lancé dans un vaste plan de reconstruction. Mais après plus d’un mois de compétition, les deux formations sont (presque) dans le même panier. Philly occupe la dernière place de la Conférence Est avec 2 victoires et 19 défaites. New York fait à peine mieux avec 4 succès et 20 revers dont 10 consécutifs. En Pennsylvanie comme à Manhattan, les regards sont déjà tournés vers l’avenir.

Les situations sont finalement assez similaires. Les deux équipes sont dans une période de transition, seule la stratégie diffère. Et encore, elles sont déjà toutes les deux à la lutte pour mettre le grappin sur le premier choix de la prochaine draft. Mais laquelle des deux a le plus de chances de briller dans les années à venir ?

« Si Joel Embiid se rapproche plus d’Hakeem Olajuwon que de Greg Oden, la réponse est Philadelphie », affirme sereinement un dirigeant NBA sous couvert d’anonymat. « Les Knicks dispose d’un seul choix au premier tour lors des deux prochaines draft et ils n’ont aucun choix au second ni même de droits sur un joueur européen. Les Sixers ont deux choix au premier tour de la prochaine draft et quatre choix au second des deux autres drafts à venir. Ils disposent des droits de Dario Saric et Vasilije Micic. ‘Melo’ est plus fort que n’importe quel joueur des Sixers mais Philadelphie a un meilleur coach et des jeunes plus talentueux. »

« Going bad to get good », la mentalité des Philadelphie Sixers

joel embiid
Joel Embiid, la récompense du « tanking » des Sixers.

A leur arrive à la tête de la franchise, Sam Hinkie et ses sbires n’ont pas caché leur ambition de faire des Sixers l’une des têtes d’affiche de la Conférence Est… d’ici cinq ans ! Philadelphie était empêtré dans le milieu de tableau, cette position ingrate, et ne pouvait espérer vraiment mieux que de participer au premier ou au second tour des playoffs chaque saison sans pour autant attirer les principaux free agents et sans obtenir de bons choix de draft. Les dirigeants ont donc détruit l’effectif en place, ont transféré Jrue Holiday, Evan Turner, Thaddeus Young et Spencer Hawes, ont cumulé les assets et ont mis en place un effectif si mauvais que certains médias se sont demandés si les Wildcats de Kentucky seraient en mesure de battre les Sixers. La franchise a révolutionné le « tanking » au point où la ligue a envisagé de mettre en place une réforme de la loterie (refusée par les propriétaires il y a quelques semaines). Ils ont obtenu les sixièmes et dixièmes choix en 2013 – Nerlens Noel et Michael Carter-Williams – et les troisièmes et dixièmes pick en 2014 – Joel Embiid et Dario Saric. Cette saison, ils sont encore en course pour mettre la main sur l’un des meilleurs choix de draft.

Il est facile de se moquer des Sixers mais leur potentiel est monstrueux
« Les Sixers seront nettement meilleurs sur le long terme. Ils seront même complètement différents dès la saison prochaine », estime un ancien GM.

Michael Carter-Williams Philadelphia Sixers
Michael Carter-Williams futur All-Star ou rookie à stats ?

L’avenir de Philadelphie dépend essentiellement du développement de ses jeunes joueurs. Hormis Joel Embiid, aucun ne semble déceler le potentiel d’une superstar NBA. Le rookie formé à Kansas est actuellement en convalescence et il n’est pas certain qu’il soit en mesure de jouer cette saison. Jurisprudence Greg Oden oblige, il est toujours délicat de s’enthousiasmer sur un jeune pivot victime de pépins physiques récurrents. Mais comme l’expliquait le dirigeant resté anonyme, si Embiid exploite une majeure partie de son potentiel, Philadelphie saura vers autour de quel joueur construire son équipe. Michael Carter-Williams est le Rookie Of The Year d’une cuvée faible mais il cumulait plus de 16 pts, 6 rbds et 6 pds, une performance que seuls Magic Johnson et Oscar Robertson ont réalisé lors leur première saison NBA. Cela vous classe un homme, même si on a tendance à nuancer ces statistiques en prenant en compte la situation de l’équipe – « MCW » avait carte blanche pour faire des statistiques. Les Sixers disposent également de Nerlens Noel, un pivot défensif prometteur. Certes, il fait doublon avec Embiid mais les dirigeants pourront toujours se débarrasser de l’un des deux via un trade si jamais la mayonnaise ne prend pas. Avec K.J. McDaniels – libre l’été prochain – Philly a mis la main sur un « steal ». L’ancien joueur de Clemson a le potentiel d’un ailier « 3 and D » (et même mieux ?) susceptible de s’affirmer comme un titulaire au sein du projet à long terme de la franchise.

Une fois que les jeunes stars se seront développées, le front office de recruter des free agents (vétérans, joueurs de complément voir même des « quasi All-Stars ») pour les entourer. Les superstars de demain attirent les joueurs confirmés, même au sein d’un petit marché. Dans combien de temps New Orleans sera une destination à la mode grâce à Anthony Davis ? Il est facile de se moquer des Sixers mais il est encore plus facile d’imaginer le potentiel monstrueux dont dispose cette formation. En revanche, l’avenir des New York Knicks est plus sombre.

En savoir plus sur http://www.basketsession.com/actu/philadelphie-sixers-knicks-futur-nba-220221/#DJzDREcklR80JdsJ.99

Expo : Jef Aérosol et ses pochoirs Made in New York

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Jef Aérosol, un artiste spécialisé dans les pochoirs, a installé à la New Square Gallery ses œuvres inspirées de son dernier voyage à New York.

La New Square Gallery accueille l’exposition Translation(s) composée d’œuvres signées Jef Aérosol, et inspirées de son dernier voyage à New York. L’artiste pochoiriste, spécialisé dans le street art (l’art urbain) réalise à la fois des portraits de personnalités (Gandhi, John Lennon, Elvis Prestley, Jimi Hendrix…), et d’anonymes de la rue. Le nom de l’exposition a un double sens. En anglais, il signifie une traduction. En français, un glissement, un déplacement. Jef Aérosol traduit en images, interprète au pochoir, une image photographique. « Je déplace sur la toile ce qui, parfois, est né sur les murs de la ville, je glisse de la réalité à sa représentation, explique-t-il. Un grand nombre de ces nouveaux pochoirs ont été découpés à partir des photos que j’ai prises là-bas. »

Jef Aérosol, Translation(s), jusqu’au 17 janvier à New Square Gallery, 40 rue Voltaire. Infos : 03 20 12 09 00, www.newsquaregallery.com