Archives mensuelles : novembre 2014

Promenade à NY

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Le soleil s’est levé, la foule n’est pas encore au rendez-vous, au loin MAry Poppins attend les spectateurs, les publicités sotn toujours là, les taxis aussi. MArcher dans NY est le meilleur moyen pour découvrir la ville, pour seplonger dans son coeur et l’entendre battre. Et le mien prenez le rythme.

Soccer : Thierry Henry tout proche de la retraite?

FOOTBALL L’attaquant français de 37 ans va peut-être disputé samedi le dernier match de sa carrière, à l’occasion de la finale retour de la conférence Est de la MLS…

Getty Images/AFP

N.C.
D Créé le 28.11.2014 à 09:46
Mis à jour le 28.11.2014 à 09:49

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Le Gillette Stadium de Boston sera-t-il, samedi soir, le théâtre du dernier match de la carrière de Thierry Henry? Battu à domicile à l’aller (1-2) avec son équipe des New York Red Bull, l’attaquant français doit y disputer la finale retour de la conférence Est de la MLS, la Ligue nord-américaine de football. En cas d’élimination, Henry, 37 ans, pourrait bien ne jamais remettre les pieds sur une pelouse pour un match professionnel.

Il «aimerait aider» Arsenal

En fin de contrat le 31 décembre, l’ancienne vedette d’Arsenal et de l’équipe de France (123 sélections, 51 buts) ne sait pas encore s’il va prolonger l’aventure au-delà de 2014. Il s’est confié sur son avenir dans une interview à paraître samedi dans L’Equipe Magazine. «Rien n’est clair, je n’ai pris encore aucune décision et spéculer, ce n’est pas mon truc, indique-t-il. Une certitude, je vais rester dans le monde du foot, pour entraîner, être consultant, dirigeant, on verra bien.» Début octobre, l’édition électronique du magazine Sports Illustrated affirmait qu’il n’y avait «aucune chance» pour que Thierry Henry prolonge son contrat à New York.

Le champion du monde 98, qui a toujours le cœur à Londres, exprime également dans l’interview un souhait tout particulier. «J’aimerais voir Arsenal gagner la Ligue des champions. Après, voir ça de près ou de loin, ça ne dépend pas de moi, mais c’est sûr que j’aimerais aider», confie-t-il. Les dirigeants des Gunners lui trouveront peut-être un petit bureau à l’Emirates Stadium, avec vue sur la statue à son effigie édifiée en souvenir de ses huit saisons passées au club (1999-2007, 228 buts inscrits

The manhattan darkroom : Expo de photos à Paris

Encore quelques jours !! A voir ou à revoir (car c’est gratuit) jusqu’au 4 décembre, l’exposition THE MANHATTAN DARKROOM, les photos inédites d’Henri Dauman. Une vraie découverte qui va vous passionner. Du Lundi au Samedi de 10h00 à 18h00, dernière nocturne le jeudi 27 novembre jusqu’à 21h00 et le dernier dimanche de novembre de 12h00 à 18h00.

Débarqué à New-York en 1950, le photographe français Henri Dauman a passé sa vie à tenter de capturer la démesure de cette ville qui l’enthousiasme et l’inspire. Société en mutation, politique et portraits d’icônes et de starlettes, pendant un demi-siècle celui qui se définit comme un « One Man agency » saisit l’histoire en marche. Sa « Chambre noire à Manhattan » est à découvrir jusqu’au 4 décembre au Palais d’Iena. www.manhattan-darkroom.com

Pour la première fois en France mais surtout dans le monde, une exposition dédiée au travail d’Henri Dauman se tiendra au Palais d’Iéna. Photographe français exilé aux US depuis 60 ans, il a su mettre le photojournalisme sur un piédestal.

Henri Dauman, c’est ce nom que personne ne connait mais dont les photos ont fait le tour du monde. Né à Paris en 1933, il a très vite quitté la France à la fin de la seconde Guerre Mondiale pour s’installer à New-York et vivre le rêve américain. On peut dire que le pari est réussi.

Elvis Presley de retour de son service militaire, Jackie Kennedy à l’enterrement de son défunt mari JFK, Yves Saint Laurent sur la 5ème Avenue, toutes ces photos sont ses oeuvres et lui ont permis de devenir l’un des plus gros contributeurs du magazine américain LIFE.

En savoir plus sur http://www.lebonbon.fr/culture/manhattan-dark-room-palais-iena/#0ppPYPwmrGFR3SJF.99

Des people, aux thématiques politiques comme les manifestations pro-castristes, en passant par les jeunes au chômage dans le New-York des années 60, il a travaillé avec de grands magazines aux US comme le New-York Times et en France avec Le Figaro.

Henri Dauman a aussi démocratisé les droits à l’image en attaquant et en gagnant son procès contre Andy Warhol qui avait utilisé la photo de Jackie Kennedy dans son travail, Sixteen Jackies.

On l’aura compris, ce monsieur est un grand nom du photojournalisme et il était grand temps de lui dédier une exposition. Chose faîte grâce au Palais d’Iéna qui accueillera ses photos pendant un mois seulement. Alors courez-y, vous ne le regretterez pas !

En savoir plus sur http://www.lebonbon.fr/culture/manhattan-dark-room-palais-iena/#0ppPYPwmrGFR3SJF.99

Big Brother à New York

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Marie-Aude Panossian, à New York | 27/11/2014, 10:15 – 1154 mots

Pour la mégalopole américaine, la transformation en ville intellligente est devenue une nécessité après que la tempête Sandy a paralysé la cité en octobre 2012. Depuis, la municipalité a lancé un vaste chantier de mesures et soutenu des initiatives destinées à maximiser les ressources et à réorganiser le vivre-ensemble.

George Orwell et son « Big Brother is watching you » ne sont plus très loin disent les uns ! C’est un véritable progrès pour les New-Yorkais, rétorquent les autres. Depuis sa présentation, le 27 octobre dernier, par le Centre pour les sciences urbaines et le progrès de l’université de New York, cet appareil photo de 8 mégapixels fabriqué par la société Point Grey ne cesse de faire parler de lui. Dernier cri en matière de technologie, il sera très prochainement installé sur le toit d’un bâtiment situé à Downtown Brooklyn, à proximité du pont de Brooklyn, afin de réaliser des photographies du sud de Manhattan jusqu’à son centre toutes les dix secondes. Une façon de « prendre le pouls de la ville », affirment ses concepteurs. Plus prosaïquement, ce dispositif enregistrera toutes sortes de données allant de l’utilisation de l’énergie en passant par le déplacement des populations jusqu’à la détection d’engins suspects. Indications transmises ensuite à la police comme aux autorités municipales.

« L’intelligence », une question de survie

« Cette technologie vient à point nommé, alors que presque 80 % de la population des États-Unis et 50 % de celle du monde vit dans des villes, justifie Steven Koonin, chargé du financement du projet. Ces informations vont nous aider à mieux comprendre notre environnement urbain et à améliorer la qualité de vie des citoyens dans le monde. »

Peut-être. Seule certitude pour l’instant, cette innovation s’inscrit résolument dans un mouvement plus large dont New York se fait le chantre depuis plusieurs années : celui de la smart city. Ce concept s’est construit notamment à partir de l’idée qu’en 2030, deux personnes sur trois vivront dans une ville, selon l’ONU. Cette concentration d’individus sera source de difficultés supplémentaires, par exemple pour l’environnement, entraînant une raréfaction des ressources en eau, une pollution atmosphérique et une production excessive de déchets. Elle devrait aussi remettre en cause les modes de transport du fait du manque de carburants fossiles et poser avec une nouvelle acuité la problématique des ghettos, de l’insécurité et de la pauvreté.

Face à ces défis clairement identifiés, il s’agit donc de maximiser les ressources et de réorganiser le vivre-ensemble en s’aidant pour cela de l’information, la communication et la technologie. En un mot, en rendant la mégalopole américaine plus intelligente. Cette démarche entamée dès 2007 à New York par le maire Michael Bloomberg, totalement acquis à la cause de la smart city – il a favorisé les écoconstructions, permis à certains monuments d’être éclairés avec l’énergie des éoliennes et financé la réparation du réseau d’eau -, est devenue une question de survie après que la tempête Sandy, en octobre 2012, a paralysé Big Apple. En une nuit, 17% de la ville a été inondée, 90.000 bâtiments endommagés, deux millions de personnes sont restées sans électricité pendant plusieurs jours, 11 millions d’usagers privés de transports en commun durant une semaine. Six mois après l’ouragan, un rapport baptisé « Un New York plus fort et plus résilient » préconise la mise en oeuvre de 257 mesures (bâtiments, télécommunications, transports, carburants liquides…) dont certaines ont été immédiatement appliquées, comme le renforcement des digues. Et d’autres sont sur le point de l’être sous la houlette du nouveau maire Bill de Blasio. À ce grand chantier, s’ajoutent des initiatives public-privé ou uniquement privées qui visent à transformer l’une des cités les plus peuplées au monde en un modèle d’intelligence. S’il apparaît absolument impossible de dresser une liste exhaustive de tous les chantiers, certains ont cependant valeur d’exemples.

Ainsi, dans le domaine de l’information, la plate-forme interactive de Cisco et LG Electronics fait beaucoup parler d’elle. Baptisé City 24/7, elle fournit des renseignements sur les programmes étatiques ou municipaux et sur les commerces locaux.

Grâce à de nombreuses caméras de surveillance, elle indique l’état de saturation des parkings, les horaires des transports, les problèmes de sécurité ou mesure la qualité de l’air. Pour y accéder, il suffit de toucher l’un des 250 écrans numériques placés dans un lieu public (cabines téléphoniques, arrêts de bus, de trains…), ou de consulter un smartphone ou une tablette. Ce geste devient d’autant plus facile que la municipalité a entamé la construction l’an passé du plus grand réseau urbain de wi-fi du pays. Les 11 000 cabines téléphoniques de la cité vont devenir des points d’accès wi-fi et aider à terme à réduire la « fracture numérique ». L’électricité est également l’objet de toutes les attentions. C’est la raison pour laquelle la régie Con Edison travaille à créer un réseau intelligent pour que les consommateurs puissent mieux contrôler leur consommation.

Un chantier immobilier à 20 milliards de dollars

Combattre la violence s’avère tout autant un enjeu de taille pour le futur. Dans cette optique, la municipalité a lancé un programme pilote de deux ans qui, grâce aux micros placés sur les toits de certains quartiers chauds, alerte la police en temps réel dès qu’un coup de feu est tiré.

Si des mesures écologiques, notamment avec le vaste programme CityBike (l’équivalent du Vélib’) ou le réaménagement de certains quartiers engorgés et pollués, sont un acquis, c’est sans doute dans le domaine de l’immobilier que l’ambition la plus innovante se fait jour. Le Hudson Yards Project, estimé à 20 milliards de dollars, est le plus grand chantier privé de l’histoire des États-Unis et le plus important de New York depuis la construction du centre Rockefeller. Cet espace à la fois commercial et résidentiel qui s’étend sur douze hectares, entre les 30e et 34er ues, se veut un exemple en matière de développement durable. Grâce à des ajouts intelligents (loupe en fibres, milliers de capteurs posés sur les bâtiments, satellites sur les toits…), des données sur la circulation automobile, le flot des piétons, la qualité de l’air et l’énergie seront collectées et analysées. À terme, elles permettront, par exemple, aux éclairages de s’éteindre automatiquement dès que les occupants quittent la pièce, et à la lumière artificielle de s’ajuster d’elle-même à la naturelle. Ou encore à des moteurs d’ascenseurs de capter l’énergie au moment du freinage afin ensuite de la réintroduire dans le système électrique de l’immeuble. Sans parler des innovations qui vont donner la possibilité à un bâtiment avec un surplus d’électricité d’en envoyer à un autre qui en manque. Ou des nombreux dispositifs concernant la régulation de températures et la réduction des déchets.

Cet ensemble aussi prestigieux qu’intelligent ne sera cependant accessible qu’aux plus aisés. Si la municipalité veut en faire un véritable modèle pour l’avenir, cela aura un coût. Et reste à savoir qui pourra le supporter.

New York vu par Remko Heemskerk

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L’illustrateur Remko Heemskerk livre une vision toute particulière de son séjour au cœur de la grosse pomme. Focus sur ses créations.

Originaire de Haarlem aux Pays-Bas, Remko passe quelques mois à New-York et en est revenu vraisemblablement tout inspiré. Il créé un New-York aux lignes nettes, épurées et franche. Combinées à des couleurs vives, il fait ressortir le dynamisme de la ville qui ne dors jamais. L’architecture des bâtiments mythique y est retranscrite de manière synthétique.

J’espère que tout comme moi vous apprécierez ses illustrations originales ! Découvrez quelques créations sélectionnée dans la suite :

Les Knicks perdent encore

Tyson Chandler (17 pts & 25 rebs) se sublime et Dallas vient à bout de New York

Publié par : ClemFiz novembre 27, 2014 , 5:26 dans Knicks, Mavericks, Résumés et highlights NBA

New York, c’est du passé. Les mots de Tyson Chandler ont résonné cette nuit à Dallas, vainqueur des Knicks après prolongation 109-102. Face à son ancienne équipe, le pivot a tout donné et explose les compteurs : 17 points à 7/12 et 25 rebonds. Comme si cela ne suffisait pas en l’absence de Carmelo Anthony (spasmes au dos), Dirk Nowitzki ajoute 30 points à 11/24 et 6 rebonds. En l’absence du n°7, J.R. Smith (15 points à 7/20, 5 passes et 7 turnovers) est passé à côté de son match (1/10 jusqu’au 4e quart) mais ses coéquipiers lui sauvent la mise et l’arrière inscrit un panier égalisateur à 0.9 seconde du buzzer du quatrième quart-temps, envoyant les deux équipes en prolongation.

Dallas devait se reprendre après une défaite contre Indiana il y a deux jours mais s’est à nouveau fait prendre à son propre jeu cette nuit. Vendangeant à 3-points, l’équipe de Rick Carlisle termine à un très moche 4/31 derrière la ligne alors que Jose Calderon leur donne une leçon dans le domaine (21 points à 7/9 à 3-points et 10 rebonds). En face Chandler Parsons et Devin Harris combinent pour un magnifique 3/21 à 3-points. Si bel et si bien que les Mavericks sont fébriles à la pause, avec seulement 4 points d’avance, 46-42. Leur deuxième quart remporté 27-18 leur permet de survivre à un troisième quart-temps survolé par les Knicks (31-25). En ratant 1 de ses 2 lancers-francs dans le money time, Harris offre une possibilité d’égalisation à New York, qui saisit l’occasion à 7 secondes du buzzer. Smith met dedans sur la tête d’Al-Farouq Aminu et envoie les deux équipes en prolongation.

À ce moment-là fini la rigolade pour Dirk Nowitzki, qui après avoir vu Smith donner l’avantage aux Knicks 99-97, démarre un 9-0 en faveur de Dallas qui les mènera doucement à la victoire lors des 5 minutes les plus importantes du match. Chandler, qui avait passé ses trois précédentes saisons sous le maillot de New York, donne l’avantage définitif aux Mavs 101-99 sur un dunk rageur face à un Samuel Dalembert (13 points à 5/10 et 13 rebonds) dépité.

Pour 75 millions d’euros, un magnifique appartement à NY

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New York, la ville de tous les extrêmes et de toutes les folies ! Vous avez 75 millions d’euros à y dépenser ? Voici ce que vous pourriez y acheter ! 95 millions en dollars américains, c’est la somme qui a été déboursée pour acheter le dernier étage du nouveau plus haut building habitable de New York, au 432 Park Avenue, le quartier chic de la Grosse Pomme. Cet appartement au 96è étage domine la ville à 420 mètres d’altitude ! Autant vous dire que la vue est imprenable, que ce soit le sud de Manhattan ou Central Park, grâce à des baies vitrées de plus de 4 mètres de hauteur. Mais pour cette coquette somme, vous y trouverez également 750m² habitables, 6 chambres, 2 salons, 1 salle à manger, 1 cuisine, plusieurs salles de bains. On ne risque pas de s’y marcher sur les pieds ! Les heureux propriétaires de ce “petit” paradis bénéficieront aussi des services hauts de gamme mis à disposition par l’immeuble : un restaurant avec jardin extérieur; un spa pour se relaxer; une salle de sport et une piscine pour les sportifs; et plusieurs salles pour se distraire : bibliothèque, cinéma, salle de jeux pour enfants, salle de billard et même un théâtre ! Que demander de plus ? – See more at: http://www.bienchezsoi.net/breves/new-york-que-peut-on-acheter-pour-75-millions-d-euros-266.php#sthash.IYwkhAqq.dpuf

Pour que je puis me l’offrir achetez Manhattan Ghost : http://www.riviereblanche.com/manhattanghosts.htm

Vite avant que quelqu’un me le prenne

Aujourd’hui une émisison littéraire sur New york

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Balade littéraire au coeur de New-York avec François Busnel.

Ce jeudi à 20h40 sur France 5, François Busnel propose une émission exceptionnelle à New York, pour une balade littéraire au coeur de cette cité, source inépuisable d’inspiration pour les auteurs.

New York est une ville qui se réinvente en permanence et où la littérature se renouvelle sans cesse. François Busnel est allé à la rencontre d’une grande figure de la littérature new yorkaise et des nouveaux visages du roman américain. Tous dévoilent les quartiers de la ville en pleine mutation. François Busnel a aussi rendu visite à l’Albertine Books, l’unique librairie française de New York, située sur la 5ème Avenue, qui vient d’ouvrir ses portes.

5 auteurs, 5 quartiers à découvrir :

Patti Smith : la poétesse et musicienne, emblème de la scène rock des années 70, vient de sortir le deuxième volet de ses mémoires (Glaneurs de rêves, Gallimard) et fait découvrir à François Busnel son studio d’écriture, au coeur du quartier populaire du Queens. Le premier volume de ses mémoires, Just Kids, paru il y’a deux ans s’est vendu à un million d’exemplaires.

Philipp Meyer : le dernier roman de cet écrivain de 38 ans est déjà un bestseller aux Etats-Unis (Le fils, Actes Sud). Il reçoit François Busnel chez lui dans Alphabet city, quartier de Manhattan autrefois célèbre pour son insécurité et qui a aujourd’hui considérablement évolué. Les loyers des appartements y atteignent des sommes astronomiques.

Adelle Waldman : son premier roman, La vie amoureuse de Nathaniel P. (Christian Bourgois éditeur), très soutenu par Jay McInnernay est la révélation littéraire de l’année aux Etats-Unis. Il raconte la génération d’intellectuels branchés de Brooklyn, quartier où elle a donné rendez-vous à François Busnel.

Jonathan Dee revient sur le portrait féroce qu’il brosse de la société américaine dans son dernier livre (Mille excuses, Plon). François Busnel l’a rencontré tout près du Financial District au pied de l’immense tour qui remplace le World Trade Center, inaugurée en juin dernier.

Claire Messud vit à Boston, elle a fait le déplacement à New York à l’occasion de la sortie de son nouveau roman La femme d’en haut (Gallimard).